
commenter cet article …
Comme tant d’autres j’ai connu Jacques pendant de longues années ; nous nous sommes côtoyés lors d’expositions diverses, pendant Confrontation ou le colloque de l’Institut Jean Vigo, où il officiait comme journaliste, dans les bars aussi. Militant, poète, écrivain, esthéticien, l’ambiguïté du terme lui eût plu, historien, même s’il disait ne l’être point, négligeant qu’il avait été plus qu’un passeur lorsque qu’avec Xavier Febre et René Grando il avait ouvert à tous, ici, la mémoire de la Retirada, ce flamboyant était un modeste. Avec une nonchalance teintée d’ironie, il s’exerçait avec bienveillance à la maïeutique socratique, laissant pantois ses interlocuteurs souvent adeptes des positions tranchées. Dans l’ univers intellectuel de notre temps, étrange conglomérat de pédantisme, d’affirmations mal fondées, de parti-pris souvent imbéciles et d’autosatisfaction suffisante, il savait affirmer la solidité de ses convictions, non sans prendre avec elles quelque élégante distance. Jacques Quéralt était un dialecticien rare, qui savait que seule la nuit peut exprimer la splendeur de la lumière, qu’elles lui soient toutes deux douces.
Qu'enfin harem: artiste peintre décorateur et surtout dessinateur ! Ayant fait des études des beaux arts a Perpignan et Épinal ! Préfère l'école de la vie et les bouquins pour ma ressource personnelle et de l'apprentissage ! Tout mes travaux et expos se rejoignent dans l'humour et le dessin pour en extraire l’élixir de l'auto dérision
Les autres épisodes ici:
http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/tag/bd%20l%27origine%20avant%20le%20confinement/
Né à Auch, Jacques Quéralt, bretteur de l'esprit, nous a quitté ce matin: je perds un de mes mentors. Une personne que j'avais rencontré , il y a longtemps en 1991 , du temps où je joué un évêque dans une fresque médiévale sur les rois de Majorque. Je l'avais revue en 1997 à Barcelone, il était derrière un voyage de jeunes d'ici en Catalogne sud "Descubrim à Catalunya" . J'avais l'habitude de squatter son bureau rue Rabelais où il s'occuper de la communication au service de la culture de la ville de Perpignan. Il m'a présenté de nombreuses personnes du monde artistique et intellectuel. Je tiens de lui notamment 3 choses, la passion pour la culture locale et sa promotion, le goût de faire se rencontrer les gens entre eux et qu'il leur advienne des projets, le goût pour la culture catalane et sa langue, et enfin de passer directement le téléphone à des protagonistes qui n'y sont pas préparées. Longtemps j'ai traîné dans ses guêtres comme Adso de Melk, le novice de Guillaume de Baskerville, le héros du "nom de la Rose" d'Umberto Ecco sur les traces de prestigieux nord catalans , comme le rabbin Hameïri https://fr.wikipedia.org/wiki/Menahem_Hame%C3%AFri ou le chanoine d'Elne Miquel Giginta...Il avait des réflexions comme des messages codés , comme dans son livre d’aphorisme en catalan: "le petit lait ne me soûle pas" , du genre "Nicolas, sais tu pourquoi à Perpignan, il y a beaucoup d'avocats d'affaire? Non Jacques, je ne sais pas. Parce que, il y a beaucoup d'affaires!" Sur le moment , je ne voyais là qu'une lapalissade, je ne compris bien plus tard que sa signification réelle !
Je vous ai concocté rapidement les premiers hommages qui lui ont été rendu dans l'ordre l'écrivain catalan ascendance russe blanche J Daniel Bezsonoff Montalat, le journaliste Michel Lloubes et l'artiste catalan exilé en Suéde Frédéric Iriarte , puis une interview de lui et du chanteur Pére Figuère , successivement en français et en catalan, sa présentation des œuvres en liège du même Pére Figuère et enfin à 7mn 45 d'un hommage au sculpteur José Bonhomme, le regard que celui-ci portait sur l'artiste et l'homme. L'archipel contre attaque fera suivre d'autres hommages de ceux qui l'ont connu et aimé. Peut-être que ce personnage mystérieux emporte avec lui le nom de l'assassin de Kennédy et s'il était ou pas un gent du Mossad
"En ce triste dimanche, je viens d’apprendre la mort de Jaume Queralt. La Catalogne perd un poète et moi je perds un ami.
