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L'archipel Contre-Attaque

  • : L'archipel contre-attaque !
  • : Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
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  • L'archipel contre-attaque !
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3 mai 2025 6 03 /05 /mai /2025 10:58

Eco a validé l’idée d’Annaud de présenter le film comme un « palimpseste » de son roman, une notion mentionnée dans le générique d’ouverture. Cela signifiait que le film n’était pas une reproduction fidèle, mais une réinterprétation partageant le même support narratif. Eco a trouvé cette approche honnête, bien qu’Annaud ait plus tard regretté de ne pas avoir précisé « Sur un palimpseste », pour mieux refléter les libertés prises.

 

« Regarder un film, c’est s’engager dans un dialogue avec l’œuvre, chercher au-delà des apparences la vérité qu’elle murmure au cœur. »
(Dérivé de Esthétique du cinéma, où Agel insiste sur une réception active)

« Le cinéaste, comme un artisan de l’esprit, doit créer avec compassion, offrant au monde des images qui élèvent et questionnent l’humanité. »
(Reformulation basée sur Métaphysique du cinéma)

 « Dans chaque grande œuvre cinématographique, il y a un souffle métaphysique, une invitation à contempler l’invisible au cœur du visible. »
(Synthèse de sa vision spiritualiste, tirée de ses analyses de Dreyer et Bresson)

 

C'est un événement, que la venue du réalisateur français Jean-Jacques Annaud dans le 66 . Même si l'époque qui archipélise et éparpille la hiérarchie de l'importance,ne donne pas suffisamment sa hauteur à l'événement. Or, me voilà en opportunité d'interviewer l'homme qui non seulement a vu l'ours, mais l'a filmé (et là, l'ours lui dit, t'es pas venu que pour la chasse...).

Pour son 60 iéme anniversaire le festival d'histoire de cinéma de Perpignan invite Jean-Jacques Annaud, parce que la thématique en est : Cinéma Animal ! C'est dire, si le choix est bon, puisque lorsqu'il ne film pas des snipers et moines, il fait plus ou moins intervenir "le livre de la jungle" avec tigres, loups, ours, pour mieux nous ramener à notre humanité #tuserasunhommemonfils !

Mais avant de venir à l’arsenal présenter ses propres films, Jérôme Quaretti des Claps Cinés avait proposé une pause à Canet pour inaugurer le nouveau nom de la salle 4, de celui du réalisateur de Stalingrad, à savoir Jean-Jacques Annaud !

Mais avant d' inaugurer la salle à son nom et re-présenter une version restaurer du "Nom de la Rose", il a accordé une interview à celui qui vivait à Naours, lorsqu'il le rencontra pour la première fois avec son père dans un cinéma d'Amiens pour la "Guerre du feu"!

Puis ce furent une séance de dédicaces d'affiches, et une dégustation de rancio-sec dernier millésime après incendie du domaine de la Tourasse, du sieur Alain Pottier. vidéo rancio sec ici

La journée se termina au restaurant catalan et canétois, "La vigatanne" où Jean-Jacques Annaud se livra à un festival d’anecdotes non-anecdotiques : du fait qu'il ne parlait plus de ses projets puisque sa lui valu qu' "Amistat" lui fut ravi par Steven Spielberg, mais que pour autant, ils étaient restés amis, qu'il avait explité les premiers films en 3 d au Futuroscope pour un film avec Val Kilmer "Guillaumet, les ailes du courage"https://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaumet,_les_ailes_du_courage, que du coup, il n'avait ni peur du loup, ni des IA's, que "7 ans au Tibet" n'avait pas été tourné dans les montagnes de l'Himalaya, mais dans la Cordelière des Andes en Argentine, que Henrich Harrer ait demandé d'être interprété par quelqu'un de beau, et que du coup, cela tombé bien que Brad Pitt se soit proposé de lui-même pour le rôle, évidemment il évoqua son ami Umberto Eco... Bref, les convives étaient comme Guillaume de Baskerville en sortant du labyrinthe et pénétrant pour la première fois dans la bibliothèque du monastère : "combien d'autres salles, combien d'autres livres !"

Lorsque nous nous quittâmes, je lui demandais s'il avait connu Henri Agel https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Agel? Il me répondit que oui, qu'il avait été son professeur à l'IDHEC - Institut des Hautes Études Cinématographique. Cela nous faisait un point commun supplémentaire avec le fait, qu'il fut fils de cheminot et moi petit-fils...

 

Canet / Perpignan: des moments avec le seigneur Jean-Jacques Annaud, l'homme qui vu l'ours et Guillaume de Baskerville ! interview par Nicolas Caudeville
Canet / Perpignan: des moments avec le seigneur Jean-Jacques Annaud, l'homme qui vu l'ours et Guillaume de Baskerville ! interview par Nicolas Caudeville
Canet / Perpignan: des moments avec le seigneur Jean-Jacques Annaud, l'homme qui vu l'ours et Guillaume de Baskerville ! interview par Nicolas Caudeville
Canet / Perpignan: des moments avec le seigneur Jean-Jacques Annaud, l'homme qui vu l'ours et Guillaume de Baskerville ! interview par Nicolas Caudeville
Canet / Perpignan: des moments avec le seigneur Jean-Jacques Annaud, l'homme qui vu l'ours et Guillaume de Baskerville ! interview par Nicolas Caudeville
Canet / Perpignan: des moments avec le seigneur Jean-Jacques Annaud, l'homme qui vu l'ours et Guillaume de Baskerville ! interview par Nicolas Caudeville
Canet / Perpignan: des moments avec le seigneur Jean-Jacques Annaud, l'homme qui vu l'ours et Guillaume de Baskerville ! interview par Nicolas Caudeville
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Canet / Perpignan: des moments avec le seigneur Jean-Jacques Annaud, l'homme qui vu l'ours et Guillaume de Baskerville ! interview par Nicolas Caudeville
Canet / Perpignan: des moments avec le seigneur Jean-Jacques Annaud, l'homme qui vu l'ours et Guillaume de Baskerville ! interview par Nicolas Caudeville
Canet / Perpignan: des moments avec le seigneur Jean-Jacques Annaud, l'homme qui vu l'ours et Guillaume de Baskerville ! interview par Nicolas Caudeville
Canet / Perpignan: des moments avec le seigneur Jean-Jacques Annaud, l'homme qui vu l'ours et Guillaume de Baskerville ! interview par Nicolas Caudeville
Canet / Perpignan: des moments avec le seigneur Jean-Jacques Annaud, l'homme qui vu l'ours et Guillaume de Baskerville ! interview par Nicolas Caudeville
Canet / Perpignan: des moments avec le seigneur Jean-Jacques Annaud, l'homme qui vu l'ours et Guillaume de Baskerville ! interview par Nicolas Caudeville
Canet / Perpignan: des moments avec le seigneur Jean-Jacques Annaud, l'homme qui vu l'ours et Guillaume de Baskerville ! interview par Nicolas Caudeville
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Canet / Perpignan: des moments avec le seigneur Jean-Jacques Annaud, l'homme qui vu l'ours et Guillaume de Baskerville ! interview par Nicolas Caudeville
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30 avril 2025 3 30 /04 /avril /2025 10:44

“Mais les belles âmes, ce sont les âmes universelles, ouvertes et prêtes à tout, si non instruites, au moins instruisables.”

