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L'archipel Contre-Attaque

  • : L'archipel contre-attaque !
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21 janvier 2025 2 21 /01 /janvier /2025 21:49


“Il ne peut y avoir de révolution que là où il y a conscience.”

“Parce que le milliardaire n'a pas récolté sans peine, il s'imagine qu'il a semé.”


De Jean Jaurès / L'armée nouvelle

Carmaux, un Festival qui rend hommage à la mémoire ouvrière, le cinéma social et aux luttes du passé
Dix ans de passion et de cinéma social : c’est le pari fou et du précieux Festival de Carmaux, un événement qui ne se contente pas de projeter des films, mais de pays une histoire – la nôtre.

Carmaux, petite ville ouvrière d'un autre temps, prépare à fêter digne un anniversaire. Dix ans d'un festival qui n'a rien à voir avec ces événements fades, branchés, où l'on cherche à se faire bien voir sur des rouges tapis. Non. Le Festival du Film Social et Ouvrier de Carmaux, c’est bien plus qu’une simple projection. C’est une fête du cinéma qui réveille la mémoire, du cinéma qui transpire l’histoire des ouvriers, des mineurs, de ces vies qui ont pour notre époque !

Dix ans de passion et de cinéma social : le Festival de Carmaux célèbre son anniversaire

Ah, Carmaux, ce coin de terre où le charbon et les luttes ouvrières ont forgé les âmes, cette ville aux mains pleines de sueur, mais aussi d'espoir. Dix ans, déjà, que le Festival du Film Social et Ouvrier tisse sa toile dans cette ville ouvrière, un événement qui, loin d’être un simple spectacle de bobines et de lumière, est un cri, un hommage aux travailleurs d’hier, mais aussi un levier pour ceux d’aujourd’hui. Du 5 au 8 décembre dernier, Carmaux se réveille et nous invite à plonger dans cette histoire, à redécouvrir un cinéma engagé et à ne surtout pas oublier que l’ouvrier est bien plus qu’une silhouette de dos sur un chantier.

 Un programme pour secouer l’histoire, pas pour la mettre sous cloche

Le festival n’est pas là pour flatter les égos ni pour faire joli sur une affiche. Non, il nous balance tout de suite dans le bain, avec une programmation qui sent la terre battue et le fer chaud. Jérôme Quaretti et Michel Cadé, les patrons de l’association Clap Actions, ont su rassembler une palanquée de films qui ne se contentent pas de raconter des histoires : ils les fabriquent, les construisent, les font grincer sous nos pieds, comme les rails d’une locomotive qui n’en a plus rien à foutre des protocoles de sécurité.

Michel Cadé, président et historien de la première heure, le dit d’entrée de jeu : "On vous avait promis *Biquefarre*". Ah, *Biquefarre* ! Un film qui n’a pas pris une ride, qui continue de nous écorcher, de nous révéler des pans de notre histoire ouvrière que les manuels d’histoire officiels préfèrent oublier. Et puis, il y a aussi ce *Germinal* de 1913, l’un des premiers films de la grande épopée sociale du cinéma, dont la projection viendra secouer les consciences comme un coup de marteau-piqueur.

 Une ouverture sous le signe de la fanfare : pas de flonflon, mais du sérieux

L’ouverture, c’est pas un défilé de people. Non, on oublie les paillettes et les selfies. Le 5 décembre, Carmaux accueille la fanfare des sapeurs-pompiers du Tarn, un symbole de la solidarité populaire, de la sueur, du muscle et du coeur. Pas de tapis rouge, mais un hommage au peuple qui, chaque jour, lutte, fait tourner la machine et respire la poussière de charbon. Une véritable entrée en matière qui place la barre là où elle doit être : dans la réalité.

Des invités qui ne se contentent pas de sourire devant la caméra

Ce n’est pas la fête des bisounours. Les invités ne sont pas là pour faire de la figuration, mais pour partager, échanger, discuter. On ne vous servira pas des discours en toc, mais des acteurs, des réalisateurs, des gens de terrain qui, eux, ont vécu ce qu’ils racontent. Parce que c’est bien ça le cinéma social : il ne vient pas sur un plateau d’argent, il vient du peuple, et il ne s’excuse pas. Cette année encore, les festivaliers auront l’occasion de croiser ceux qui ne cherchent pas à vendre une image, mais à faire bouger les lignes, à raconter les luttes et les espoirs de ceux qu’on préfère souvent oublier.

