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Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
vernissage jeudi dernier à 18h30 au Café de Vienne - à Perpignan grâce à la promotion de Céline Marcadon et Nicolas Thaw (l'époux architecte et américain)
"Le temps d’un vernissage le nouveau salon à l’étage du VIENNE était le Centre du Monde par le nombre de nationalités des amis réunis autour de l’exposition d’IRINA GAPOVSKA. Le sujet principal est La Femme mais aussi l’amour, l’énergie vitale, la force de la nature traité avec beaucoup de générosité, d’exaltation, de poésie et de lyrisme.
L’empreinte de la culture de l’artiste originaire de Macédoine, les peintures hiératiques d’icones sacrées orthodoxes mélées à la folle vitalité des Musiques du Sud des Balkans, est saisissante."
« Étant originaire de Macédoine, l’influence de l’art byzantin est présente dans mon travail : la figuration et le symbolisme sont dominants. Mon approche individualiste provient d’explorations intérieures et de ma lutte personnelle pour initier une symbiose entre la tradition, ma pensée profonde et les croyances. Cela inclut l’émotionnel. Cette pensée rationnelle et ce trésor d’informations irrationnelles et subconscientes sont réunis dans une certaine intuition. Basée sur l’anthropologie et le mysticisme, l’intuition a été explorée au 20ème siècle par Gustav Klimt et Odilon Redon, mais pour ma part c’est la simplicité byzantine qui demeure mon modus spirituel et visuel. »
« Comment atteindre la beauté de la simplicité et de l’existence d’un monde de valeurs et de vertus que nous ne devons pas oublier ? Le paradoxe consiste à, simultanément, conserver la tradition par la représentation figurative, et d’être tournée vers le nouveau. Tenter d’être libre dans mon expression artistique est ma principale devise. L’art est un problème de liberté. Je crée un pont entre réalités abstraites et figuratives en les combinant à ma manière authentique, qui consiste à traduire l’approche intellectuelle pour revenir à une expression symbolique. »
Voir aussi:
Perpignan: fête nationale écossaise, ''Burn's day'' à l'UBU, talking about Brexit! interviews Jennifer and friends par Nicolas Caudeville
Les gitans, ce sont les "freemens d'Arakis". Les pierres rejetées des bâtisseurs qui sont les pierres d'angle...Ceux qui gèrent Arakis, enfin Dune, enfin Perpignan, devraient faire plus que s'en méfier, leur donner une place dans leur royaume...Et Louis Aliot a été très léger avec eux . Après avoir dit qu'il protégerait le quartier St Jacques et son patrimoine bâti, il a continué l'action destructrice de son prédécesseur Jean-Marc Pujol.
Mais voilà, le réel, comme disait Lacan, c'est se cogner. Et les gitans, c'est le réel. Et ils ont une manière pataude et brutale de se rappeler à vous. Et avec ça, collant comme le sparadrap du capitaine Haddock...
C'est fini pour Louis Aliot, victoires, chien, chat, couvées: il est gitan comme devant, comme Perette et son pot au lait....
Il y a des soutiens qui coûtent chers. Et des fautes d’inattentions qui peuvent coûter plus que la moyenne. À St Jacques, il y a une différence fondamentale entre tourisme et immigration...On peut bien parcourir ses chemins pieds nus avec une capuche: si on ne prononce pas bien le mot "ciboulette", la pluie est le moindre des risques...
Ils l'attendait depuis longtemps à l'orée du bois avec une planche à clous. Il pourra bien dire comme avec "Indochine" et "Louise attaque" que, "se sont des sectaires" : cela fais deux fois qu'il enchaîne les bourdes...Ça va finir par se voir et se savoir...
Voir aussi:
Perpignan, le roi pêcheur à qui les candidats ne posent pas les bonnes questions sur son "membre fantôme"! par Nicolas Caudeville
"M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde
Où celui qui a faim va être fusillé"
Potemkine Jean Ferrat
Au moment où l’on parle de la réforme des retraites, qu’il est bon d’aller au « cœur de la meule » comme on dit dans les pubs pour produits laitiers (qui sont nos amis pour la vie, tant qu’on les boit avec modération) à pâte cuite . On doit prendre sa retraite, parce que sa vie durant, on a accumulé les « grosses journées de travail » sans forcément accumuler de l’argent . La classe dominante a toujours surévalué la "valeur travail" pour mieux l'exploiter...