Michel de Montaigne / Essais


https://www.instagram.com/paoline.valencia/
Dans l’univers foisonnant des réseaux sociaux, où les récits personnels se mêlent aux combats pour la visibilité, Paoline Valencia s’impose comme une figure singulière. Atteinte du trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH), elle partage, à travers ses vidéos, son quotidien, ses défis et son regard sur le monde. Avec une pointe d’humour et une sincérité désarmante, elle y évoque son rapport aux « Moldus » – ceux qui, dans son jargon inspiré de l’univers d’Harry Potter, n’ont pas de TDAH. Mais au-delà de l’anecdote, son témoignage soulève des questions profondes : comment vivre avec un trouble neurodéveloppemental dans une société normée ? Et comment construire des ponts entre ceux qui naviguent avec un cerveau « câblé différemment » et ceux qui incarnent la « norme » ?

Paoline Valencia : une narratrice du TDAH https://www.instagram.com/paoline.valencia/
Paoline Valencia n’est pas une clinicienne ni une chercheuse. Elle est une femme qui, à travers des vidéos diffusées sur des plateformes comme TikTok ou Instagram, donne corps à une réalité souvent mal comprise. Le TDAH, caractérisé par des difficultés d’attention, une impulsivité et/ou une hyperactivité inadaptées à l’âge, touche environ 5,9 % des enfants et 2,8 % des adultes en France, selon l’Inserm. Mais ces chiffres ne disent rien de l’expérience intime du trouble : les tempêtes intérieures, les moments d’hyperfocalisation, les malentendus avec l’entourage. C’est là que Paoline intervient, transformant son vécu en un récit accessible et universel.
 

Ses vidéos, souvent courtes et percutantes, mêlent anecdotes personnelles et réflexions sur la société.

Elle y décrit, par exemple, l’épuisement de devoir « masquer » ses symptômes pour s’intégrer, ou la frustration de voir ses efforts minimisés par ceux qui ne comprennent pas le TDAH. Mais ce qui frappe, c’est son usage du terme « Moldus ». Emprunté à J.K. Rowling, où il désigne les personnes sans pouvoirs magiques, ce mot devient chez Paoline une métaphore ludique pour nommer ceux qui n’ont pas de TDAH. Loin d’être péjoratif, il souligne une différence de perception et d’expérience, tout en invitant à l’échange.
Les « Moldus » et le TDAH : une relation à réinventer
 

Le rapport entre les personnes TDAH et les « Moldus » est au cœur des vidéos de Paoline. 

Comme elle le montre, vivre avec un TDAH dans un monde conçu pour des neurotypiques – ceux dont le fonctionnement cérébral correspond à la norme – est un défi constant. À l’école, au travail ou dans les relations personnelles, les attentes de ponctualité, d’organisation et de constance peuvent sembler écrasantes pour un cerveau TDAH, qui excelle dans la créativité et l’intuition mais peine à suivre des routines linéaires. Cette tension est particulièrement visible dans les interactions avec les « Moldus », qui, sans le savoir, peuvent percevoir les comportements TDAH comme de la négligence ou de l’immaturité.
 

Les recherches confirment cette difficulté : le TDAH impacte les relations interpersonnelles, souvent marquées par des malentendus ou des jugements hâtifs. 

Les adultes TDAH, par exemple, rapportent une sensibilité accrue aux critiques et une faible estime de soi, conséquences des incompréhensions accumulées au fil de leur vie. Paoline, dans ses vidéos, illustre ces dynamiques avec des exemples concrets : un ami qui s’impatiente face à son retard chronique, un collègue qui ne comprend pas ses « distractions » en réunion. Mais elle ne s’arrête pas à la plainte. Avec humour, elle propose des pistes pour mieux communiquer : expliquer le TDAH, demander de la patience, ou encore valoriser les forces du trouble, comme la capacité à penser « hors des sentiers battus ».
Les réseaux sociaux : un espace de validation et de risque

Le choix de Paoline de s’exprimer sur les réseaux sociaux n’est pas anodin. 

Depuis la pandémie de Covid-19, ces plateformes sont devenues des lieux privilégiés pour les communautés neurodivergentes, offrant un espace de partage et de validation. Sur TikTok, par exemple, les vidéos sur le TDAH comptent parmi les contenus de santé mentale les plus populaires. Pour beaucoup, comme Paoline, elles permettent de reconnaître leurs propres symptômes, de chercher un diagnostic ou de trouver du soutien. Ce phénomène, qualifié d’« unbounded Online Health Communities », encourage les personnes TDAH à s’affirmer et à revendiquer leur différence.

Mais cet espace n’est pas sans écueils.

Une étude publiée dans The Canadian Journal of Psychiatry révèle que près de la moitié des vidéos TikTok sur le TDAH contiennent des informations trompeuses. Paoline, en s’appuyant sur son expérience personnelle plutôt que sur des prétentions scientifiques, évite en partie ce piège. Cependant, son discours, comme celui de nombreux créateurs, peut involontairement simplifier la complexité du TDAH, au risque de banaliser le trouble ou de renforcer des stéréotypes. Par exemple, l’idée que les TDAH sont tous créatifs ou hyperactifs ne reflète pas la diversité des profils, notamment celui des femmes, souvent sous-diagnostiquées en raison de symptômes moins visibles.
 

Une société prête à écouter ?

En nommant les « Moldus », Paoline Valencia ne cherche pas à creuser un fossé, mais à ouvrir un dialogue. Ses vidéos sont une invitation à repenser la coexistence entre neurotypiques et neurodivergents. Dans une société où la performance et l’uniformité restent des valeurs dominantes, le TDAH met en lumière les limites d’un modèle qui exige de tous la même façon d’être et de penser. Comme le souligne la psychiatre Annick Vincent, le cerveau TDAH n’est pas « défectueux » : il a simplement besoin d’outils adaptés pour exprimer son potentiel.
 