Expositions : quand l’histoire ne se contente pas de figer le temps

Mais ce n’est pas tout. Le festival, ce n’est pas juste des films, c’est aussi des expositions qui, comme des témoins silencieux, rappellent que la mémoire ouvrière se construit, se protège et se transmet. Vous pourrez ainsi plonger dans l’histoire du film *Biquefarre*, ce classique du cinéma social, qui fête ses 40 ans. Une exposition pour rappeler que derrière chaque film se cache une histoire qui mérite d’être racontée, vécue, discutée. Et puis, *Mines de cinéma*, par Bonne Impression, qui, à travers des affiches de films, nous montre l’influence des mines dans le septième art. Une manière de rappeler que les galeries sombres des mines ont aussi fait briller quelques étoiles, au-delà des rires et des pleurs du grand écran.

Jean Jaurès : un hommage de fer et de plomb

Pas de festival digne de ce nom sans un hommage à celui qui incarne la lutte ouvrière par excellence : Jean Jaurès. Le 5 décembre, le festival s’offrira un moment solennel, avec la projection du film *Hommage à Jean Jaurès* de Jean-Lods, suivi d’une analyse de Michel Cadé. Parce que Jaurès, ce n’est pas juste une statue en marbre plantée quelque part : c’est une pensée vivante, un héritage qui résonne encore aujourd’hui. Et ce festival, c’est bien la continuité de cette lutte, de cet idéal de justice sociale. Une boîte à idées, bien vivante, qui nous rappelle que la mémoire n’est pas un vieil objet poussiéreux dans un musée, mais un outil pour construire l’avenir.

 Un festival pas pour les nostalgiques, mais pour ceux qui veulent secouer le futur

Car ce festival, il n’est pas là pour ressasser le passé. Non, il est là pour projeter un regard sur le présent, sur ce qui se passe là, sous nos yeux. Il est un phare, une balise qui nous dit : "Hé, la gauche, le peuple, la classe ouvrière, vous n’êtes pas morts. Vous n’êtes pas enterrés dans des films en noir et blanc." Ce festival, c’est aussi un symbole, une plateforme où les idées progressistes peuvent éclater au grand jour, où les luttes sociales et les engagements politiques peuvent enfin se mêler au cinéma et à la culture.

 Le cinéma, arme de mémoire et d’engagement

Le Festival du Film Social et Ouvrier de Carmaux, à l’occasion de son dixième anniversaire, n’est pas qu’une simple rétrospective. Non, il est une célébration de la vie ouvrière, de l’histoire sociale et de la culture, et un appel à la révolte contre ceux qui voudraient nous faire oublier d’où l’on vient. Le cinéma reste, plus que jamais, une arme puissante pour questionner, pour réveiller, pour faire résonner les voix du peuple. Dix ans de lutte, de mémoire et d’action. Dix ans de cinéma, et ce n’est que le début.

---

Et voilà, un texte qui reprend le style direct, engagé, et critique de **François Ruffin** pour décrire le Festival de Carmaux, tout en mettant l’accent sur son aspect social, historique et politique.

Mais aussi:

Tournée de Noël d'un lutin des cinémas sans bonnet ... ou quand de "Die hard" ("Piège de cristal") à "En fanfare" , Jérôme Quaretti revient en ces fêtes de fin d'année sur l'actualité des cinémas qu'il co-gère avec Frederic Perrot !

