La députée RN de la première circonscription Sophie Blanc avait, des avant l'annonce par courrier de la fermeture au 1er avril prochain, à la demande de l'équipe d'urgentistes de Médipole Cabestany pris en compte de l'état de déconstruction de la santé aux mains du fonds de pension Elsan propriétaire de la clinique. Il y a à peu près 2 semaines recevant moi-même le courrier annonçant la fermeture des dialyses de nuit, consécutivement à la fermeture des urgences de nuit de Médipole, j'avais alerté tous les élus et représentants politiques du département. Pour retour, il y avait eu la réponse des sénateurs LR, mais qui n'ont pas encore communiqué à l'extérieur le fruit de leur réflexion. Et la réactivité de Sophie Blanc qui l'a transformé en question au gouvernement. La réponse de Prisca Thevenot n'a pas été à la hauteur de l'enjeu, et de la menace que laisse planer le report des patients des urgences de nuit sur les urgences de l'hôpital de Perpignan déjà à l'os. L'information au local a été très mal relayée, compte tenu de l'urgence de l'urgence, si j'ose dire. France 3 Pays Catalans a été très "souple" avec le directeur de Médipole, le sieur Olombard, parce qu'en sous-texte, "une députée fasciste ne peut avoir raison", que dans le doute, tout de gauche qu'on puisse être : on se place du bon côté du manche capitaliste... France-Bleu Roussillon quant à elle, la radio locale de Paris, à interviewé la députée, mais n'a pas diffusé l'interview...
Finalement, l'archipel contre-attaque a tendu son micro.
Fermeture #urgence Médipôle #cabestany et la #dialyse de nuit #Députée RN Sophie BLANC était en direct pour l'archipel contre attaque semble être la seule à réagir et continuer d'empêcher la catastrophe #santépubique
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