:
Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
Qui est le vrai Fantômas ? "Un criminel qui fait intervenir le fantastique. Il répand de l'opium dans les souterrains de Paris, noie la capitale, assassine, vole, et tout ça sans scrupule. Fantômas est né en 1911 avec un masque et un chapeau haut de forme, sous la plume de Souvestre et Allain."
"- Ton article il était faux hein ? - C'est exact il était faux. - Tu prétends qu'il était faux maintenant que tout le monde croit qu'il était vrai ? - Ben c'est pourtant vrai. - Qu'est ce qu'est vrai ? Que tout le monde croit qu'il était vrai ? - Mais non c'est pourtant vrai qu'il était faux." fantomas le film commissaire Juve
Avec l'invasion récente de l'Ukraine par les troupes russes, aux ordres du tsars de les Russies, Vladimir Poutine, la presque occidentale, se demande à l'instar de John Cusack, c'est comment d'être dans la peau de John Malkovitch, enfin de Vladimir Poutine. Il ne lui manquerait qu'un chat et il serait l'incarnation du numéro 1 du "spectre" dans James Bond ou bien sa mise en abîme dans "l'inspecteur gadget", le fameux "docteur gang".
Mais si la nouvelle figure du mal, Vladimir Poutine, avait été comme dans de nombreux roman feuilleton, remplacer , par un vrai méchant, comme Fantomas par exemple!
Cela expliquerait bien des choses...
Son visage déformé, par la superposition de masques. Le fait de pousser le monde à la guerre, pas comme un dirigeant, mais un criminel. La question suivante serait, où le véritable Vladimir Poutine serait-il retenu? Et qui et comment faire pour le libérer ?
Il était 15h30 hier dans le quartier du Vernet, lorsqu'une qu'une personne hystérique pénètre dans une épicerie portugaise en hurlant : "non, non ,non pas l'Ukraine !" Il commence alors à tout renverser dans les rayons . À monsieur Da Silva, qui essayait de le raisonner, il répondit "ta gueule, sale poutinolâtre !" .
La brigade cycliste de la police municipale finit par intervenir et arrêter le forcené qui était recroquevillé au fond de la boutique, les yeux hagards,ne cessant de répéter:" mais pourquoi , il n'y a pas de Vodka au Portugal ?"
Le certains Bruno M, interrogé au commissariat, confira, qu'il ne prenait plus ses médicaments, depuis que l'établissement de Thuir qui l’accueillait jusqu'à présent l'avait relâché dans la nature, faute de place...
Il avait rajouté alors que, "il voulait faire quelque-chose pour donner un sens à sa vie, mais que, quand même, il n'était pas prêt à mourir pour l'Ukraine. Alors, il avait trouver cette solution de moyen terme, de saccager une représentation russe. Faute de mieux, et en désespoir de cause, il s'était attaqué à une épicerie portugaise . Même s'il confiait, toujours aux policiers, "qu'il n'avait rien contre ce grand peuple qui avait inventé les pâtes . "
Il déclara pour finir que lorsqu'il sortirait ," il adopterait un couple de réfugiés ukrainiens pour mettre sur l'arche qu'il avait commencé à construire...
Ce texte n'est qu'une modélisation, sur ce qui pourrait advenir sur l'hystérie collective due à l'éventuelle prochaine guerre, qui déclenche souvent, ce qu'elle prétend éviter...
Voir aussi:
Anti-racisme d'esprit d'escalier: faut-il déboulonner le statut du merlan Colbert! par Nicolas Caudeville
"Vie, violence, ça va de paire!" au-delà de l'assonance en Veu , le regretté chanteur toulousain faisait-il passer un message "pro-violencia "? Comme ces groupes de rock dit "satanistes" par les associations chrétiennes dans les années 70/80 qui disaient que, si on écoutait les vinyles des Stones ou même des Beatles à l'envers, il y avait des messages ventant les mérites du diable du style : "Satan m'habite !"
Et, à ce titre, devrait-on déboulonner sa statue, et débaptiser le nom des rues, de bibliothèques, de salle de spectacle que sais-je (Même s'il a chanter "Amstrong, je ne suis pas noir, je suis blanc de peau" , dénonçant des années avant son privilège!)
Parce qu'au bout du compte, le coup de poing au député LREM Romain Grau, lui a peut-être était lancé depuis 1993 année de sa création .