 

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17 janvier 2025 5 17 /01 /janvier /2025 13:12

"L’artiste qui a posé pour David Lynch pour l’affiche de la 61ème édition du Festival de Cannes a été révélée ce jeudi. Il s’agit d’Anouck Margueritte, danseuse de profession, qui officie actuellement sous le nom de Nooka Karamel pour le Crazy Horse parisien, célèbre dans le monde entier pour ses spectacles qui reposent sur les jeux d’ombre et de lumière et la chorégraphie des corps."https://www.festival-cannes.com/2008/le-mystere-de-l-affiche-devoile/

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15 décembre 2024 7 15 /12 /décembre /2024 18:02

**PLASTIQUE : LE SUICIDE COLLECTIF ?**  
**Un cri d’urgence au Clap Ciné Canet**  

il y a 2 semaines le rendez-vous était fixé, comme un compte à rebours qui s’accélère. Ce **ciné-débat exceptionnel** vous plonge au cœur d’une vérité qu’on étouffe : le plastique nous tue, lentement, inexorablement, avec la complicité aveugle de notre quotidien. **PLASTIQUE : LE SUICIDE COLLECTIF**, film coup de poing de Peter Charaf, n’est pas une invitation à débattre. C’est un électrochoc. Une déflagration. Le signal d’alarme face à un monde en train de s’effondrer sous ses propres déchets.  

Plastique : le suicide collectif ?", en présence de son réalisateur, Peter Charaf, et de Camille Rollin, représentante de la Fondation Race for Water.

Camille Rollin, qui a rejoint la Fondation Race for Water en mars 2016, est responsable du programme ACT de l'organisation.

La Fondation Race for Water, représentée par Camille Rollin, est dédiée à la préservation de l'eau et à la lutte contre la pollution plastique des océans.

La projection a été suivie d'un débat enrichissant, permettant au public d'échanger avec les intervenants sur les enjeux environnementaux actuels et les solutions envisageables pour un avenir plus durable.

 

**Un poison insidieux** : voilà ce qu’est devenu le plastique. Les scientifiques hurlent leur désespoir, mais leurs voix se perdent dans le vacarme d’une industrie pétrochimique qui s’accroche à son eldorado empoisonné. Ces polymères miraculeux, autrefois célébrés comme des promesses de progrès, se révèlent aujourd’hui être des infiltrés toxiques. **Des milliers de produits chimiques** non testés pénètrent nos corps, altèrent nos organes, tordent nos équilibres biologiques. L’humanité somnambule vers un précipice qu’elle a elle-même creusé.  

 

**Une Odyssée du désastre**  
Peter Charaf nous propulse dans une Odyssée moderne, où l’évidence devient insupportable : **nous sommes les fossoyeurs de notre propre avenir.** Ce film dérangeant expose la folie de nos systèmes, l’aveuglement volontaire, l’inaction criminelle. Mais il ouvre aussi une brèche. Une possibilité. Celle d’un sursaut, peut-être le dernier.  

**Le futur en ligne de mire : une nouvelle Odyssée maritime en 2025**  
Dans le sillage de cette claque cinématographique, une lueur : celle du **MODX 70**, catamaran révolutionnaire, zéro émission. En 2025, la Fondation Race for Water reprendra la mer. Objectif : démontrer qu’il est encore possible de décarboner le monde maritime, de sauver ce qu’il reste des océans, ce cœur battant de la planète qui lutte pour sa survie.  

Les missions de cette nouvelle expédition ne laissent aucune place à l’inaction :  
- **Apprendre, Partager, Agir** pour inverser la tendance.  
- Des démonstrations d’innovations disruptives qui tracent un chemin vers un monde maritime propre.  
- Des escales méditerranéennes, premières haltes d’une campagne scientifique et militante.  

Chaque jour compte, chaque effort doit être consenti, **car le temps nous échappe.**  

**Et vous ? Que ferez-vous ?**  
Face à cet enjeu vital, chacun doit répondre à une question simple, brutale, qui ne laisse aucune échappatoire : **resterez-vous spectateur de ce suicide collectif ? Ou serez-vous l’un des acteurs du sursaut ?**  

 Là où les masques tombent, où les responsabilités se dessinent, où les solutions s’envisagent. **Parce que la catastrophe n’est pas une fatalité.**

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15 décembre 2024 7 15 /12 /décembre /2024 13:58

« Le monde est fait d'imbéciles qui se battent contre des demeurés pour sauvegarder une société absurde. », 

Jean Yanne, Moi y'en a vouloir des sous, sortie en 1973.