Mais le sujet est : comment perdre les bourrelets de travail, avant d’aller manifester pour être belle en bleu de chauffe ?
Déjà, je n’aime pas le terme « grosse journée » : c’est discriminatoire, voir discriminant, ou endocrinien ! Je ne sais pas tout bien. En tout cas, c’est perturbateur. Enfin un truc du genre…Donc préférons dire, la « journée en surpoids de travail », comme on dirait qu’un malvoyant est un sourd qui braille...(mince, comment écrit-on ça, en écriture inclusive ?!...I.E.L)
Ha oui, mes secrets « minceur »
J’y reviens. Parce que le travail est déjà une torture en soi, s’il fallait en plus le faire avec une enclume (en dehors de l’activité de maréchal #Marion ferrant) . Donc le « surpoids de travail », intervient par « espace vacataire de tâches non-remplies ». Apparaît alors un état de « stagnation cumulative » à effet fermentatif du aux bactéries transformant l’activité non faite en mauvaise Grèce, comme dirait mon banquier allemand (qui est aussi riche que mon tailleur…)
Alors en guise de gymnastique, il faut de l’organisation, voir de l’efficacité. Il ne faut pas procrastiner.
En effet,pourquoi remettre à demain, ce qu’on peut faire faire par un subalterne (le subalterne, à une teinte fanée, parce qu’il ne sait pas être brillant, ce qui lui donne sa place dans la société). Pour paraphraser Montesquieu dans « De l’esclavage des nègres » (oui, je sais le terme est déplacé et malaisant, mais à cette époque, le baron de la Brède https://fr.wikipedia.org/wiki/Montesquieu, même s’il possédait des actions dans le commerce triangulaire, avait de bonnes dispositions envers les personnes de la diversité réduite à la domesticité brutale…) : le sucre serait trop cher, s’il fallait payer ceux qui le cultivent !
Mais, plutôt que de confier l’affaire à un sbire qui aura tôt fait de récupérer la gloire pour monter en grade (on sait à quel point, ces gens là font carrière d’arrivisme!), on ne doit pas s’interdire d’être efficace !
Efficace, est une lame aiguisée qui permet de trancher bien des problèmes en circonscrivant les solutions. Comme Alexandre en sa Macédoine est devenu « grand »(comme Perpignan) en tranchant le nœud à Gordie. Trancher, c’est organiser le poids du travail en le répartissant par une série de poulies qui vont le mettre à distance tout en l’exécutant #cestassezclair
On se fait une montagne de l’efficacité. Mais c’est une montagne qui accouche d’une sourie !
Oui, si je suis efficace au travail, je risque d’être mal vu par mes collègues ou mes concurrents. Je mettrai en place une sorte de déloyauté, de « dumping » qui enfreindrait la « sacro-sainte loi» (que nul n’est censé ignorer) de la « concurrence, libre et non faussée »
Mais, en la matière, il faut vaincre ou périr ! Et les autres, n’ont aucun scrupule à grimper sur le bureau, pour se donner quelques avantages ! Alors, pas de quartier avec les autres. Mieux vaut mourir en tant qu’individu, que d’ aguerrir en tant qu’équipe !
Oui, mais enfin, ma journée en surpoids comment je la règle ?
Un docteur complaisant en fin de compte peut être la solution. Une bouteille de bon vin glissée derrière le bureau (on n’ignore pas comme ses gens là sont mal payés, sans quoi n’eussent-ils pas eut recours à la vulgarité de la grève…) et hop un arrêt maladie en bon et due forme !
Sans quoi, trouver de l’argent, pour le faire travailler à sa place !
On ne travaille pas pour le plaisir ( le travail sans la torture du « tripalium » , ce n’est pas un travail, c’est à la rigueur un métier) , mais pour gagner de l’argent. Donc, il faut mettre à contribution notre temps pour faire travailler l’argent à notre place (et le silence est d’or) et l’avoir ainsi à l’usure ! . Mieux vaut avoir de l’usure à sa banque, que l’or dans les doigts …
Pour avoir la complétudes de ces conseils : il faut acheter mon livre !
« Un conseil gratuit ne peut porter ses fruits que lorsqu'il est rémunéré ! » comme on dit chez le cabinet de conseil Mac Kinsey
La psychanalyse ne peut guérir le patient que si, celui-ci paye en liquide le docteur. Symboliquement, le médecin prend la peine du patient en prenant l’argent (même si celui-ci n’a pas d’odeur, pas même le parfum du bonheur…)
Certes, le livre n’est pas encore écrit. Mais j’en fait déjà la prévente pour payer l’électricité de l’ordinateur, l’encre d’impression du manuscrit, sans compter le budget prévarication : c’est vous dire si ça chiffre.