Ainsi le vrai coupable, le chanteur Claude Nougaro était insoupçonnable : le crime était presque parfait (sans la vigilance de l'archipel contre attaque!)
Alors finalement, celui qui a porté le coup, n'était-il que l'instrument de Claude Nougaro ? La peine des 3 personnes arrêtées serait donc atténuées par les juges. Et le regard du procureur moins plein de fureur?
Alors, l'honnête homme se doit de rechercher partout, les outils de la programmation de la violence et de haine.
Ainsi, lorsque Gilbert Bécaud parle dans sa chanson "La vente aux enchères" d'un coup de pied au cul, au prétexte d'évoquer ses souvenirs, ne lave-t-il pas le cerveau de l'écouteur pour le programmer à des actes que "les gens de bien" réprouvent? Et que dire de son accompagnateur au violent: monsieur Pointu ? Pointu : comme une lame de couteau peut-être? Et la fin du "héros" d'un coup de fusil, là encore violence !
Ho, ces prôneurs de guerre, sont discrets dans leurs textes, mais il n'en sont que plus dangereux! Que penser de "aussi belle qu'une balle " du groupe "Taxi girl" ?
"Juste une balle perdue qui marche dans les rues". Il nous met en empathie avec cette objet de mort qu'est la balle. La chanson nous la décrie comme perdue. Une âme en peine, qui marche?!! La balle ne peut pas marcher parce qu'elle n'a pas de jambes. Elle ne peut se déplacer que par la propulsion d'une arme...CQFD!
La semaine prochaine, nous traiterons du groupe "Partenaire particulier" à la recherche pas du temps perdu, comme monsieur Proust, mais bien bien d'une "Partenaire particulière" qu'il espère " débloquée, pas trop timide" et avec "une bonne dose de savoir faire"...
Perpignan, une agressions de trop au Campus Mailly (une étudiante a le bras cassé après qu'on ait tenté de lui arracher son) : Philippe Poisse pour un journalisme de solution qui dépasse "le yaka faucon" lance une bouteille à la mer pour Louis Aliot et Yvan Auguet le président de l'université.
Loulou, il est woke. Il a même son petit côté « cancel culture ». Vous ne me croyez pas ? Il a quand même cancellé, voire déboulonné, Jean-Marc Pujol ! Si ça c’est pas woke, personne n’est woke.
Mais hélas, Perpignan n’est pas une « safe place ». Il existe des gens méchants. Et ces gens méchants ne font rien qu’à embêter les étudiants du Campus Mailly.
Rappelons un peu les faits, histoire de comprendre comment on en est arrivé à tout ce bordel.
Pour se faire réélire en 2014, Jean-Marc Pujol avait balancé un grand projet, d’une façon totalement non-préparée : le retour de l’université en centre-ville !
Au début, le nouveau campus devait être sur la dalle Arago, à côté du tribunal. Mais rapidement la place Fontaine Neuve fut choisie pour accueillir le campus. La raison : les subventions liées à la rénovation urbaine.
D’abord un premier bâtiment, accueillant un amphithéâtre et des salles de cours, apparut en plein centre-ville. Puis une partie du couvent Saint-Sauveur fut massacrée et décaissée pour accueillir des bureaux et d’autres salles de cours. Mais lorsque Jean-Marc Pujol annonça qu’il voulait transformer le théâtre municipal en amphithéâtre, la grogne se transforma en manifestation.
Comme l’écrivait déjà en 2017 l’Archipel contre attaque, ce retour en centre-ville de l’université n’était rien d’autre qu’une affaire d’égo, pour quelques personnes sans envergure, mais pleine de morgue.
La première tranche sera un échec. Et, en toute logique, plutôt que de la corriger, la municipalité, disposant de 110 millions d’euros de subventions pour le centre-ancien, préféra lancer une deuxième tranche. Cette fois, il s’agissait de reconstruire une partie du couvent Saint-Sauveur, tout en transformant le Campus Mailly en blockhaus.
Tout ayant été organisé pour que les étudiants ne soient pas au contact de la population indigène, toutes les hypothèses sur l’activité au sein du Campus Mailly pouvaient émerger. Y compris les plus pertinentes, comme celle d’un centre d’entraînement de la NASA.