Partagé avec Public
Les propositions de sorties positives ont été faites depuis longtemps, documentées, mais il y a une sorte de rage collective à ne pas s'en saisir...

**Sur les chemins de Montebourg : un modèle de réindustrialisation à la Lepape**  

Dans une France en quête d’un second souffle industriel, le chemin de la réindustrialisation semble semé d’embûches. Pourtant, le scénario imaginé dans cette intrigue socio-économique pourrait bien contenir des pistes à méditer. Inspiré par un savant mélange entre l’art de la négociation syndicale et l’ingéniosité entrepreneuriale, voici une vision où l’ouvrier et l’investisseur trouvent une harmonie productive.

**L’histoire commence dans le tumulte social.**

Adrien Colbart, figure imposante du syndicalisme à la Bernard Blier, incarne une opposition rugueuse au grand patronat, tandis que son neveu Benoît Lepape (un Jean Yanne stoïque et pince-sans-rire) observe avec un regard sceptique mais intrigué. Les ouvriers scandent leurs slogans, banderoles à la main, mais pour Lepape, tout cela semble appartenir à un théâtre bien rodé.  

Quand Lepape est mis à la porte par Chouras, le PDG en fauteuil roulant, c’est une humiliation qui agit comme un catalyseur. Ce financier tranquille décide d’utiliser les rouages mêmes du capitalisme pour en détourner les flux. Son idée ? Faire des syndicats des actionnaires et transformer leur force collective en leviers financiers.  

**Le projet des bicyclettes : retour aux sources**  
Pour Lepape, la réindustrialisation commence par un pari modeste mais stratégique : une usine de vélos. Les fonds du syndicat, au lieu de rester prisonniers de caisses noircies par des décennies de luttes, servent à racheter une entreprise moribonde. Sous une gestion inspirée par l’efficacité mais aussi le respect des ouvriers, l’usine prospère.  

L’ironie ici est savoureuse : l’entreprise utilise les mécanismes du capitalisme – investissements, marketing, retour sur capital – pour consolider un modèle basé sur la justice sociale. Un symbole parfait pour une France cherchant à conjuguer productivité et solidarité.  

**Vers l’électronique : un laboratoire du futur**  
Fort des succès engrangés, Lepape franchit une nouvelle étape. Avec les bénéfices des vélos, il crée une usine d’électronique, cette fois pensée comme un modèle avant-gardiste :  

- **Participation des salariés** : chaque ouvrier devient actionnaire et a son mot à dire sur les décisions stratégiques.  
- **Technologies vertes** : les produits sont conçus pour s’intégrer dans une économie durable.  
- **Formation continue** : un plan de montée en compétences permet à chaque employé de s’adapter aux évolutions technologiques.  

Cette vision s’inspire directement des idées de réindustrialisation défendues par des figures comme Arnaud Montebourg. Elle repose sur une souveraineté économique retrouvée, une maîtrise des outils de production et une réconciliation entre les classes sociales par l’entremise d’une redistribution intelligente des richesses générées.  

**Et aujourd’hui ?**  
Ce scénario, bien qu’utopique dans sa mise en scène, rejoint les débats actuels sur la réindustrialisation. Alors que la France tente de se repositionner sur l’échiquier industriel mondial, des initiatives comme celles promues par Montebourg – fabriques locales, soutien aux énergies renouvelables et circuits courts – font écho à la trajectoire imaginée par Lepape.  

Ce modèle pourrait bien répondre à une question centrale : comment faire renaître un tissu industriel sans sacrifier les valeurs sociales ? En utilisant les outils du capitalisme, oui, mais avec une ambition collective et une éthique retrouvée.  

Et si, au final, le véritable moteur de la réindustrialisation était cette alliance inédite entre les espoirs des ouvriers et l’audace des visionnaires ?

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21 novembre 2024 4 21 /11 /novembre /2024 17:03
Lien au site, juste en cliquant sur la photo

Ah ! Mes amis, mes chers amis, approchez, rapprochez-vous, que je vous raconte une histoire digne des plus grandes épopées, une aventure, que dis-je, une symphonie du 7e Art orchestrée par Jennie Clara Galté clic ici avec sa boutique Bonne Impression ! Oui, vous avez bien entendu ! Une caverne d’Ali Baba pour les amoureux du cinéma, tenue par une véritable virtuose des affiches ! Et moi, Bérurier, je vous le garantis, ce n’est pas de la camelote, c’est du grand art, du vrai, du costaud !