En tout cas, j’espère avoir pu vous aidez. Et aidez son prochain, c’est céder soi-même (enfin,là encore, un truc du genre) .
Ne me remerciez pas, la vie, l’a déjà fait pour vous au centuple...
"En France, le plan de sauvegarde et de mise en valeur (PSMV) créé en 1962 par André Malraux [Loi no 62-903 du 4 août 1962 - Code de l'urbanisme, en particulier : articles L313-1 à L313-2-1 - articles L313-4 à L313-4-4)] alors ministre de la culture, est un document d' urbanisme tenant lieu de plan local d'urbanisme (PLU) dans le périmètre du secteur sauvegardé."
Bien sûr, cette maison n'a pas de caractère particulier. C'est une idée général d’effacer un quartier populaire, sa mémoire pour que le ruissellement des fonds publics ("un pognon de dingue!") pour la reconstruction puisse continuer à conforter la "fortune" des mêmes.
La mauvaise image du quartier, contribue à ce que il n'y ait pas de mobilisation populaire: "St Jacques, ce n'est pas nous. Ce sont les gitans et les arabes" me suis-je entendu dire...
Mais comme disait Arthur Koestler "à force de ne prendre des risques pour personne, on finit par les prendre pour tout le monde!"
"Perpignan en grand", c'était le slogan du candidat Aliot .
"En grand guignol, si l'on s'en tient à l'enfilade de mises en scènes de lutins de noël, de flics tatoués à vélo, de flamme d'artifice, et autres algarades médiatiques avec Indochine, ou Louise Attaque..."
"Mon petit poney ou Ma petite pouliche au Québec, Belgique, Tchad et Vanuatu (My Little Pony) est une série télévisée d'animation américaine en 65 épisodes de 13 minutes, créée d'après la génération 1 (1983-1992) des jouets éponymes d'Hasbro et diffusée entre le 15 septembre 1986 et le 23 septembre 1987 en syndication.
En France, la série a été diffusée à partir du 7 janvier 1987 sur TF1 dans l'émission Vitamine, puis au Club Dorothée. Au Québec, elle a été diffusée à la fin des années 1980 à la Télévision de Radio-Canada."
Les petits poneys aiment les manèges, cela leur permet de garder l'illusion du voyage en restant au même endroit.
L'illusion, c'est leur truc. Ils en consomment au petit déjeuner, comme de l'avoine. Cela leur permet de se croire cheval...Et puis, ils patrouillent dans les près en hennissant à qui veut les entendre, qu'ils sont des chevaux. Il y a même des articles dans "le poney autonome" qui confirment leurs dires.
Cependant, les habitants du près, ne constatent pas, que le près a changé. Non seulement l'herbe du près est moins verte que dans les près d'à côté, mais aussi, elle vient de plus à manquer: pour preuve, la taille des bouses a fondu, comme de la banquise; et le lait a déjà le goût de yaourt!
Mais les poneys s'occupent entre eux, rêvent comme Madame, qu'un jour un cavalier prestigieux les chevauchera et les fera gagner, mieux triompher aux concours hippiques (hourra), peut être même qui sait "le prix de Diane"!
En attendant, il faut continuer de faire pousser l'illusion dans le royaume du près...pour que chacun broute son futur. L'aller Roland Gori de la Caverne must go on, comme le chaud ! https://www.youtube.com/watch?v=2FEtiA18lZU
"L’argent n’a pas d’odeur, en latin « Pecunia non olet ». Cette expression signifie qu’il importe peu de savoir si l’argent que l’on a vient d’une activité noble ou dégradante, l’argent reste l’argent. Pour connaître l’origine de cette expression, il faut remonter au 1er siècle après Jésus Christ, à l’époque romaine."
Il y a un vrai drame vécu, par ceux qui angoissent de ne pas pouvoir parader dans le carré VIP de ce festival. Ce que je retient de la culture, c'est la qualité "catering" dans le carré VIP, le vrai spectacle, il n'est pas d'ici: il est ici...
Car il faut bien comprendre qu'à partir d'une certaine jauge, la culture ce n'est plus de la gastronomie, c'est de l'agro-alimentaire avec tous les conservateurs et autres exhausteurs de goût qui vont avec !