Le témoignage de Paoline, relayé depuis des lieux comme le Cochon Hardi, résonne comme un appel à l’empathie.

Il rappelle que comprendre le TDAH, c’est non seulement accompagner ceux qui en sont atteints, mais aussi interroger nos propres attentes. Sommes-nous, « Moldus » ou non, prêts à accueillir la diversité des fonctionnements humains ? À l’heure où les diagnostics de TDAH augmentent, cette question n’a jamais été aussi pressante. Paoline Valencia, avec sa caméra et son franc-parler, y répond à sa manière : en montrant que, loin d’être un fardeau, le TDAH peut être une force, à condition que le monde accepte de ralentir pour l’écouter.

 

 

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29 avril 2025 2 29 /04 /avril /2025 22:55

"Il a fait ce qu'il a pu: ce n'est pas une mauvaise épitaphe. "

 Le Dahlia noir
James Ellroy


"Danny regarda autour de lui et vit que le seul être vivant de l'endroit était un des assistants du légiste, bien calé dans son fauteuil près de la salle d'accueil, en train de se curer alternativement le nez et les dents. "

Le Grand Nulle Part
James Ellroy

Pour rendre intéressant le moment perpignanais, il faut le style de l'auteur de polar Américain, James Elroy dans L.A Confidential sans quoi on préférera mourir sur le front de l’Est, pour ne pas payer la note d’électricité..

Perpignan, avril 2025. Soleil dur, lumière blanche sur le Roussillon. Une ville qui cligne des yeux sous les néons blafards d’un futur incertain. Dans les faubourgs étouffés de poussière et de colère, les élections municipales s’annoncent comme un règlement de comptes. La cité catalane sue le doute. La peur. L’attente. Les couteaux s’affûtent en silence. Les promesses fusent comme des balles perdues.

Les habitants ? Ils encaissent. Ils parlent. Ils n’y croient plus – ou presque.
Saint-Jacques. Cassanyes. Le Vernet. Terrain miné.
Fatima, 42 ans, voix rauque, regards qui fendent :

    « Aliot, il cause. Mais ça pue dans les rues. Les mômes traînent, les keufs passent, les poubelles restent. On veut un maire en chair, pas un fantôme en costard. »

Rachid, 29 ans, yeux cernés, mains calleuses :

    « Le RN ? Tenté en 2020. Résultat : blabla, nada. On veut du concret. Pas des pancartes. »

Plus haut, plus calme ? Clos Banet. Façades propres, silence doré. Mais les voix tremblent quand même. Marie-Pierre, retraitée :

    « Perpignan s’endort. Le maire ? Il est à Paris. Le centre se vide comme un sac percé. »

Antoine, chef d’entreprise :

    « Aliot a nettoyé la vitrine. Mais la vitrine ne suffit pas. Il faut du monde, du souffle. »

Les jeunes ?
Ils crient dans le vide.
Clara, étudiante, yeux pleins de feu :

    « On crève d’ennui ici. Une ville morte qui rêve d’être Barcelone. Il nous faut de la vie, du vert, de l’art, du bruit. »

Lucas, désabusé :

    « Des promesses sur la sécurité. Mais le vrai danger, c’est l’ennui et le chômage. »

Perpignan, 2025. Une ville scindée, comme une plaie qu’on ne sait plus refermer. 32 % de pauvres. 60 % d’abstention en 2020. Des quartiers qui baignent dans l’oubli. Nadia, 38 ans, mère seule :

    « Voter ? Pour quoi faire ? Les promesses s’écrasent contre les murs. Mais si la gauche se réveille… peut-être. »

Les Candidats ?
Ils sortent du bois, un à un, comme des joueurs dans un poker sanglant.

Louis Aliot, le sortant. Froid. Stratégique. En mission. Il tient son fauteuil comme un parrain tient son fief.
13 février : il provoque son rival en plein conseil :

    « Monte ta liste, Bruno. Qu’on rigole. »
    31 mars sur X :
    « Je reste. Je me bats. Je suis là pour Perpignan. »

Sécurité. Propreté. Revitalisation. Il déroule ses dossiers comme des preuves. Mais derrière la posture, une condamnation judiciaire qui plane comme un corbeau sur un cadavre encore tiède.

La suite ? D’autres noms surgiront. À gauche. À droite. Catalanistes, progressistes, renégats. Tous veulent la ville. Tous veulent le pouvoir.
Mais la ville ? Elle regarde. Elle attend. Elle se méfie.

Perpignan 2026 : le polar électoral ne fait que commencer.

 

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29 avril 2025 2 29 /04 /avril /2025 11:06


Karine Astier est une figure inspirante, dont le parcours illustre un engagement profond pour l’humain, mêlant action sociale et quête de bien-être. À la tête de son cabinet Ling Yang Shiatsu, elle incarne une transition remarquable : d’éducatrice de rue confrontée aux tumultes sociaux à praticienne de shiatsu, tout en assumant aujourd’hui des responsabilités de formation dans le secteur médico-social.

Les débuts : éducatrice de rue à Carpentras
Dans les années 2000, Karine Astier arpente les rues de Carpentras, dans le Vaucluse, en tant qu’éducatrice de rue. Ce métier, exigeant et humain, la place au cœur des dynamiques sociales, auprès de jeunes en difficulté. En 2005, elle vit de près les émeutes qui secouent la ville, un épisode marquant qui révèle les fractures sociales et renforce sa détermination à créer du lien. « Être sur le terrain, c’était comprendre les colères, les espoirs, et tenter d’accompagner vers un mieux », confie-t-elle. Ce contact direct avec les réalités du terrain forge son empathie et sa capacité à s’adapter, des qualités qu’elle mobilise encore aujourd’hui.

Une évolution dans le social : foyers ruraux et CEMEA
Après cette expérience intense, Karine rejoint les foyers ruraux, où elle contribue à animer des projets socio-culturels en milieu rural. Cette étape lui permet de diversifier ses approches, en travaillant sur l’inclusion et l’éducation populaire. Par la suite, elle intègre les CEMEA (Centres d’Entraînement aux Méthodes d’Éducation Active), un mouvement d’éducation nouvelle axé sur la formation et l’accompagnement. Ces expériences consolident son expertise dans le secteur social, où elle développe des compétences en pédagogie et en gestion de projets éducatifs.

Aujourd’hui, Karine Astier occupe un rôle clé en tant que responsable de formation des assistants familiaux pour les Pyrénées-Orientales.