Une fois ou deux par semaine, j’aimais explorer une nouvelle province du monde de Jacques Queralt en parcourant son blog. Les amants des Muses doivent connaître ce poète, auteur d'une œuvre riche et variée. Poète, professeur d'arts plastiques, journaliste chargé de la rubrique culture à l'Indépendant, historien inspiré de la Retirada, biographe de Jordi Barre.
Son blog nous tenait au courant de l'actualité catalane, aussi bien picturale que musicale ou littéraire. Un festival d'alacrité. Queralt connaissait tout le monde. Léo Ferré avec qui il refaisait le monde, Roger Peyrefitte avec qui il devisait sur Voltaire. Passionnément attaché à la Gascogne où s’étaient réfugiés ses parents en 1939, amant de la terre catalane, Queralt s’intéressait à tout. A la Kabbale, aux troubadours, à la chanson, aux romanciers mexicains, aux théologiens danois. Auteur d’une poésie subtile, exigeante et parfois populaire au sens noble du terme, Jacques saisissait au bond toutes les métaphores .
Alternant le français et le catalan, avec quelques incursions en castillan du siècle d'or, Queralt, se déguisant avec des rubans d'hétéronymes comme Arsène Lupin, confiait ses enthousiasmes et commentait la correspondance du commandant François de Fossa, compositeur perpignanais romantique connu comme le ' Haydn de la guitare.' Sauver de l'oubli ce musicien constituait une mission sacrée pour Jaume Queralt. Comme Emil Cioran, il avait bu toutes les liqueurs de la mélancolie, mais il le cachait avec la classe d'un Cary Grant, un humour poignant qui devait tout à la discrétion. Queralt aurait peut-être aimé être optimiste, mais il était allé si loin dans sa connaissance de la vie qu’il s’était réfugié dans une citadelle idéale, où durant les nuits d'été, les perroquets savants imitent tous les bruits du quartier qu’ils ont captés dans la journée."
EL MESTRE JAUME ENS A DEIXAT !
"Jacques Queralt fut une des figures de l’Indep à la trop belle époque de la rue Emmanuel Brousse. Lorsque je l’ai connu, il y passait souvent plus qu’il n’y stationnait, mais à chaque fois on savait qu’il était là. Et bien là. Car il se remarquait « mestre Jaume ». Parfois pontifiant, avec cette ironie à fleur d’une barbe qui blanchit très tôt, parfois murmurant, pour capturer l’attention, mais jamais sans se prendre au sérieux et nombreux étaient ceux qui se demandaient qui était lard et qui était cochon lorsqu’il avait parlé. Non pas qu’il veuille écraser tes orteils de pauvre terrien en s’envolant dans quelque démonstration superbement hyperbolique, non, c’était au naturel, comme le thon, ou le ton, sa façon d’être là, avec toi ou les autres… Personne ne s’est jamais ennuyé à l’écouter ou à le lire, fallait parfois décrypter, c’est tout, question d’habitude.
J’aimais beaucoup sa façon de clôturer ses phrases, ou plutôt ses envolées, par une sorte de petit rire retenu qui voulait dire « ben voyons, élémentaire, non ? » Désormais il ne rigole plus, ou peut être, au contraire là où il est il se fend la poire et le fromage entre lesquels nous nous sommes souvent trouvés, à côté de quelques bouteilles et avec plein de monde autour… Quel merveilleux convive il était alors, et quel splendide journaliste il fut."