En août 2018 eut lieu la « Révolte de l’îlot Puig ». Les habitants, poussés à bout par des décideurs imbéciles et un NPNRU inadapté, descendirent dans la rue aux cris de « cher monsieur le maire de Perpignan, cher monsieur le préfet de la République, pourriez-vous, sans vouloir vous commander aucunement, prendre en considération les doléances, qui, pour un œil inexpérimenté, pourraient paraître puériles, des femmes et des hommes qui vivent dans le quartier Saint-Jacques, et qui, par un manque, que nous imaginons bien volontiers dû à la complexité des procédures administratives, de concertation, se sentent quelque peu délaissés. »
Face à une telle population, prête à en découdre devant les tribunaux pour demander l’application de loi, la mairie aurait pu doter le NPNRU d’un volet social. Mais non, elle préféra continuer dans sa fuite en avant.
La rupture était consommée !
Alors 3 ans plus tard, Loulou, non pas élu par hasard, mais par des électeurs, se retrouve à gérer les pots cassés.
Loulou, qui est un vrai progressiste au fond de son petit cœur, s’attelle tout de suite à la mise en place d’un vrai volet social. Mais ça prend du temps ces choses-là. Quand tu dois compenser 10 ans de grand n’importe quoi, t’as des journées pénibles assez souvent.
Le centre-ancien connaît de sérieux problèmes d’insécurité. Les « opposants » au Campus Mailly ont prévenu dès 2016 qu’il fallait mettre en place des politiques sociales. Ils ont prévenu que l’université devait s’investir dans le quartier, en travaillant notamment avec les associations locales et en tendant la main aux habitants.
Mais non, les opposants n’ont été ni entendus ni écoutés.
Et donc, en toute logique, ce qui devait arriver arriva. À croire que les opposants sont diplômés en psychohistoire.
Les étudiants se plaignent de l’insécurité, des étudiantes ont été agressées. Et, c’est curieux, personne n’est surpris.
Et c’est là qu’on se rend compte que Loulou, mine de rien, il est pas né de la dernière pluie.
Et oui, le volet social ça prend du temps. Virer tous les habitants ça coûte trop cher. Mais, dans le cadre du NPNRU, il reste du fric pour ce que les techniciens appellent, pudiquement, et, à mots couverts, des « équipements ».
Et c’est là qu’on voit pourquoi c’est lui le chef.
Le mec, il est brillant.
Il connaît la légende du clan des Semi-croustillants.
Nous, on se prend pour des hommes de terrain.
Lui, et c’est là qu’il nous écrase à plate couture, il est un homme de sous-terrain.
Au début le projet était ambition. Un peu trop, pour les finances de la ville, mais bon, fallait bien tenter le coup.
L’idée c’était de partir du campus du Moulin-à-Vent, de suivre le canal de Perpignan, qui va de façon souterraine jusqu’au palais des Rois de Majorque, et de là, le cheminement se faisait le long des anciens tunnels qui parcourent la ville.
Mais bon, c’était un peu cher.
Alors, Loulou, jamais défaitiste, s’est rabattu sur une autre idée, plus simple, plus rapide, et, surtout, moins chère.
Le truc est simple, on relance le projet de parking souterrain de la place Jean Moulin. Le projet dort dans les tiroirs depuis 15 ou 20 ans, il faut juste refaire une petite étude de coût pour faire croire à l’ANRU que c’est une idée neuve. Si tout ce passe bien, les parigots, qui sont un peu couillons, faut dire ce qui est, lâcheront bien 4 ou 5 millions d’euros. Faudrait trouver un truc innovant, histoire de garantir le financement. Le parking sera dévolu au Campus Mailly, les riverains n’auront pas le droit de s’y garer. De toutes façons, comme ils sont très pauvres, ils n’ont pas de voiture.
Et là, il suffit de creuser un tunnel de près de 90 mètres pour rallier, avec une sécurité maximale, la cour intérieure du Campus Mailly.
Ce tunnel serait le pendant souterrain de la passerelle reliant le bâtiment Fontaine Neuve à Saint-Sauveur. N’oublions pas que, officiellement, cette passerelle a été réalisée pour permettre aux étudiants de passer d’un bâtiment à l’autre en toute sécurité.
Une fois le parking et le tunnel creusés, les problèmes de stationnement et les risques de sécurité seront résolus d’un seul coup.