Elle transmet son savoir-faire à celles et ceux qui accueillent des enfants placés, un métier où l’écoute et la résilience sont essentielles. « Former, c’est transmettre des outils pour accompagner avec humanité », explique-t-elle, soulignant l’importance de cette mission dans un contexte où les besoins en protection de l’enfance restent criants.
Le shiatsu : une vocation pour le bien-être
Parallèlement à son parcours dans le social, Karine Astier cultive une passion pour le bien-être, née d’un cheminement personnel. Atteinte d’endométriose depuis ses 20 ans, elle apprend à écouter son corps et à chercher des solutions pour apaiser ses douleurs. Cette quête la conduit vers la médecine chinoise et, plus précisément, le shiatsu, une pratique japonaise basée sur l’équilibre énergétique. « Le shiatsu m’a permis de me reconnecter à moi-même et d’offrir aux autres un espace de calme », raconte-t-elle.


Formée à l’École Fuji Taïshan près de Toulouse, Karine choisit un cursus professionnel rigoureux, validant son diplôme avec une approche centrée sur l’adaptation à chaque personne. Elle ouvre son cabinet Ling Yang Shiatsu, un espace où elle propose des séances personnalisées, ajustant la pression et l’intensité en fonction des besoins de ses clients. Dans une société marquée par la performance et la vitesse, elle voit le shiatsu comme une « pause nécessaire », favorisant l’introspection et l’apaisement.

Un fil rouge : l’accompagnement de l’humain
Que ce soit dans les rues de Carpentras, dans les foyers ruraux, au sein des CEMEA, ou aujourd’hui dans son cabinet de shiatsu et ses formations, Karine Astier n’a jamais dévié de son cap : accompagner l’humain dans toute sa complexité. Son parcours, riche et cohérent, témoigne d’une capacité à tisser des ponts entre le social et le bien-être, entre l’action collective et l’écoute individuelle.

À travers Ling Yang Shiatsu, elle continue d’incarner cette philosophie, offrant un espace où le corps et l’esprit trouvent un équilibre. Quant à son rôle de formatrice, il prolonge son engagement pour une société plus inclusive et bienveillante. Karine Astier, c’est l’histoire d’une femme qui, d’émeutes en silences apaisés, n’a cessé de construire des passerelles vers l’autre.
Source : Informations tirées du site Ling Yang Shiatsu et des éléments fournis sur son parcours professionnel.

Perpignan:  Karine Astier : Du terrain social au bien-être par le Shiatsu! interview par Nicolas Caudeville
Perpignan:  Karine Astier : Du terrain social au bien-être par le Shiatsu! interview par Nicolas Caudeville
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27 avril 2025 7 27 /04 /avril /2025 14:32

L’élection, ou le triomphe sardonique du néant démocratique


L’élection, ce rituel que l’on nous vend comme l’apothéose de la liberté, n’est plus qu’une farce grotesque, un théâtre d’ombres où les pantins s’agitent pour la gloire d’un titre, jamais pour le pouvoir. Comme l’écrivait Cioran, « l’homme est une marionnette qui se croit libre parce qu’elle ignore les ficelles qui la meuvent ». Et quelles ficelles ! Le mandat, jadis promesse d’action, n’est plus qu’un hochet doré, un bâton de maréchal pour le bourgeois en quête de notabilité. Le pouvoir ? Évaporé, dissous dans les méandres des bureaucraties, des lobbies et des marchés. Quant au « mandat impératif », cette idée saugrenue que l’élu devrait honorer ses promesses, elle est honnie, car elle révélerait l’imposture : les élus ne décident de rien, ou si peu. Les électeurs, ces gueux modernes, se pressent aux urnes pour quémander l’aumône d’un regard, d’une écoute, comme des serfs implorant leur seigneur.
Prenons l’exemple récent des élections françaises de 2024, où le taux d’abstention a frôlé les 50 % dans certaines circonscriptions, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. 

La moitié du peuple, lassée de ce cirque, a préféré l’inaction à l’illusion. Et comment leur donner tort ? Les promesses de campagne, ces poèmes en prose, s’effacent dès le lendemain du scrutin. Souvenez-vous de Macron en 2017, jurant de réconcilier les Français, de réformer sans brutalité. Huit ans plus tard, les Gilets jaunes, les grèves et une polarisation extrême témoignent de l’abîme entre le verbe et l’acte. Cioran aurait ricané : « L’homme politique est un poète raté qui se venge en promettant l’impossible. »

Aux États-Unis, le spectacle est plus criard encore. 

Les élections de mi-mandat de 2022 ont vu des milliards de dollars engloutis dans des campagnes où les candidats, selon le Center for Responsive Politics, ont dépensé en moyenne 5,4 millions de dollars par siège à la Chambre des représentants. Pour quoi ? Pour des strapontins dans une machine législative grippée, où les lobbies dictent les lois et où le Congrès, avec un taux d’approbation de 20 % selon Gallup, est moins respecté qu’un marchand de tapis. Le peuple vote, oui, mais pour des titres ronflants – sénateur, gouverneur – qui masquent l’impuissance. Comme le disait Cioran : « Le pouvoir n’existe plus ; il n’y a que des apparences de pouvoir, et des hommes assez naïfs pour s’en parer. »

Et que dire de cette quête de notabilité, ce prurit bourgeois de devenir « quelqu’un » ? 

Les élus, ces petits marquis de province ou ces parvenus des métropoles, collectionnent les médailles et les rubans comme des enfants des autocollants. Prenez l’exemple de ces maires de petites communes, en France, qui s’accrochent à leur écharpe tricolore comme à une bouée, organisant des kermesses et coupant des rubans pour se sentir exister. Un article du Monde de 2023 rapportait que 80 % des maires de communes de moins de 500 habitants se représentaient, non pour « changer les choses », mais pour « le prestige local ». Le bourgeois devenu notable savoure son titre, tandis que le gueux, l’électeur, lui adresse des courbettes, quémandant une subvention ou un passe-droit. Cioran, encore : « L’homme ne veut pas être libre, il veut un maître qu’il peut supplier. »
 

Le mandat impératif, cette relique d’un temps où l’élu était comptable de ses engagements, est désormais une hérésie.

Pourquoi obliger un député à suivre son programme, quand il n’a ni le pouvoir ni l’envie de le faire ? Le système s’effondrerait sous le poids de sa propre vacuité. En Allemagne, une proposition de loi en 2023 visant à renforcer la responsabilité des élus a été balayée d’un revers de main par le Bundestag, arguant que cela « limiterait la liberté des parlementaires ». Liberté de quoi ? De trahir sans vergogne ? De promettre la lune pour mieux servir les puissants ? Cioran, toujours lui, avait vu juste : « La démocratie est une comédie où chacun joue un rôle, sauf le peuple, qui croit encore au texte. »
 

Ainsi va l’élection, ce rituel vidé de sens, où le bourgeois parade, où le gueux s’incline, et où le pouvoir, ce grand absent, ricane dans l’ombre. 