Ainsi donc, cela faisait longtemps que le festival "les déferlantes", n'était plus un "produit culturel", mais une "machine à fric", tant les conditions d'écoute de "prestation artistique" étaient inversement proportionnelles aux tarifs des places .
Mais je n'est rien contre le "buziness as usual" (suspect ?), je veux juste ne pas hurler avec les "loulous" du "confusionisme" et séparer le bon grain de la culture et de lard, de l'ivraie de " Entertainment"https://en.wikipedia.org/wiki/Entertainment et les mondanité auxquelles, il donne prétexte...
Retenons bien le terme "de consommer de la culture": la culture est pour Louis Aliot, un produit de consommation comme un autre...et où, il y a consommation, il y a marché...
« La Mairie de Perpignan prend acte de la décision des organisateurs des ‘Déferlantes’ de renoncer à leur programmation à Perpignan prévue du 6 au 9 juillet 2023.Le chantage et le sectarisme auront eu raison de l’intérêt culturel, économique et touristique de notre territoire.Cette belle manifestation méritait mieux que des pressions inqualifiables et antidémocratiques qui pénalisent en premier lieu les citoyens dans leur diversité et le public.Nonobstant ces marques d’intolérance de quelques privilégiés du show-biz, Perpignan continuera à défendre le monde de la culture, son pluralisme et son indépendance. » communication de presse du maire, suite à la déclaration des organisateurs des déferlantes. On ne peut pas en vouloir à un homme qui reçoit les boulangers dans l'affliction, même s'il ne leur offre que son oreille pour les épancher et ne paye pas la facture d'électricité...
Vous saurez l’intérêt que des élus portent vraiment à la culture par l'argent qu'ils dépensent pour développer les artistes locaux et les mettre en valeurs à l'extérieur...
Sans quoi, comme d'habitude à Perpignan, on rejouera la perpétuelle histoire de l'éléphant qui se promène à côté de la petite souris, qui lui dit: "qu'est-ce qu'on fait comme poussière!"
Voir aussi:
Perpignan:théâtre de la complicité, un outil du "faire société" au quotidien! interview Saïd Bekhti, Florence Bernard et Olivier Févre par Nicolas Caudeville
"Egaré dans la vallée infernale
Le héros s'appelle Bob Morane"
"Et soudain surgit face au vent
Le vrai héros de tous les temps
Bob Morane contre tout chacal
L'aventurier contre tout guerrier
Bob Morane contre tout chacal
L'aventurier contre tout guerrier"
L'aventurier Indochine
« Son surnom, Samouraï du Soleil/En démantelant le gang de l’Archipel » (« L’Aventurier », Indochine)
Ils étaient prévus au chateau d'Aubiry INDOCHINE / ADE / SOPRANO / DELUXE en concert le 8 juillet prochain. Mais voilà que d'un splendide château à Céret, on passe à un sordide parking à Perpignan, la désormais mairie RN sans étiquette de Louis Aliot #Perpignanengrand . Les déferlantes, produit local racheté par Bolloré croyait qu'un pareil escamotage ne ferait pas la différence pour le groupe Indochine...Encore eut-il fallut aller au-delà du titre "un été français" et de "quand je suis cerné, je rêve d'un été français" et aller jusqu'à
"Pardonne-moi si ici
Tout devient froid national
Un pays infernal
A nous la petite mort"
Ce qui avait valu une photo en guise de guerre au sieur Garcia à l’hôtel Pams pour le remercier avec l'adjoint à la culture André Bonet et le maire Louis Aliot...
"Le festival les Déferlantes déménage pour la seconde année consécutive. Après le château d’Aubiry à Céret, l’organisation du festival annonce que l’édition 2023 se déroulera au palais des expositions à Perpignan. Un choix expliqué notamment par certaines difficultés techniques rencontrées l’année dernière." nous raconte la semaine du Roussillon https://www.lasemaineduroussillon.com/2023/01/07/festival-deferlantes-quitte-ceret-perpignan/
Et voilà la réponse d'Indochine par leur support officiel sur facebook
"🔺 Festival Tour 2023 / Info @lesdeferlantessuddefrance : Hier matin, nous avons été mis devant le fait accompli, que le Festival Les Déferlantes où nous sommes programmés le 8 juillet, se déplaçait à Perpignan au lieu du site initialement prévu.