D’une certaine manière on peut dire que c’est ça ou se retrouver un de ces jours avec une agression physique ou sexuelle en pleine rue. Avec les histoires de guerre de gangs autour de la drogue on pourrait aussi avoir une affaire de balle perdue.
Dans le fond, le traitement social de la crise, le traitement social de la délinquance, le traitement social du trafic de drogue, ça prend des années et ça coûte un pognon de dingue.
Et je ne vous parle pas des politiques de développement économique !
Voir aussi:
Perpignan / Université: quelle ambition pour quel territoire? interview Alexandre Ortiz-Bodiou l'association "une ambition pour L'UPVD et son territoire" par Nicolas Caudeville
Le musée, c'est l'outil parfait de l'urgence d'attendre, la dynamique qui prend son temps.
Le musée et sa réouverture, c'est aussi ce qui a fait le triomphe de Louis Aliot en terme d'image au local comme au national. Ne parlons pas des affiches et des logos.
Alors pourquoi pas, mettre au carré le triomphe en hybridant les concepts : un musée de l'affiche et du logo.
Parce qu'au passage, on pourrait le faire bénir pour l'inauguration, faire des processions, créer une date spéciale et un monument à l'intérieur dédié au logo inconnu, mort pour services rendus à la patrie et à la communication (on pourrait alors le gerber en écharpe tricolore, et au garde à vous bien surs) !
Puis, faire une programmation de logos célèbres pour ce faire prendre ... en photo à côté, avec un verre de champagne d'ici : bref de belles perspectives cavalières en perspective pour la ville du post-futur qu'est Perpignan !
Une belle fenêtre de Tyr que ne saurait rater le maire de Perpignan et la bourgeoisie de droite. Et qui serait l'arche de soutien à sa réélection !
Ma vie s'éteint, la vue se brouille, il ne reste plus que le souvenir. Je me souviens d'un temps ou régnait le chaos, un temps de rêves brisés, de terres dévastées... Mais par-dessus tout, je me souviens de la Marianne catalane. La femme que nous appelions Jennie. Pour comprendre qui était cette femme, il faut revenir à une autre époque. Quand le monde tournait au "carburant bars" et que fleurissaient dans les déserts de grandes cités et des logos pleins de saints et de rayons ... Disparues, maintenant, balayées... Pour des raisons aujourd'hui oubliées, des puissantes tribus entrèrent en guerre allumant un brasier qui les dévora toutes. Sans une bonne communication, elles n'étaient rien. Leur empire était de paille. Le grondement des machines hoqueta et s'éteignit. Les chefs parlèrent et parlèrent. Et parlèrent encore. Mais rien ne pouvait endiguer le désastre. Leur monde s'écroula... Les villes explosèrent provoquant une tornade de pillages. Sur les routes de l'information régnait le cauchemar de la ligne blanche. Seuls les flibustiers les plus mobiles, les pillards les plus impitoyables de l'archipel survivaient... Les bandes prirent le contrôle des cabinets municipaux, prêtes à se faire la guerre pour un sourire d’élu. Dans ce maelström de pourriture, le commun des mortels était brisé, écrasé.
Des femmes comme Jennie, Jennie l'autodidacte. Dans le rugissement d'un virus, elle avait tout perdu... (enfin son emploi et c'est déjà pas mal)
Et elle devint une femme vidée, consumée, ravagée, une femme hantée par les démons de son passé, une femme qui errait sans but par les terres désolées de l'art. Ce fut ici #66, dans ce milieu maudit, qu'elle réapprit à vivre...
Aussi reprit-il l'antique blason de la ville : avec son ST Jean-Baptiste, sans la croix, son agneau silencieux, une aura lumineuse, du sang et de l'or...
La ville anesthésiée se réveilla enfin. Le logo fut dénoncé, vilipendé, stipendié, avant d'être libéré par le détournement de Jennie.
Foint de Jean-Baptiste. À sa place une Marianne catalane, en guise de Saint, elle avait dessiné un glissement sémantique qui allait par 2 ! La biquette quant à elle gambadait sur le côté. Et en lieu et place d'un bâton, elle tenait une boutanche ("parce que boire un canon, c'est soutenir un vigneron ! "). Le rayonnement "aurastique" quant à lui était remplacé par un bonnet phénicien (délenga Cathago est...) aux couleurs catalanes. Et comme en slogan, elle en connaissait un rayon, pour elle : Perpignan par son logo était libérée. Vous me direz, encore un vieux pieu pour un vampire ? La suite nous le dira... toujours est-il que ce fut prétexte à la rencontrer. Elle nous a tellement plu que nous avons voulu la présenter. Vous la verrez donc prochainement en Facebook live au Clap Ciné de Canet, sur votre grand ou petit écran, mais en grand forma chez nous, car comme disait la pub avant (mais ça, c'était avant) : elle a tout d'une grande !