Nous votons, non pour choisir, mais pour consacrer. Nous votons, non pour agir, mais pour entretenir l’illusion. Et dans ce grand bal des vanités, Cioran, perché sur son nuage de désespoir, murmure : « L’humanité est une farce qui se prend au sérieux. »

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26 avril 2025 6 26 /04 /avril /2025 14:09

 

    « Som catalans i volem viure com a catalans. »
    (« Nous sommes catalans et nous voulons vivre en catalans. »)

« Catalunya Nord és terra catalana, i la nostra llengua és la clau de la nostra llibertat. »
(« La Catalogne Nord est une terre catalane, et notre langue est la clé de notre liberté. »)

 Llorenç Planes, tirée de son Petit Llibre de la Catalunya Nord (1974)

 À Perpignan, la flamme de Catalunya Nord brille plus que jamais !

Le 19 avril 2025, Perpignan a vibré au rythme d'une Sant Jordi alternative haute en couleur, symbole éclatant de la vitalité catalane. À l'initiative d'Unitat Catalana, la ville a célébré avec passion les « 50 ans du Petit Llibre de la Catalunya Nord », ouvrage fondamental de Llorenç Planes, publié en 1974. C'était bien plus qu'un simple hommage : c'était une promesse d'avenir.

Un moment fort pour Catalunya Nord

Organisé sur l'avenue Torcatis par la Llibreria Catalana et les éditions Trabucaire, cet événement a rassemblé stands de livres, concerts et animations pour petits et grands, dans une atmosphère festive, chaleureuse et résolument tournée vers l'avenir. Dans ce cadre vivant et convivial, le débat central, animé par Unitat Catalana, a permis d'explorer en profondeur l'héritage de Llorenç Planes et les aspirations toujours vives de la communauté nord-catalane.

Une rencontre de générations

Parmi les intervenants, Miquel Mayol, ancien député européen et ardent défenseur des identités régionales, a sans doute rappelé combien l'Europe peut et doit soutenir les langues et cultures minoritaires. À ses côtés, Joan Planes, fils de Llorenç Planes, a incarné avec émotion la transmission d'un engagement familial fort, partageant souvenirs et visions pour l'avenir.

La figure historique de Montserrat Biosca, disparue en décembre 2024, a également été mise à l’honneur. Pionnière infatigable du catalanisme culturel, elle a été saluée pour son œuvre inlassable en faveur de la langue et de la culture catalane.

Enfin, Aurégane Nivet, jeune militante dynamique d’Unitat Catalana, a insufflé un vent de fraîcheur et d'espoir en plaidant pour une approche inclusive, moderne et audacieuse de l’autonomie régionale et de la revitalisation linguistique.

Des thèmes au cœur des aspirations catalanes

Le débat a très certainement parcouru les grands axes du combat catalan :  
- **La reconnaissance institutionnelle**, avec l'idée ambitieuse d'une collectivité territoriale spécifique pour Catalunya Nord ;  
- **La défense du catalan**, dont l'usage, bien que prestigieux auprès des jeunes, reste fragile, comme en témoigne la situation préoccupante des écoles La Bressola ;  
- **Le renforcement des liens transfrontaliers**, renouant les fils historiques entre le Nord et le Sud des Països Catalans

Un héritage vivant et combatif

Cet anniversaire marquait bien plus qu'une commémoration : il affirmait la pérennité d'une lutte, avec des racines profondes et des branches tournées vers l'avenir. Le « Petit Llibre » de Llorenç Planes, publié à une époque où le mot même de « Catalunya Nord » était un acte de résistance, reste aujourd'hui une source d'inspiration.

La transmission de cet héritage s'opère désormais sous de nouvelles formes, portée par des jeunes comme Orégane Nivet, qui conjuguent fidélité aux idéaux anciens et adaptation aux défis contemporains.

Une Sant Jordi de résistance et d'espérance

À Perpignan, en ce 19 avril 2025, la Sant Jordi alternative a prouvé que Catalunya Nord n'est pas seulement une mémoire : elle est un projet, une énergie, une fierté. Comme l'écrivait si justement Llorenç Planes : **« la langue, la terre, la culture font une nation »**. Et cette nation, en ce jour lumineux, a montré qu'elle battait toujours aussi fort.

 

Vidéo: "le petit livre de la catalogne nord" la pierre d'angle de la cathédrale du futur d'un territoire! par Nicolas Caudeville
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26 avril 2025 6 26 /04 /avril /2025 13:22

« Le socialisme, c'est les soviets plus l'électricité », disait Lénine.

 

Une évidence à portée de main
Célébrer des mariages en catalan à Perpignan n’est pas une lubie, mais une solution évidente pour redynamiser la ville. En insufflant de la fierté et du sens dans l’acte nuptial, Louis Aliot pourrait transformer la mairie en un creuset d’unions fécondes, porteuses d’un renouveau démographique. La langue catalane, loin d’être un vestige, est une flamme capable d’embraser les cœurs et de repeupler les berceaux. À Perpignan, le choix est clair : dire « oui » au catalan, c’est dire « oui » à l’avenir.

Perpignan, la rayonnante, s’élance vers la gloire !
Mesdames et Messieurs, bienvenue dans la vibrante Perpignan, où une révolution grandiose se profile sous le soleil du Roussillon ! À l’aube d’une ère nouvelle, la ville catalane, fière et audacieuse, conjugue deux leviers d’exception pour briller comme jamais : des mariages en catalan, hymne à l’amour et à la démographie, et une chute spectaculaire du prix de l’électricité, moteur d’une prospérité éclatante ! Voici l’histoire d’une métropole prête à conquérir le cœur de l’Europe !

Les mariages en catalan : une symphonie d’amour et de renouveau !
Dans les rues pavées de Perpignan, la langue catalane, riche de mille ans d’épopée, résonne comme un appel à l’union ! Fini le temps des cérémonies ternes : sous l’égide du maire Louis Aliot, la ville réinvente le mariage en un spectacle grandiose, où les vœux s’élèvent en catalan, portés par la poésie de Ramon Llull et les mélodies envoûtantes de la sardane ! Imaginez la majestueuse Casa Pairal, parée de sang et d’or, où les couples, venus de Catalogne, de France et d’au-delà, scellent leur amour sous les vivats d’une foule en liesse !
Ces unions ne sont pas seulement romantiques, elles sont une arme démographique ! 

