Bientôt VISA pour l'image va dévoiler ses expositions dans des lieux chargés d'Histoire et de souvenirs .Grâce a ce Festival du Photo journalisme , les rues étroites du Vieux Perpignan vont revivre et voir circuler de nombreux visiteurs anonymes ou photographes professionnels des plus grands Médias écrits.Rien d'étonnant car la notoriété de ce Festival dépasse largement les limites  Départementales et Nationales. Cet évènement est une très bonne chose pour la Ville, c'est la grande réussite de papa Alduy ou de l'un de ses conseillers. Il est simplement dommage  que certaines magnifiques expos-photos(en dehors de la période du Festival)  ne bénéficient pas d'un Parrainage de"Visa".Un exemple: l'exposition extraordinaire d'une partie de  l'oeuvre de Jean Clemmer n'a pas eu la la publicité indispensable qu'elle aurait mérité (Dommage pour les amateurs d'art et pour Jean Casagran le responsable de la mise en place)...

. VISA et ses photos "parlantes" qui en disent souvent plus que de longs discours; nous amènent  à réfléchir sur l'importance des images qui paraissent dans la Presse et dans le" Dépendant" en particulier.Trop souvent, les dépôts de gerbes , la venu de Ministres ou de secrétaires d'état, nous montre l'intérêt des élus qui se bousculent pour etre au premier plan sur le cliché .Vous avez  peut etre vu,JPA, le Maire 2 pousser le Maire  non élu JMP lors du dépôt de gerbe du 14 juillet.A Droite Jacqueline Irles n'est pas mala...droite pour damer le pion aux Calvet ,Mach et JPA désavantagé par sa petite taille.A Gauche,Il y a aussi le système de Com de C. Bourquin,qui sillonne le département pour assister aux concours de pétanques , aux remises de médailles aux anciens combattants ou a l'inauguration d'un chemin vicinal. L'important est d'apparaître  plusieurs fois par semaine sur les rubriques Locales de notre chère gazette. Le  Président sait aussi se faire photographier a l'occasion d'une annonce d'une mesure en faveurs des agriculteurs . C'est ainsi qu'il est apparu entouré du Conseiller Pierre Estève et du Maire de Maury M Chivilo pour annoncer  une future passation de pouvoir que les électeurs devront entériner lors des prochaines cantonales .Tout cela aurait-il un rapport avec la publicité .                                          HARRY STOPHANE

La Généralitat donne 1,2 millions d'euros au théâtre de l'archipel 

Ce qu'il y a de bien avec la Généralitat de Catalogne, c'est qu'elle publie la liste des noms des entités qu'elle subventionne, le montant de la subvention et le pourquoi de la subvention . Ainsi apprend-t-on que la Généralitat va verser 1,2 millions d'euros au titre de la création transfrontalière, la coproduction , et la programmation en catalan avec le théâtre de Salt. Le programme total durera trois de 2009 à 2011, pour une subvention totale de 6 millions d'euros. La maire de Perpignan avait déjà profité des largesses de la Généralitat, notamment lorsqu'elle avait été nommé en 2008 « Capitale  culturelle de la culture catalane avec les résultat qu'on sait (voir article à la suite 1)et a bien d'autres reprises malgré la crise (voir article http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/article-32776315.html ). En vue de l'élection légisative en Catalogne de Novembre monsieur Carod Rovira prend soin de voter en urgence des budgets. Pour quels critères et pour impact pour le catalan au nord? Nous ne sommes pas convaincus.

Perpinyà-gnan : on peut être capitale sans être indispensable.

Le saviez-vous ? En 2008 Pékin sera la capitale des Jeux Olympiques et comme Perpignann’a pas eu les jeux, elle sera capitale de la culture catalane !

Bon d’accord que cela signifie-t-il ? Dans les pays catalans, « c’est une initiative adressée audomaine linguistique et culturel catalan qui a pour objectif,  d’abord de contribuer àapprofondir la diffusion et le prestige social de la langue et la culture catalanes ; ensuited’augmenter la cohésion des territoires de langue et culture catalanes et, finalement depromouvoir et projeter la municipalité désignée comme capitale de la culture catalane, tant àl’intérieur qu’à l’extérieur» (source www.ccc.cat)

L’objectif est de donner la chance à des villes moyennes de rayonner à travers unemanisfestation où les efforts des agents associatifs et institutionnels sont mutualisés avec pourpoint de rassemblement la richesse et la diversité de la culture catalane ( en paralléle de lacapitale de la culture européenne). Arts, littérature, culture populaire, gastronomie, musique , tout se pare  en sang et or pour séduire un public profane ou initié. Depuis, des villes comme Banyoles, Esparraguera, Amposta,  Lleida, et finalement 2008 « last but not least » Perpinyà-gnan ! Résumé des épisodes précédents : la bonne cohésion des territoires crée une visibilité permanente de la dite culture, partout dans la ville tout rappelle qu’on est bien la capitale de la culture catalane !