Louis Aliot se voyant sans réelle opposition (ni de gauche, ni de droite, ni en même temps) a peut-être chopé "la confiance" (voir ce qu'on appelle l'hubris :Chez les Grecs, tout ce qui, dans la conduite de l'homme, est considéré par les dieux comme démesure, orgueil, et devant appeler leur vengeance. Littéraire. Outrance dans le comportement inspiré par l'orgueil ; démesure).
Lorsqu'on est élu, on commet parfais l'erreur de ne s'entourer que de courtisans et autres intrigants (de toilette, enfin de basse-cour), qui vous psalmodient à l'oreille chaque jour : "Monseigneur que vous êtes bien grand !"
Alors que les généraux romains triomphants lors de leur défilé après la conquête, avait un esclave qui leur tenait la couronne de lauriers et qui lui répétait Ad Nauséam (la sienne ou celle de l'esclave) quelque chose comme :"« Hominem te esse » (« Toi aussi tu n'es qu’un homme »).
Aussi ce changement de logo sera peut-être la goutte d'eau qui sera le commencement de la fin du pot au lait ? Un logo pour une logomachie !
Ce logo, par son exagération visuelle, en ce qu'il remet sur le tapis des choses que l'on croyait oubliées (drapeaux en bernes du 19 mars, parce que la guerre d'Algérie n'est pas finie pour certains, et ce des 2 cotés de la Méditerranée), a fait réagir du centre droit (l'ancien maire Jean-Paul Alduy) à l'extrême gauche (qui lorsqu'elle n'est pas "islamo-gauchiste" et très "laïcarde").
Certains ont même répondu à la manière de Cyrano de Bergerac par des détournements de logos !
C'est un peu court jeune homme, on aurait pu proposer bien d'autres choses en somme !
Ulysse revient, dans la version 31 de notre enfance ! Puis ce sont les "Beatles" qui reviennent sur la pochette de leur album "abbey road" aux couleurs catalanes. Et enfin, St Jean-Baptiste se meut en Mandalorian et l'agneau en bébé Yoda!
Eut-on demandé avant aux Perpignanais que cela aurait donné lieu à une saine émulation !
Mais, le Covid et la démocratie ne se mélangent apparemment pas en cette saison !
Le logo de Perpigan après le régime Covid #leffetavantaprès
"Vous sentez cette odeur ? C’est le napalm fiston, il n’y a rien d’autre au monde qui ait cette odeur-là. J’adore respirer l’odeur du napalm le matin. Une fois, ils ont bombardé une colline pendant douze heures, et après je suis allé au résultat. On a pas retrouvé le moindre cadavre de Viet, rien, pas un seul. Seulement, cette odeur d’essence plein les narines sur toute la colline comme l’odeur… de la victoire."
"Nous sommes des escargots sur une lame de rasoir ... C’est notre rêve ... C’est notre cauchemar !"
Moi, je vous dis un monde où tous les graphistes eussent été fusillés par le Covid !
Je me suis réveillé à Perpignan ce matin comme dans une dystopie :comme Martin Sheen dans "Apocalypse now" . Mais je n'ai pas prononcé à son instar, "Saïgon Merde Encore Saïgon Seulement Saïgon !", Plutôt, " Perpinya, merda, sempre Perpinya. Simplement Perpinya!" ( toujours comme Charlie Sheen, je me serais soulé, j'aurais terminé en slip, puis, je me serais coupé en donnant un coup de poing dans le miroir, parce que je ne supporte plus mon image.)
Bref, en allumant mon Smartphone, j'ai vu le nouveau logo de la ville de Perpignan.
Le concept du logo aurait pu être : la modernité, c'est beau comme l'antique ! Le vieux logo de St Jean-Baptiste "pimpé" succède à la marque de thon "Perpignan la Catalane !