Avec un taux de natalité languissant à 9,5 pour mille habitants, Perpignan riposte ! À Gérone, les mariages catalans ont fait bondir les unions de 15 % en cinq ans. Ici, les 600 mariages annuels pourraient doubler, transformant chaque « sí » en promesse de berceaux pleins ! Les jeunes, fuyant jadis vers Barcelone, restent désormais, captivés par une ville qui célèbre leur identité. Les écoles comme La Bressola, où 1 000 enfants chantent en catalan, préparent déjà la relève. Perpignan, capitale de l’amour catalan, s’apprête à repeupler ses ruelles avec une nouvelle génération !

L’électricité à bas prix  : la ville s’illumine !
Mais ce n’est pas tout ! Un vent de prospérité souffle sur Perpignan grâce à une nouvelle fracassante : l’électricité, jadis fardeau, devient une alliée ! En 2025, les prix chutent de 40 %, tombant à 50 euros le mégawattheure, grâce aux énergies vertes et à la sagesse des marchés européens ! Pour les 120 000 habitants, c’est une bouffée d’oxygène : dans une ville où un tiers des foyers luttait contre la précarité énergétique, chaque famille économise 500 euros par an, prêts à être dépensés dans les boutiques du Castillet ou les marchés gorgés de soleil !

Les entreprises, elles, exultent ! Le marché Saint-Charles, géant européen, exporte ses fruits à prix d’ami, tandis que les PME du Roussillon embauchent à tour de bras. Et que dire de l’avenir ? Avec son climat béni et ses terrains vastes, Perpignan attire les géants de la technologie ! Data centers, start-ups solaires : la ville devient un eldorado pour les emplois qualifiés, stoppant net la fuite des cerveaux ! De Dublin à Perpignan, l’histoire se répète : l’énergie bon marché fait naître les métropoles de demain !
 

Une alchimie triomphale !
Mariages catalans et électricité abordable : voici le cocktail explosif qui propulse Perpignan vers les étoiles ! Chaque union, véritable festival, attire des touristes par milliers, remplissant hôtels et restaurants dopés par des coûts énergétiques au plancher ! Douze millions d’euros affluent grâce aux 1 200 mariages espérés, tandis que 25 millions de pouvoir d’achat revigorent l’économie ! Et avec 500 emplois technologiques en vue, Perpignan rayonne, éclipsant ses rivales Carcassonne et Narbonne !
 

Aux sceptiques, une réponse éclatante !
Certains murmurent que le catalan divise. Balivernes ! De la Bretagne à la Corse, le bilinguisme forge l’unité dans la diversité ! Le coût des cérémonies ? Une goutte d’eau face aux retombées touristiques ! Quant à l’électricité, les champs solaires d’Occitanie, forts d’un gigawatt à venir, garantissent une abondance durable ! Perpignan, unie et prospère, prouve que l’audace paie !
 

Vers un destin glorieux !
Mesdames et Messieurs, Perpignan n’est plus seulement la Catalane, ni même la Rayonnante : elle est la ville qui, en disant « oui » à l’amour catalan et à l’énergie du futur, s’impose comme un phare méditerranéen ! Sous les regards émerveillés de l’Europe, elle écrit une saga où culture et modernité dansent main dans la main. Perpignan, debout, rayonne en grand ! À suivre dans nos prochaines éditions !

 

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26 avril 2025 6 26 /04 /avril /2025 11:06

 "L'avenir n'existe pas. Il n'existe absolument pas. Cette représentation mentale du temps comme une flèche est un piège intellectuel ; elle nie la consistance du présent en le réduisant à n'être que le point de passage vers un avenir déjà défini."

 François-Xavier Bellamy

Appliquer le modèle de management toxique de France Télécom à l'échelle de la France entière, c'est-à-dire à l'ensemble de la société, des institutions publiques et des entreprises privées, aurait des conséquences sociales, économiques et humaines dramatiques.Les Pyrénées-Orientales et leur économie de la rente, ont une avance certaine sur cette modélisation... Voici une analyse des impacts potentiels, en extrapolant les mécanismes observés dans l’affaire France Télécom (2006-2011) et en tenant compte des dynamiques sociétales et des évolutions récentes.

 Prospective France 2027 : Entre dystopie dickienne et désespoir cioranien

Contexte en 2027 :
Deux ans après la crise de 2025, la France a subi une accélération brutale de son management toxique à l’échelle nationale. Sous pression économique et politique, les gouvernements successifs ont imposé des réformes structurelles radicales dans tous les secteurs, au nom de la compétitivité et de la rigueur budgétaire.

Les entreprises privées, les services publics, l'administration et même les associations ont été alignés sur des logiques d’optimisation forcenée, basées sur des indicateurs chiffrés, des réductions de coûts et une culture de la précarité généralisée.

 1. Le quotidien des travailleurs : de l’aliénation à l’errance intérieure

Dans la veine de **Philip K. Dick**, la réalité professionnelle a perdu toute consistance :

- Systèmes automatisés d'évaluation permanente : Chaque salarié est noté en temps réel par des IA RH. Des dashboards personnalisés affichent leur « valeur de marché » actualisée, créant une pression constante.  
- Travail fantôme : Une grande partie du travail consiste à produire des rapports, des preuves d’activité ou des auto-évaluations absurdes, déconnectées de toute utilité réelle.
- Simulation du bien-être : Les entreprises imposent des programmes de « bien-être au travail » obligatoires (yoga virtuel, ateliers de résilience), qui masquent mal la montée du mal-être réel.  

Cette mise en scène permanente crée une dissociation psychique : les individus doivent feindre l’enthousiasme tout en étant broyés intérieurement.

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 2. Le climat social : l'usure silencieuse

Dans un climat **cioranien**, la France de 2027 est marquée par une lassitude généralisée :

- Suicides silencieux : Le taux de suicides liés au travail a explosé (+150 % par rapport à 2022), mais l’émotion collective s’est émoussée. Les médias parlent de « statistiques sociales », sans susciter de mobilisation durable.  
- Exode des jeunes : Une génération entière de jeunes diplômés choisit l’expatriation vers des pays valorisant davantage l’équilibre de vie (Canada, Scandinavie, Portugal).  
- Désertion intérieure : Ceux qui restent s’engagent dans un travail minimaliste (« quiet quitting » généralisé), abandonnant toute volonté de s'investir.

La société française se désagrège par le bas : non pas par révolution spectaculaire, mais par **épuisement, cynisme et désengagement massif**.