Une Saga à Faire Trembler les Projecteurs !

Tout commence... et là, écoutez bien, pas hier, ni avant-hier, mais dans les années 80, avec le père, Daniel ! Ah, le gaillard, un projectionniste de génie, un artisan du rêve, qui ramassait des affiches comme d’autres cueillent des fleurs au marché ! Et Jennie, ah Jennie, toute petite qu’elle était, clac ! Elle dégaine un vieil appareil et immortalise Le Mépris. À 7 ans, mes petits ! Le cinéma dans le sang, je vous dis !


Chez Bonne Impression, Ça Envoie du Lourd !

Alors, qu’est-ce qu’on trouve chez Bonne Impression ? Eh bien, là, accrochez-vous : des affiches ! Mais pas n’importe lesquelles, hein ! Des chefs-d’œuvre, des monuments du cinéma. Vous voulez Casablanca ? Elle l’a ! Star Wars ? Pareil ! Des pépites des années 50 aux trésors des années 90, c’est pas de l’impression, c’est une explosion d’émotions, une fresque historique à chaque recoin.

Mais Attendez, Ce N’est Pas Tout !

Parce que Jennie, elle ne se contente pas de vendre ses affiches. Ah non, messieurs-dames ! Elle les fait vivre, elle les balade, elle les expose dans les cinémas et les festivals ! Imaginez, un stand au FID, débordant de joyaux du cinéma, et Jennie au milieu, une vedette applaudie par tous. Une diva des affiches, je vous le dis !
Faites de Votre Salon une Scène Épique !

Et si vous voulez impressionner vos invités, alors là, attention les yeux : Jennie vous concocte une expo sur mesure. Oui, sur mesure ! Elle transforme vos murs en véritable musée du 7e Art. Et avec le sourire, en prime, parce que Jennie, c’est une artiste, mais aussi une grande dame.

Alors voilà, mes petits amis cinéphiles, si vous aimez le cinéma, les belles histoires et les affiches qui claquent, courez voir Bonne Impression. Et dites que c’est moi, Bérurier, qui vous envoie. Qui sait, Jennie pourrait même vous offrir une affiche… ou au moins un clin d’œil !

PO / 66: Jennifer Clara-Galté a fait "Bonne impression" en s'affichant auprès de Béru! #cadeau #Noël
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2 novembre 2024 6 02 /11 /novembre /2024 18:22

"L’artiste libertaire Jan Bucquoy, porte drapeau de la cause anarchiste et figure mythique de la vie bruxelloise est un  personnage hors-série. Mais derrière l’image de trublion sans cause, incontrôlable et capable des pires provocations burlesques, se cache un être complexe, d’une profondeur insoupçonnée.

Sur l’agenda de Jan Bucquoy, la date du 21 mai, jour anniversaire de la Commune, est cerclée de noir. Ce jour-là, tous les ans, à 14h pétantes, avec quelques amis ralliés à sa cause, il quitte son quartier général du Dolle Mol, un café de la rue des Eperonniers, à Bruxelles, et, drapeau rouge et noir orné d’une banane sur l’épaule, il se dirige d’un pas décidé vers le Palais Royal, lieu emblématique du pouvoir en place. Son objectif ? Prendre le palais d’assaut et tenter un coup d’Etat ! Ni plus ni moins. Evidemment, chaque année, Jan Bucquoy se fait gentiment coffrer par la police pour avoir franchi en force la zone neutre interdite à toute manifestation. Et, chaque année, il ressort hilare du commissariat en proclamant que c’est une victoire, un coup d’Etat à la belge !