Hier soir, le maire RN de Perpignan a tweeté qu’il était heureux d’accueillir le Festival Les Déferlantes. Nous demandons expressément à la direction des Déferlantes de déplacer ce festival dans un autre lieu, faute de quoi, nous annulerons notre venue."
6 Août: Jour de théâtre à Estagel, a trouvé ces Don Juan Roger Payrot, Michel Cadé, Nicolas André Caudeville
Texte intégrale contrairement à celui publié dans l'indépendant...
On ne verra plus à Estagel la silhouette familière, un peu voutée, le pas rapide pour traverser la rue, toute emmitouflée en hiver, ni le sourire accueillant, amusé, parfois narquois mais jamais dédaigneux, de Roger Payrot qui savait si bien du geste transformer une terrasse de café en jardin, la place en Agora. L’enchanteur est parti rejoindre Sophocle, Shakespeare, Molière, Caravage, Stendal, le petit Marcel, et tant d’autres nous laissant seuls avec notre peine.
Né à Ille en 1944, mais familier des montagnes du Vallespir du coté maternel, il était arrivé au collège d’Estagel au début des années soixante pour repartir aussitôt enseigner l’anglais en Andorre puis revenir à son premier poste à la fin des années 1960. Il enthousiasma de nombreuses générations de collégiens et collégiennes, en leur faisant pratiquer le théâtre à partir du répertoire qu’il accommodait à sa sauce, suscitant des vocations, donnant à tous un accès à la culture qui n’avait rien d’un vernis, créant de toutes pièces, sur un an ou deux, d’éphémères troupes dont bien des professionnels eussent pu envier le dynamisme et l’a propos.
Professeur, il fut aussi comédien, metteur en scène, dramaturge, travailla pour des compagnies du pays, fédéra dans la « Genèse » une troupe adolescente et adulte, et fut même expert de la DRAC ! Rien de ce qui touchait le théâtre ne lui était étranger et nul plus que lui ne courut les spectacles d’Epidaure à Vérone en passant par Paris.
Dans la salle des profs du collège il fit deux rencontres qui devaient l’attacher définitivement à Estagel, un enseignant de maths, André Valls, et un prof d’histoire, Antoine Sarda, fervent littéraire et mélomane, qui devint conseiller général du Canton de La-Tour-de-France de 1973 à 2008 et maire d’Estagel de 1976 à 2001.
Roger Payrot retrouva sa présidence et, entouré d’une équipe convaincue, lui donna une inflexion nouvelle, mais toujours tournée vers l’excellence.
Cet investissement dans la cité, il était aussi le président de l’Office estagellois de la culture, ne rendent pas compte à eux seuls de l’homme, qui avait conservés avec ses anciens comédiens et comédiennes devenus grands et grandes, des liens nombreux et était pour nombre d’entre eux un maître. Dramaturge d’importance, il refusa toujours de se faire éditer au prétexte qu’il y avait déjà trop de livres, que pourtant il dévorait de façon aussi compulsive qu’il fumait. Surtout, il était un prodigieux analyste de la littérature dont il avait une connaissance encyclopédique mais jamais pédante. Cet amoureux de la Méditerranée, d’abord de la Grèce et de l’Italie, mais ni la péninsule ibérique, les Balkans, la Turquie, l’Egypte n’avaient échappé à ses visites, n’avait de cesse d’y revenir, le COVID et la maladie l’empêchèrent d’en arpenter les rives mais il savait suppléer par le rêve le voyage. Estagel aimait-il à dire est un morceau de Grèce, sans cependant renoncer à y voir l’essence du pays catalan. A tous ici, la gentillesse, la simplicité et la culture aimable de Roger vont manquer durablement.
Perpignan:Pour le l'artiste belge Jan Bucquoy :" la vie est une fiction, il n'y a que le théâtre qui soit potentiellement réel"! interview par Nicolas Caudeville
Il y a presque 3 ans que Louis Aliot est devenu maire RN sans étiquette de Perpignan, puis il a placé quatre députées en quarté gagnant, il a même fini par devenir conseillé départemental en binôme avec Carla Muti (qui porte bien son nom)
C'est ceux qui crient le plus au fascisme qui en ont fait le moins...
Cela fait depuis les années 80 qu'on dénonce "fascisme" et "Front national", comme ça on ne parle pas de la gauche transfuge et socialiste depuis 1983.