"Je viens d´apprendre la disparition de Jacques Quéralt. Un ami, un collègue, un journaliste et professeur de renommée, entre-autres à l´École des Beaux Arts de Perpignan. Critique d´art à la réputation internationale et aux connaissances profondes, il m´a, non seulement, appris la rétorique et l´argumentation sur l´art mais aussi a participé et soutenu ma carrière artistique pendant bientôt 40 années. Plusieurs de ses essais et rencontres sont mémorables et émanent d´un homme humble et de plein de savoir. Je suis très peiné de son départ et il restera dans mon cœur et dans mon esprit et cela à jamais. Jacques tu m'as accueilli et écouté comme peu de personnes l´on fait."
4 / Mensonges et simulacres
En ce début de XXIe siècle, si le mensonge domine l’ensemble de la société, les mensonges particuliers et concurrents n’ont plus d’objectifs définis, mais un objectif général : celui d’entretenir la confusion.
Ces mensonges particuliers ne sont plus produits pour falsifier un détail de la société mais la société dans son ensemble. Ils peuvent s’affronter, se démentir, se contredire et utiliser, pour ce faire, le flux tendu d’images et de mots et l’apparente liberté d’un système médiatique à qui on ne demande pas de faire comprendre mais de distraire.
Il est permis à chaque mensonge particulier d’apporter son propre démenti, puisqu’il ne falsifie pas une information sur la réalité, mais son simulacre réalisé. Qu’il s’agisse de la manipulation ou de sa dénonciation, celles-ci ne reposent sur rien de vérifiable. Ce qui peut être si facilement démenti ne se rattache plus au monde de la preuve.
À l’image de la conception postmoderne de la société, ces mensonges performants sont définitivement détachés du cours réel des choses. Leurs pseudo-conflits sont là pour dissimuler l’existence d’un autre plan de réalité : celui d’une vie quotidienne totalement dégradée.
Mais, pour que domine sans réplique des mensonges si performants, il a d’abord fallu faire disparaître l’opinion publique, et que celle-ci conforme ses opinions à celles très contemporaine des réseaux sociaux ; il a fallu également rendre obsolète la connaissance historique, au point de faire oublier jusqu’à l’histoire récente.
Ce qui n’a plus d’histoire a toujours existé ; ainsi en va-t-il de toutes les formes de superstitions, qu’elles soient divines ou financières.
Dans le monde étrangement inversé de la société du chaos, le plus souvent, vrai et faux n’impliquent rien pour l’un comme pour l’autre et s’équivalent. L’avantage d’un fait qui existe sans qu’on ait besoin d’en rechercher la cause, c’est qu’il n’a jamais tort.
Ce que le langage a perdu se répercute socialement dans l’atomisation de la vie quotidienne, dans la perte généralisée de tout sens logique, dans la difficulté croissante à penser de nouvelles formes d’auto-organisation ou, plus tristement, dans l’incapacité à favoriser de simples gestes de solidarité.
En tant que simulacre culturel, le postmodernisme a emprunté le discours et les postures de la gauche et de l’extrême gauche pour en venir à élaborer un projet politique conjuguant et confondant, sans contradictions possibles, le libéral, le libertaire, le fanatique et le médiatique.
Cette réduction de toute l’existence sociale aux seules valeurs de la domination signe sa première victoire.
Dorénavant, les nouveaux stratèges de la société du chaos n’ont plus besoin de détourner ni de récupérer la théorie critique chez ceux qui remettent en cause cette société et la combattent. Ils sont capables d’écrire et diffuser eux-mêmes une telle théorie et la faire admettre comme étant la seule théorie critique possible. Pour parvenir à un tel résultat il a fallu non seulement empêcher toute velléité de pensée critique, mais construire le postmodernisme comme pensée unique et le faire admettre comme tel.
Les post-citoyens aiment retrouver dans leurs séries, bien à l’abri de leurs prothèses, des gens qui leur ressemblent et auxquels ils peuvent s’identifier. Comment pourraient-ils imaginer une seconde qu’ils sont formatés depuis leur prime enfance à répondre docilement aux sollicitations de leurs maîtres ; qu’il leur est seulement permis d’admirer des êtres toujours pires qu’eux.
Les post-citoyens qui trouvent intolérable d’être représentés, admettent sans peine la représentation que le système médiatique donne d’eux.