Noël Gaudin, le plus célèbre entarteur du Plat Pays, reste très sceptique quant aux méthodes de son vieil ami : «Je ne trouve pas ça extraordinairement malicieux. Pour ma part, je préfère l’attentat pâtissier. Mais puisque le splendide Jan Bucquoy, qui a mis toute sa vie dans cette aventure corrosive, a décidé de faire ce drôle de coup d’Etat, advienne que pourra, j’y vais aussi ! » le clou d'éclat permanent

Le coup d'éclat permanent de capitaine Flandre

Ah, mes p’tits poulets, vous connaissez pas encore Jan Bucquoy fiche technique? Une sorte de "général Alcazar" belge, celui-là ! Mais si, tu sais, le général aux airs révolutionnaires qui passe son temps à comploter contre l’oppresseur dans Tintin et les Picaros (la vie politique des belges). Eh bien, Bucquoy Jan in Perpignan, c’est un peu ça, version moules-frites et humour au vitriol. Il se prend pour un guerrier des arts, et son terrain de jeu, c’est le Palais Royal de Bruxelles, rien que ça !

Entre 2005 et 2010, notre Jan a tenté pas moins de cinq fois de prendre d’assaut le palais.

Et pas à la manière d’un soldat, non ! Lui, il y va tout en poésie et en burlesque, comme si c’était une performance au théâtre. Une conquête symbolique, qu’il disait, un pied de nez à la royauté, l’artillerie remplacée par des idées. Mais bien sûr, ça a fait du bruit, forcément ! Les médias et les curieux se sont régalés, les institutions belges un peu moins. Entre nous, c’est pas le genre de mec qui tient la langue dans sa poche.

Evidemment, à force de titiller la couronne et de piquer les fesses du pouvoir, il s’est pris quelques procès dans la tronche, pour lèse-majesté, pas moins !

Parce que oui, en Belgique, attaquer la dignité du roi, c’est encore sérieux, et Jan, il s’est retrouvé à défiler devant les juges plus d’une fois.

Mais c’est mal connaître le bougre ! Rien que ça, ça l’a pas calmé, ça l’a même motivé. Depuis, il continue à secouer les cocotiers et à amuser la galerie, toujours prêt à bousculer le bourgeois et à dynamiter les conventions.

Art, cinéma, performances improbables, il touche à tout, le Jan ! Et il fait jaser le monde, remettant en question toutes les belles structures de la société belge.

En résumé, Bucquoy , c’est le général Alcazar bio, mais en plus pince-sans-rire et en plus persistant. Et tant que la Belgique aura des palais, des rois, et des conventions, ce bon vieux Jan trouvera bien quelque chose à leur balancer dans les gencives.

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22 août 2024 4 22 /08 /août /2024 13:36

Les catalans savent-ils qu'il y a des personnes dignes d'être connues, Dali, vous connaissez, mais ce petit fils catalan, de guérillero Républicain, puis dans la deuxième DB du picard Leclerc, le descendant lui fait ses armes dans le cinéma et la vidéo...

Cinéaste, conférencier et formateur, Florent Pallares est membre de la fondation Film Spring Open https://fsofrance.org/florentpallares/ depuis 2008 et titulaire d’un doctorat en études cinématographiques et audiovisuelles. Il a créé en 2013, Film Spring Open France.

Il est cofondateur et responsable de la formation pratique du BTS Audiovisuel option « Métiers de l’Image » du Lycée Pablo Picasso et conférencier en histoire du cinéma à l’Université de Perpignan Via Domitia.

Il est le représentant de la FRAME (Fédération de Recherches sur l’Audiovisuel, les Médias et l’Écologie) et directeur artistique des Red Eyes Cool, un groupe international de cinéastes. Il dirige également deux festivals : les Rencontres du court-métrage « Image In Cabestany » et les Étoiles du court-métrage.

Il a été conférencier sur le dispositif « Lycéens et Apprentis au Cinéma » du CNC et a encadré pour l’Institut Jean Vigo, les projets « Passeurs d’Images » du CNC et « Cinéma 100 ans de jeunesse » de la Cinémathèque Française.