Il semble nous dire "notre futur, c'est le passé !" Mais un St Jean-Baptiste qui semble sorti de la BD, Blueberry ou Jeremiah Johnson le film de Sydney Pollack, sorti en 1972. C'est un St Jean, baroudeur, "Badass" comme on dirait maintenant, qui n'aurait pas perdu sa tête pour une danse... Il fait plus figure de croisé avec son bâton en main (qui devait être une croix). On sent que lorsqu'il va poser son agneau, ce sera pour une bonne distribution de pains. Perpignan, une ville catholique, correcte, mais virile, qui ne tend l'autre joue, que pour mettre un bon coup de genou dans les valseuses !
Le tout avec un halo de lumière, #jaipasditunAliot (mais, hallo quoi!), qui détermine son état "woke", je veux dire éveillé.
Un logo dure à floquer en noir et blanc !
C'est un joli dessin a dit la maitresse. C'est vrai que c'est bien, en plus ya de la perspective. Ce n'est pas au dessin ce que le collier de nouilles est à la fête des mères. Vous me direz qu'à 10 000 balles le dessin... Sauf que, comme m'ont dit des potes graphistes : il n'est pas étudié pour être réduit ou mis en noir est blanc. Ce qui l'objectif d'un logo : être décliné sur toute une série de supports.
Un logo acheté, un slogan en guise de devise offert !
"Perpignan la rayonnante". Moi qui croyais que c'était la devise de la Hague, ville normande célèbre pour sa centrale nucléaire... Mais c'est bath, ça fait tête de gondole! On se croirait à Venise. Et c'est encore meilleur en catalan: Perpinya la radiant!
Un texte long comme un jour sans pain pour expliquer pourquoi, c'est forcé, ça va vous plaire !
"Perpignan, ville méditerranéenne ancrée dans son identité catalane, enracinée dans son Roussillon historique et pleinement française ! "
C'est bien de rappeler des principes : Perpignan, malgré le bordel, on est chez nous !
"Le blason rappelle l’histoire de notre ville, son identité catalane par ses couleurs, sa culture et ses traditions notamment par la présence de Saint Jean Baptiste qui est fêté tous les 24 juin avec la flamme du Canigo qui finit son parcours ici à Perpignan à l’occasion du solstice d’été. "
Là, on fait référence aussi au fait qu'on n’aime pas que la rousquille, et que derrière l'habillage "catho tradi", il reste toujours un fond de druidisme !
"On voit donc bien que c’est la Lumière qui est l’élément majeur, central qui fonde Perpignan et ceci depuis des siècles. Une tradition séculaire reconnue par tous et ceci bien au-delà des croyances particulières qui appartiennent à chacun. Perpignan est cette ville rayonnante que nous célébrons à travers ce nouveau logo modernisé, enraciné qui retrouve son identité tutélaire. La catalanité de Perpignan est une évidence que nous vivons tous d’ailleurs quotidiennement et librement aussi selon les sensibilités de chacun. "
On est même catalan, on est tout à la fois : Perpignan est un syncrétisme !
"Par exemple, en faisant apprendre ou non la langue catalane à ses enfants, en célébrant la sant jordi, la fête de la rose et du livre… cette catalanité s’inscrit d’ailleurs dans la République française et ceci sans ambiguïté. En revanche, et ceci est particulièrement vrai dans cette période si difficile que nous vivons avec la crise sanitaire, il nous appartient aujourd’hui de redonner à Perpignan tout son éclat, toute la lumière dont elle est en réalité porteuse depuis sa fondation. Perpignan est une ville solaire, une ville de la Méditerranée aussi, cette Méditerranée célébrée par les écrivains, mais aussi les artistes et les peintres en particulier. Ville de Lumière, ville rayonnante, elle est naturellement une ville d’art. La lumière est synonyme de beauté, de grâce mais aussi e transcendance. La Lumière invite l’homme à se dépasser, à surmonter les obstacles. La Lumière est une énergie. Cette Lumière que Perpignan porte engage aussi notre responsabilité. La Lumière est faite pour être transmise. Nous avons aujourd’hui cette responsabilité en redressant cette ville de Perpignan, en redonnant confiance à tous les Perpignanais, en donnant à chacun de trouver sa place."
Perpignan, c'est un peu la "Renaud Chamade" une ville qu'elle bien pour la conduire ! (comme dans "La cité de la peur") et son logo est au service des perpignanais !