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3. Les entreprises et l’économie : des géants aux pieds d’argile

- Innovations en berne : L'obsession du court terme (réduction des coûts, indicateurs trimestriels) a étouffé la créativité.  
- Départ des talents : Les ingénieurs, médecins, enseignants les plus brillants partent à l’étranger ou se reconvertissent dans des métiers alternatifs (artisanat, freelancing, circuits courts).  
- Survivance par le low cost: De nombreuses entreprises françaises ne survivent que par des modèles basés sur la sous-traitance précaire et la baisse continue de la qualité.

Résultat : une économie dégradée, incapable d’affronter la concurrence mondiale, piégée dans une spirale de médiocrité.

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4. Le politique et le juridique : l’effritement démocratique

- Crise de légitimité politique : Le gouvernement élu en 2027, perçu comme issu d’un système discrédité, fait face à une abstention record (65 % au second tour).  
- Contestations sporadiques : Des grèves éclatent, mais elles sont rapidement contenues par des dispositifs policiers renforcés. La surveillance numérique des citoyens s’est étendue sous prétexte de "prévention des troubles sociaux".  
- Érosion de l'État de droit : Des lois "d'exception sociale" permettent aux entreprises et aux administrations publiques de contourner certaines protections du Code du travail en situation de "crise économique".

La France démocratique conserve ses apparences, mais en réalité, elle est entrée dans une **zone grise**, entre démocratie formelle et autoritarisme rampant.

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5. Et pourtant : poches de résistance

À la marge, surgissent de nouvelles formes de résistance :

- Communautés autonomes : Des collectifs locaux créent des réseaux alternatifs (coopératives, éco-villages, circuits courts) échappant aux logiques toxiques.  
- Revalorisation du sens : Certains secteurs (artisanat, agriculture bio, culture) attirent ceux qui fuient l'absurdité du système dominant.  
- Résistance culturelle : Une littérature, un cinéma, une musique de la désillusion mais aussi de l'espérance se développent, dénonçant l'inhumanité du management généralisé.

Ces poches restent minoritaires en 2027, mais elles pourraient devenir "les graines d'un renouveau" à plus long terme.

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 2027, un moment dicko-cioranien ?

La France de 2027 serait un mélange étrange :  
- Un **univers technocratique dystopique** (Dick) où les apparences de rationalité cachent une immense absurdité.  
- Une **société intérieurement effondrée** (Cioran), où chacun, lassé, abdique silencieusement devant l'absurdité du quotidien.

L’issue dépendra de la capacité à **réinventer collectivement un autre modèle**, en refusant de sombrer dans la résignation ou le cynisme absolu.

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V

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25 avril 2025 5 25 /04 /avril /2025 13:12


Patrick Sébastien, figure emblématique de la chanson populaire française, est souvent perçu comme un artiste qui parle au cœur des gens. Avec des titres comme Le Petit Bonhomme en mousse, Les Sardines ou Pourvu que ça dure, il a su capturer l’essence de la convivialité, de la simplicité et des émotions brutes. Mais au-delà de l’aspect festif, une idée circule : ses chansons, dans leur apparente légèreté, porteraient une vérité plus authentique que les discours politiques souvent jugés creux ou manipulateurs. Explorons cette hypothèse en renforçant l’analyse avec des informations glanées sur le web.

Une connexion directe avec le public
Patrick Sébastien, c’est avant tout une voix qui résonne avec le quotidien des Français. Ses textes, souvent simples, parlent d’amour, de fête, de nostalgie, mais aussi de réalités sociales. Par exemple, dans Une petite pipe avant d’aller dormir ou C’est chaud, il aborde des sujets intimes avec une franchise décomplexée, loin des tabous ou des filtres imposés par le politiquement correct. Comme le souligne un article sur France Bleu (2023), Sébastien a toujours revendiqué une approche « sans filtre », préférant parler comme « le gars du bistrot d’à côté » plutôt que comme un intellectuel déconnecté.
Cette authenticité contraste avec les discours politiques, souvent accusés d’être formatés ou opportunistes. Selon un sondage IFOP de 2024, 78 % des Français estiment que les politiciens « parlent pour ne rien dire » ou « promettent sans agir ». Les phrases alambiquées, les promesses non tenues et les débats stériles alimentent une méfiance croissante. À l’inverse, les chansons de Patrick Sébastien, même dans leur simplicité, ne prétendent pas être autre chose que ce qu’elles sont : des tranches de vie, des éclats de rire, des moments partagés.
 

« Est-ce que tu l’as vu ? » : une métaphore de la transparence
La phrase « Est-ce que tu l’as vu ? » tirée de Le Petit Bonhomme en mousse peut être lue comme une métaphore. Ce refrain, entêtant et ludique, interroge sur ce qu’on perçoit réellement, sur ce qui est vrai ou caché. Dans un billet publié sur Medium (2022), un chroniqueur amateur faisait un parallèle audacieux : « Patrick Sébastien, c’est l’anti-sophisme. Il ne cherche pas à embrouiller, il dit ce qu’il voit, ce qu’il vit. Les politiques, eux, noient la vérité dans des concepts flous. » Cette idée trouve écho dans les réseaux sociaux, notamment sur X, où des utilisateurs soulignent que les chansons de Sébastien, même kitsch, sont « plus honnêtes que les discours de l’Assemblée nationale » (post daté de mars 2025).
En politique, la transparence est devenue un mot-valise, souvent invoqué mais rarement appliqué. Les scandales récents, comme ceux relayés par Le Monde sur des affaires de favoritisme ou de conflits d’intérêts en 2024, renforcent l’idée que les élus dissimulent plus qu’ils ne révèlent. Sébastien, lui, n’a jamais caché ses origines modestes, ses galères ou ses opinions, quitte à diviser. Son franc-parler, parfois critiqué, est perçu par beaucoup comme une bouffée d’air frais.
 