Ils veulent bien admettre l’existence d’un complot extra-terrestre, d’une révolte des machines, d’une secte contrôlant le destin de l’humanité, voire même d’une vengeance divine, mais jamais que leur aliénation puisse avoir une cause politico-économique. Rien ne leur fera admettre que ce sont des représentants politiques, économiques et médiatiques qui organisent délibérément leur déréalisation.
Ce qui les dépossède de leur langage et de leur identité est aussi ce qui les possède : une étrange puissance extérieure qu’ils ont pourtant eux-mêmes produite.
Pour eux, la réalité, ou ce qui en tient lieu, est devenue un simulacre qui semble incontestable et demeure jusqu’ici incontesté.
Au nom de leur liberté critique, les séries télévisuelles diffusent massivement une vision postmoderne du présent qu’elles ne peuvent donc promouvoir que mortifère et nihiliste. Elles se complaisent à mettre en scène des corps suppliciés, dégradés, drogués, effrayés, séparés, manipulés ou violés. Leurs personnages n’échangent que des regards de fous ou des regards de haine.
Dans ces simulacres performants la critique politique et sociale est réduite à des stimuli voyeuristes qui ruinent une conception ancienne de l’amour, de l’amitié, de la tendresse, de la solidarité, de l’entraide, de l’empathie, de la camaraderie, de la fraternité et du désintérêt. Dans de telles séries, aucune trace d’humanité ne doit venir perturber l’apologie du désespoir, de la solitude, du déni de soi et des autres, du cynisme, de la haine, de la violence, de l’égoïsme, de la manipulation et de la domination.
Quels intérêts servent ces séries ? À quels maîtres ont fait allégeance les concepteurs de ces simulacres télévisuels qui parviennent si facilement, en les rendant invisibles, à escamoter les conditions réelles de la révolte et à ruiner tout renouvellement de la pensée critique, au nom même de la pensée critique ? Sous les cieux de quels algorithmes ?
Voir les autres épisodes de "la société du chaos"
http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/tag/la%20societe%20du%20chaos/
"En reconnaissance Soignants et toutes les professions actives sur le front du #Covid #coronavirus. Tout mon soutien aux patients dans cette crise sanitaire anxiogène. Genèse du Projet expliqué en un Pdf: https://bdd.rdplf.org/index.php/bdd/article/download/19153/18133La Montagne dans le sang, un film "HUMAIN", "POSITIF" et "ENGAGÉ" - "Meilleur film 2019" au festival international Côte d'Azur Sport Film Festival."
La montagne dans le sang : se soigner la nuit pour revivre le jour. Découvrez l'aventure hors-norme de Fabrice Huré, dialysé depuis plus de 20 ans et fervent partisan de l'hémodialyse longue nocturne en chambres individuelles, qui s'est lancé le défi de participer au Trail du Bourbon au cœur de l'île de la Réunion.
Ces chroniques seront irrégulières et toujours liées à des moments où
la subjectivité critique et la raison sont mises à mal.La première s’adresse à Monsieur le Président, qui la lira peut-être,
s’il a le temps.
Monsieur le Président,
Je viens de vous entendre en cette soirée de confinement et, pour nous
Perpignanais, de couvre-feu. Vous avez tenté, après votre rôle de chef
de guerre de redevenir plus humain. Mais comme l’écrivait en son temps
Philip. K. Dick, un androïde restera toujours un androïde. Ce qui lui
fera toujours défaut, c’est l’empathie. Dick écrivait d’ailleurs à ce
sujet : « L’Univers tout entier est un vaste laboratoire, d’où sortent
des entités cruelles et rusées qui nous tendent la main en souriant.
Mais leur poignée de main est une étreinte mortelle, et leur sourire a
la froideur de la tombe. »
Monsieur le Président, un être humain qui se désintéresse du sort de
ses semblables, un être humain dépourvu d’empathie ou d’émotion est la
même chose qu’un androïde conçu pour ne pas en avoir, soit par erreur
soit à dessein : un pur et indifférent spectateur.