Louis Aliot aurait déclaré à la presse à propos du logo : "Écoutez, laissez la police faire son travail, dès que j'aurai de plus amples informations croyez bien que vous en serez les premiers informés !"
Toujours selon des milieux informés, il aurait rajouté en off: "barrez-vous cons de mimes!"
"Allez, y'a plein de bruit, là ! Si ça se trouve c'est bourré d'oiseaux venimeux. Y'en a des rouges, des jaunes, des re-rouges et des pourpres ! Y bouffent que des noisettes et des escalopes de veau. Et quand ils vous donnent un coup de bec vous voyez une grande lumière et ça vous donne la diarrhée !"
Seigneur Perceval Kaameloot
Au commencement de Facebook, il n'y a pas le verbe, comme dans la Genèse(qui est Dieu et souffle à la surface des eaux), mais un algorithme : "Dans le domaine des mathématiques, dont le terme est originaire, un algorithme peut être considéré comme un ensemble d'opérations ordonné et fini devant être suivi dans l'ordre pour résoudre un problème. "
"C’est Facebook qui décide. Et plus précisément son algorithme. Auparavant appelé Edgerank, l’algorithme de Facebook dicte qui voit vos publications et qui ne les voit pas."
Mais en plus d'être la cible de Facebook, de son marché de données, et de tous ceux qui ont des trucs, voir des machins à vous vendre, vous êtes aussi l'objectif du monde entier, de sexe plutôt féminin, enfin genre, qui veut vous vendre du sexe, en direct, en vidéo où de manière lyophilisée.
"La lyophilisation, ou anciennement cryodessiccation, est la dessiccation d’un produit préalablement congelé, par sublimation. Le solvant sublimé est généralement de l’eau, mais ce peut être également un alcool"
Pourquoi ? Parce que vous avez pour statut "célibataire" !
Pour ces personnes, cela veut dire que la chasse est ouverte à une personne potentiellement en manque : surtout période non-réglée de COVID-19!
Cela peut commencer par un commentaire sur un post : "comment allez-vous, je ne vous dérange pas..."
Ou bien encore un message plus explicite sur Messenger avec lien à leur Facebook ou une rencontre sur What's App .
Ne paniquez pas. Il n'est pas trop tard !
Il suffit juste ne pas cliquer pour ne pas ouvrir la boite de Pandore !
Comment trouver chaussure à son pied entre un réel où le Covid et autres virus, vous attendent, les codes des néoféministes pour un vrai respect de la femme, et autres mines claymore chargée de shrapnel de Metoo.
La M18A1 Claymore est une mine anti-personnel utilisée par les forces armées des États-Unis depuis 1960. Elle envoie environ 700 Tweets d'acier sur une distance d'à peu près 100 mètres sur un arc de 60° dans la direction de l'avant de l'engin. Elle est utilisée principalement dans les embuscades et comme moyen de parer à l'infiltration de l'infanterie ennemie.
Là période est plutôt idéal pour la chasteté ou l'autoérotisme, parce que sur le net la situation est au moins aussi dangereuse...
Il reste toujours la possibilité, si ce n'est d'une île, d'une retraite spirituelle :
"Une retraite spirituelle est un temps que prend une personne pour prier, méditer ou d'une manière générale réfléchir à sa vie personnelle. Cela comprend une prise de distance géographique vis-à-vis du lieu où l'on vit et travaille habituellement, pour, dans la solitude d'un monastère ou d'une autre institution appropriée, réfléchir aux questions fondamentales de la vie. "
Oui, la vie monacale(qui n'est pas se faire en lousdée, se faire un resto à Monaco) est peut-être le dernier recours ...
Mais où sont les neiges d'antan ? Perpignan sous la neige, cela aurait été un bonheur visuel sur la ville : un bonus de Noël pour nos yeux d'enfants. Mais voilà, le 28 juin dernier les perpignanais ont mal voté ! Lorsqu'on l'interroge au téléphone, la neige déclare : qu'elle " a une conscience démocratique et se refuse à tomber sur un territoire "fasciste" ".
Mais que cependant, elle ne veut pas "faire d'amalgame et discriminer tous les perpignanais !" . En OFF, elle confie cependant "ne pas vouloir donner le prétexte à certains élus à revêtir leur écharpe tricolore pour récupérer le phénomène météorologique, comme un moment festif et culturel dont ils auraient été les inventeurs ! "