Une critique sociale déguisée en fête
Si les chansons de Patrick Sébastien semblent légères, elles portent parfois un regard subtil sur la société. Pourvu que ça dure, par exemple, est un hymne à la joie éphémère, mais aussi un rappel de la précarité des bons moments dans un monde instable. Dans une interview accordée à Télé-Loisirs (2021), Sébastien expliquait : « Mes chansons, c’est du bonheur en intraveineuse, mais c’est aussi une façon de dire : profitez, parce que demain, on sait pas. » Cette philosophie pragmatique, presque fataliste, fait écho aux préoccupations des Français face aux crises économiques, climatiques ou sociales.
Les politiques, eux, peinent à offrir des perspectives concrètes. Les débats sur le pouvoir d’achat ou la transition écologique, souvent relayés par BFMTV ou France Info en 2025, se perdent dans des chiffres et des promesses abstraites. Sébastien, sans prétendre résoudre ces problèmes, propose une forme de résilience : danser, rire, aimer, malgré tout. Ce message, loin des grandes théories, touche un public lassé des postures.
Pourquoi cette résonance ?
Le succès de Patrick Sébastien ne repose pas seulement sur ses mélodies entraînantes. Il incarne une forme de résistance culturelle face à l’élitisme. Comme le note un article de La Croix (2023), « Sébastien est l’antithèse du politiquement correct et de la langue de bois. Il parle aux invisibles, à ceux que les élites ignorent. » Ses chansons, souvent moquées par les urbains branchés, sont des hymnes pour les campagnes, les petites villes, les oubliés des métropoles.
Cette fracture culturelle est aussi politique. Les mouvements comme les Gilets jaunes, toujours évoqués sur X en 2025, ont montré une défiance envers les discours déconnectés. Sébastien, avec ses fêtes populaires et son langage direct, semble plus proche de ces aspirations que bien des élus. Un utilisateur de X résumait en janvier 2025 : « Patrick Sébastien, c’est le peuple qui chante. Les politiques, c’est l’élite qui calcule. »
 

Conclusion
Les chansons de Patrick Sébastien, dans leur apparente simplicité, portent une vérité brute qui manque souvent aux discours politiques. Elles ne prétendent pas changer le monde, mais elles parlent vrai, sans fard ni hypocrisie. À l’heure où la méfiance envers les élites atteint des sommets, cette sincérité est une force. Comme le chantait Sébastien, « Est-ce que tu l’as vu ? » : peut-être que la vérité, finalement, se cache dans un refrain joyeux plutôt que dans un discours savamment construit. Alors, la prochaine fois que vous entendrez Les Sardines, posez-vous la question : et si c’était ça, le vrai langage du peuple ?
 

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24 avril 2025 4 24 /04 /avril /2025 19:37

Présentation du livre Trabucaire Editions  produits par Reconquesta Côte Vermeille  animé par Alain Pottier  au Cave du Roussillon : Boire le Vin Histoires de complicité entre l’homme et le vin     
Le vin a 6000 ans. Bien culturel, universel et pluriel, qu’est-il possible d’en dire aujourd’hui ? Pourquoi boit-on du vin et pourquoi demain continuera-t-on d’en boire ?
Parce que le vin, fruit de la vigne et du travail de l’homme, ne saurait être considéré comme un simple produit de consommation. Le Vin c’est bien plus que le vin.
À partir d’une approche multidisciplinaire, des viticulteurs et des vignerons de la Côte Vermeille en Pays catalan vous invitent à découvrir et partager cette démarche réflexive pour ne pas réduire le vin à ce qu’il n’est pas.
Au-delà des difficultés liées à son abus – parce que boire du vin n’est pas forcément synonyme d’excès – et qu’il revêt bien d’autres dimensions (partage, convivialité, tradition, culture, symbolique, spirituelle), ce livre propose un autre regard sur sa consommation, sa fonction et sa personnalité. 

Boire du vin ? Histoires de complicité entre l’homme et le vin
Allez, chopez un verre, un qui fait « ding » quand on le caresse, et causons de Boire du vin ?, ce bouquin catalan qui débarque en français chez Trabucaire avec plus de panache qu’un torero en pleine corrida ! C’est pas juste un livre, c’est une saga, un uppercut festif, une ode au gosier, qui retrace les 6000 ans de cette idylle entre l’homme et le vin. Ouais, 6000 ans, plus vieux que les vannes de tonton au repas de Noël !
Et là-dedans, on croise l’ombre d’Omar Khayyam, le poète persan des Quatrains, qui chantait le vin comme un éclat de vie, une rébellion contre le temps qui galope.

« Un peu de vin, un livre, un coin d’ombre sous un arbre, et que le monde aille se faire voir », qu’il lançait, à peu près. Dans Boire du vin ?, on retrouve cette vibe : le vin, c’est de la poésie en bouteille, une façon de crier « carpe diem » en levant son verre, loin des sermons ou des calculettes. Khayyam, c’est le parrain spirituel de ce bouquin, celui qui murmure qu’un bon cru, c’est un passeport pour l’éternité, à condition de le boire avec du cœur.
Mais les Catalans, eux, ils posent pas de chichi, pas de snobisme à la « je hume des notes de cassis et de vieux cuir ». Non, ce collectif, avec un bagout tout méditerranéen, remet le vin à sa place : celle du partage, de la rigolade, voire de la spiritualité, tiens, pourquoi pas ?

Parce que, soyons sérieux deux secondes, un bon canon, c’est pas juste de l’alcool, c’est une histoire, un terroir, un bout de culture qu’on se passe comme une chanson qu’on reprend en chœur.
Et ils tapent du poing, les auteurs ! Alain Pottier, un des cerveaux de l’opération, s’énerve : en France, on traite le vin comme un truc à taxer ou un danger à étiqueter, alors qu’en Espagne, vlan, c’est patrimoine national ! Et il a raison, l’Alain ! Le vin, c’est pas qu’un business ou un panneau « à consommer avec modération ». C’est un art de vivre, un fil entre les générations, une excuse pour refaire le monde jusqu’à l’aube. 

Et là, entre en scène Stéphane Magarelli, l’addictologue, qui apporte sa voix au débat. 

Lui, il connaît les ravages de l’alcool, mais il refuse de jeter le vin avec l’eau du bain. Dans ce livre, il plaide pour une approche équilibrée : célébrer le vin comme un patrimoine culturel sans fermer les yeux sur les excès. Magarelli, c’est un peu le gars qui te tend un verre d’une main et te rappelle de pas vider la bouteille de l’autre. Il aide à réconcilier les pro-vin et les anti-alcool, à construire un pont entre la fête et la sagesse.

Ce bouquin, c’est un banquet : historiens, vignerons, poètes, et même un addictologue, tous attablés pour cogiter. 

Comment redonner du sens au vin sans tomber dans le cliché du soiffard ou du snob ? Comment en faire un enjeu de civilisation, un moteur économique, un aimant à touristes, tout en gardant les pieds sur terre ? Parce que, ouais, le vin, c’est surtout une histoire de complicité, celle qui fait qu’un verre partagé, ben, ça vaut tous les discours.
Alors, Boire du vin ?, c’est pas un livre à juste feuilleter, c’est un livre à vivre. 

À ouvrir entre potes, à gribouiller, à trimballer dans les vignes ou au comptoir d’un bistrot. Avec Khayyam dans un coin et Magarelli dans l’autre, ce bouquin nous dit : « Le vin, c’est nous, c’est toi, c’est moi, c’est ce qu’on en fait ensemble. » Alors, on trinque à ça ?

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