La mutation la plus spectaculaire qui bouleverse notre univers est
sans doute la déréalisation de l’homme, mais cette mutation
s’accompagne en même temps d’une pseudo-humanisation de l’inanimé par
la machine. Monsieur le Président, s’agissant de vous et de votre
gouvernement, on ne peut plus désormais opposer les catégories pures
du vivant et de l’inanimé. Cet inanimé traduit simplement ce qui vous
anime en tant que simulacre du vivant : un simple comportement de
banquier.
Monsieur le Président, on ne demande pas à un banquier ou un trader
d’être autre chose que des machines dénuées de toute humanité. On ne
leur demande pas non plus d’avoir une vision stratégique et une pensée
historique. On ne leur demande pas de prendre les bonnes décisions
dans des moments de crise, comme celle que nous traversons : ils en
sont incapables.
Monsieur le Président, dans votre allocution vous avez simultanément
interdit l’ouverture des cinémas, restaurants et cafés, mais encouragé
celle des écoles, collèges et lycées. Voici bien une affirmation, une
prétention et une mesure de banquier dont chacun peut comprendre les
enjeux indirects : qu’importe la contamination par les enfants du
moment que leurs parents travaillent. On peut percevoir ici, le mépris
dans lequel vous tenez le bas-peuple.
Monsieur le Président, depuis le début de cette crise, vous et votre
gouvernement n’avaient cessé de vous contredire, prenant la mesure
indispensable toujours trop tard. Vous, vos ministres et vos
conseillers scientifiques avaient sans cesse changé d’avis, parfois
jusqu’à deux fois dans la même journée (la fermeture des écoles).
S’agissant d’une telle faculté d’indécision, totalement hors norme, je
vous conseille de méditer cette réflexion du Cardinal de Retz : « Tel
est le sort de l’irrésolution : elle n’a jamais plus d’incertitude que
dans la conclusion. »
Voir aussi , La Société du Chaos
http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/tag/la%20societe%20du%20chaos/
Scène extraite du film Blade Runner, (1982) réalisé par Ridley Scott et inspiré assez librement du roman Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?
L'idée de faire appel aux artistes de la scène locale est née des posts de tous ces artistes qui adoucissent nos jours et nos nuits, grâce à leurs initiatives individuelles.
Notre scène musicale étant une des plus fécondes de France, il m'a paru normal, connaissant la plupart des artistes grâce à mon métier de journaliste à "l'Indépendant", de leur lancer un appel à soutien pour le monde hospitalier. L'art et la solidarité ont toujours fait bon ménage, le but étant de récolter des fonds pour nos blouses blanches. Chaque artiste ou groupe sollicité et consentant offrira un de ses morceaux que le public pourra acheter sous forme de compilation portant le titre d' "I Got The Blouse" sur cette page. L'intégralité des bénéfices sera alors reversé à l'hôpital de Perpignan, au SMIT (service des maladies infectieuses et tropicales) qui combat le COVID-19 24H/24.
Un geste altruiste pour ceux et celles qui sont dans les tranchées de la médecine d'urgence et pour vous, heureux donateurs et donatrices, l'occasion de faire une bonne action et de découvrir la richesse de notre scène musicale exceptionnelle.
Le personnel hospitalier a besoin de moyens pour améliorer ses conditions de travail et de savoir que chacun à son niveau, fait un geste en sa faveur. Nous avons agi dans la mesure de nos moyens, et espérons que vous vous joindrez à cette action de solidarité....
Vous pouvez vous rendre sur la page facebook "I Got The Blouse" pour écouter les styles musicaux des artistes participants ; pop, rock, rap, chansons françaises, musiques du monde... Notre région a une richesse et une variété d'artistes musiciens incroyablement talentueux, laissez vous tenter par la découverte de leurs chansons !
Qu'enfin harem: artiste peintre décorateur et surtout dessinateur ! Ayant fait des études des beaux arts a Perpignan et Épinal ! Préfère l'école de la vie et les bouquins pour ma ressource personnelle et de l'apprentissage ! Tout mes travaux et expos se rejoignent dans l'humour et le dessin pour en extraire l’élixir de l'auto dérision