 

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25 juillet 2024 4 25 /07 /juillet /2024 10:46

 Si Dominique Pinon était une saucisse catalane, on aurait refusé des places aux Clap Cinés Canet et Leucate, mais voilà comme vous n'êtes que des ventres vous n'avez pas jugé bon de venir rencontrer Dominique, tout droit revenu de Glasgow en Écosse pour refaire une apparition dans la nouvelle saison de la série Outlander 

 

https://www.programme.tv/news/series/141738-dominique-pinon-heros-de-la-serie-etrangere-outlander/alors qu'on l'avait déjà vu récemment dans Walking Dead Daryl Dixon https://www.programme-tv.net/news/series-tv/341143-cet-acteur-francais-a-joue-dans-outlander-the-walking-dead-et-alien-mais-vous-ne-le-connaissez-surement-pas/ . C'est le héros très discret de la carrière internationale : une sorte de Omar Sy non racisé ! Outre la joie que nous avons eu de revoir Délicatessen https://www.youtube.com/watch?v=GVL5_I4CvTc&ab_channel=RialtoPictures, il nous a raconté quand sur le tournage d'Alien 4, l'actrice Winnona Rider leur a proposé de fumer un truc pour se détendre avant une scène, ou comment Robert de Niro lui fit une surprise en arrivant sur le tournage du "Pont du roi"! Featuring monsieur loyal magic Jérôme Quaretti

En direct du Clap Ciné de Canet en Roussillon l'Archipel contre attaque était avec l'acteur et comédien Dominique Pinonhttps://tpa.fr/acteurs-theatre/pinon-dominique-960.html  #alien4 #améliepoulain #Dikkenek #delicatessen en nocturne...

Canet et Leucate Clap Ciné: l'acteur Dominique Pinon entre un "splif" avec Winnona Rider et une bouteille de champagne offerte par Robert de Niro! interview par Nicolas Caudeville
Canet et Leucate Clap Ciné: l'acteur Dominique Pinon entre un "splif" avec Winnona Rider et une bouteille de champagne offerte par Robert de Niro! interview par Nicolas Caudeville
Canet et Leucate Clap Ciné: l'acteur Dominique Pinon entre un "splif" avec Winnona Rider et une bouteille de champagne offerte par Robert de Niro! interview par Nicolas Caudeville
Canet et Leucate Clap Ciné: l'acteur Dominique Pinon entre un "splif" avec Winnona Rider et une bouteille de champagne offerte par Robert de Niro! interview par Nicolas Caudeville
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Canet et Leucate Clap Ciné: l'acteur Dominique Pinon entre un "splif" avec Winnona Rider et une bouteille de champagne offerte par Robert de Niro! interview par Nicolas Caudeville
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16 juillet 2024 2 16 /07 /juillet /2024 11:49

Après Carmaux http://l-archipel-contre-attaque.over-blog.fr/2024/03/carmaux-apres-jaures-il-y-a-toujours-de-l-humanite-grace-notamment-au-festival-des-seconds-roles-au-premier-plan-face-a-la-fadeur-du-monde-il-reste-leurs-le-caractere-nicolas-caudeville-featuring-jerome-quaretti.htmlVendredi 19 juillet à 21h, venez rencontrer l’acteur Dominique Pinon qui présentera le film « culte » « Delicatessen » de Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet. Il parlera de ce film et de sa carrière avant la projection du Clap Ciné Leucate Barcarès puis animera un débat post projection au Clap Ciné de Canet en Roussillon. Attention ! Places limitées …

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7 mai 2024 2 07 /05 /mai /2024 18:25

CINÉ DÉBAT AVANT-PREMIÈRE : GARE À PERPIGNAN
🕑 Jeudi 09 mai à 19h
⭐ Ciné débat avant-première exceptionnelle de GARE À PERPIGNAN en présence du réalisateur BERTRAND SCHMIT sur la campagne des municipales de 2020 où tout a basculé dans la capitale nord-catalane...

Entrée réduite pour toutes et tous : 6,90€ ou cartes d'abonnement
 

https://www.ticketingcine.fr/?nc=1161&lang=fr&ids=24622&ps=erakys&cmp=other&fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTAAAR12_YqinjV1NPAKBcbuq2R8P4237Ht4ozI1vuE631iJNRVlCzcX40H-ZXw_aem_AYjGkxwkxlHJ1MNQ5D68_njtw28tww5KxBNjCteSSsA8K8FvTclHT8qqC3sl1vt7bkr-HuZ113oO4OTEiTHrBCOx

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