C'est fini la classe ouvrière n'ira plus au paradis, en tout cas ce ne sont pas les socialistes qui leur feront la courte échelle. Les socialistes ont enfin fini par s'assumer bourgeois depuis la fulgurance Macron #ilétaitbeauIlsentaitbonlemarocainchaudMongestionaire...
Des socialistes, il ne pouvaient donc rester pour survivre que l'arche de Mélenchon
Comme on demandait au moment de la candidature de Ségolène Royale à la présidentielle de 2007 "qui allait garder les enfants ?" (Laurent Fabius), ont pourrait se demander qui allait garder le peuple ?
La répartition c'est faite comme suis: d'un côté ceux qui ne veulent pas être "grand remplacés", et l'autre ceux qui croyaient à la "créolisation"...
Ceux qu'on qualifiait de "fascistes nauséabonds", sont désormais des "populistes nauséabonds", mais comme pour les arrêter, il "frauderait" travailler, alors les castors bâtissent, non pas des chapeaux en Espagne, mais des barrages en bois de "moraline" . La moraline qui, comme ont le sait, est l'arbre qui cache la forêt. Et avec lequel, on peut faire d'un arbre, un barrage. C'est efficace et ça évite d'abattre le reste de la forêt, du coup, c'est en même temps écologique ! Comme disait un des grands succés de la "compagnie créole": "c'est bon pour la moraline ! "
Louis Aliot n'est pourtant pas président du Rassemblement National !
15,16% des voix, c'est le petit score que fera Louis Aliot à l'élection interne. Son ex Marine Le Pen, lui enverra un baiser, comme pour chanter avec le chanteur Raphael "ne partons pas faché, ça n'en vaut pas la peine" https://www.youtube.com/watch?v=UPl3G1D7DhE&t=4s
Le "populisme nauséabond" au pouvoir, c'est décevant, surtout si on a de vraies convictions fascistes !
Pour une fois, comme dirait un belge de mes amis, qu'on ne gagne pas qu'au foot (#toutnesachétepas), certaines personnes croyaient que la victoire de Louis Aliot "en grand " allait donner un Perpignan "uber alles" comme on dit en catalan. Queue nenni (mais tant qu'on ne s'essuie pas aux rideaux les convenances sont maintenues) , "la bourgeoisie perpignanaise" ayant basculé (il y a une différence entre avoir et être) on est resté à Perpignan dans "business as usual" . Bref, comme il dit dans Le Guépard par Giuseppe Tomasi di Lampedusa « Si nous voulons que tout reste tel que c'est, il faut que tout change » Cette phrase, prononcée par Tancredi, reflète l'enjeu principal du roman : changer les apparences et vivre, ou rester tel quel et disparaître progressivement!
Cela se matérialise par la parade de policiers municipaux et de lutins du père Noel !
Les premiers rassurent et les seconds font oublier le froid d'un hiver avec le prix de l'électricité au prix de la guerre en Ukraine et de nos valeurs...
Mais le monde s'écroulera avant que Louis Aliot ne perde les élections, tant qu'on ne célébrera la démocratie dans des chalets de carton pâte autour d’huîtres et de vins chauds...
Face à Louis Aliot, il n'y a que le réel qui se dresse! Et la population l'a déserté...
I want to bélieve dans un univers parallèle ou qui Perpi...gagne !
Surprise de fin d'année, le site l'archipel contre attaque est cité dans la liste nationale des "sites de ré-information", (par rapport aux sites d'information dit "mainstream" https://fr.wiktionary.org/wiki/mainstream ) par "info-libertaire.
Ce n'est pas un site de "facho-sphère" qui nous cite, parce que des socio-démocrate bien intentionnés font toujours courir des bruits sur ceux qui les qualifient de "droite honteuses depuis 1983" .
C'est aussi la reconnaissance d'un travail, et au-delà d'un métier de l'information correctement exécuté.
Il en est des nourritures du ventre comme des nourritures de l'esprit, il faut éviter les additifs industriels. L'information est un sujet crucial, sans quoi des milliardaires n’investiraient pas des millions pour prendre le contrôle de médias. Investirent sur le temps de cerveaux disponible, rapporte comme au billard français: par la bande.
Pour ceux, qui veulent faire fortune dans "l'info libre" , passez votre chemin.
Aussi faudrait-il rétablir "un code du bushido" https://wikimonde.com/article/Bushidode la presse, parce que se sont les "samouraïs" officiels de l'information, qui sont dans l’errance de la "moraline" ...