Quid en catalogne nord ? C’est à ce moment précis que l’on découvre que nous sommes bien les cousins français : leurs belges du nord !

Aprés avoir demandé le soutien aux assossiations catalanes, Perpignan du même nom, envoie son dossier au comité organisateur « Capitale de la culture catalane » pour son élection. Une fois élue, l’organisation en est confiée à la DAC (direction de l’action ? culturelle) et sa directrice : Marie Costa. Celle-ci a un point de vue bien arrêté : « Les assossiations surtout pas ! » (Caramba, encore ratée pour la cohésion.)

Du coup, ce sont les cadres municpaux qui vont tout gérer eux-mêmes. Réunions dont leslogan est : « Qui a une idée ? » Ce qui est évident lorsqu’on est catalans ne l’est pluslorsqu’on en porte que le faux nez. Et puis, quand on aime on ne compte pas, ceci dit comme dirait le Pernaud picard : « Combien ça coûte ?» La municipalité donne quant à elle 50 000 € : c’est peu pour une manifestation de cette importance qui s’étale sur une année. Un renfort de 300 000€ venant du sud est attendu.. Mais elle investit 500.000€ en signalétique bilingue (?!)

(http://www.ccc.cat/noticies.php?Id_noticies=200)

Ce n’est pas un programme c’est un filet garni, du genre «il y a 500 grammes de mou de veau en plus, est-ce que je vous le mets quand même ?». En somme, les programmateurs sont particulièrement originaux et inventifs : au calendrier classique de la culture perpignanaise habituel on a rajouté un peu de morue pour faire à la catalane. Et pof,on colle dans les dépliants le logo Capitale de la Culture Catalane. Visa pour l’image les 20 ans c’est formidable, de même que les Quilapayuns, célèbres chiliens, avec leur concert en castillan « un pueblo unido jamás será vencido » et Daniel Mesguich. Quoi de culture catalane ?

Des comme ça il y en a des listes entières, vous n’avez qu’à consulter ce lien pour vous en convaincre : http://www.mairie-perpignan.fr/index.php?np=1661.

Peut-être sommes-nous comme David Vincent : dans cette manifestation nous avons cherchéun racourci vers la culture catalane que jamais nous ne trouvâmes ...

L'été , on s'absente, notamment ceux qui ont les moyens d'aller en vacances. La dégradation sociale aidant, on va se servir chez les autres, et pour ceux qui sont plus organisés, on visite les plus riches...

Dans des appartements du Centre -Ville il y a une multiplication très inquiétante des cambriolages....Il semblerait qu'il s'agit d'individus "professionnels" opérant en plein jour et connaissant bien la valeur des objets volés! Certes ,on nous dira que la Police essaye de remonter la filière ; peut etre aussi que les caméras ,les surveillants urbains et la Police Municipale vont servir a autre chose qu'a PV...tiser .Monsieur le Maire 1 et Monsieur le Maire 2 au travail!......HARRY STOPHANE

La mort d'un homme demandait du respect. Au lieu de ça nous avons eu droit à une enième pantalonnade, une de ces bouffonnerie dont nos édiles ont le secret. Instrumentalisant ce décès en élément de communication politique, Mr le Maire est aller quémander de sa voix de fausset plus de policier et plus de caméras auprès du ministre de l'intérieur. On est en droit de s'interroger selon la formule devenu désormais célèbre :

des policiers pour quoi faire ?

Des caméras pour quoi faire ?

Les Perpignanais ayant voté pour l'équipe municipale actuelle croyaient dur comme fer aux discours volontaires assenés à longueur de campagne électorale, oubliant que la paix sociale, c'est comme la démocratie, ça ne se décrète pas .Il faut dire que cette dream team, au premier rang de laquelle on compte l'ancien maire (suite à un tour de passe passe des plus cocasses) ,nous avaient promis une ville et une vie meilleure, tout propre et toute sécurisée, avec plein de gadgets dedans... Les gadgets, on les a eu, merci ! ( 4ème pont, théâtre de l'archipel, bus à rallonge pour boulevard à sens unique inversé …) mais pour le reste, voilà que la réalité résiste à leurs discours si bien léchés! Alors, en observant les mésaventures de cette Pujol's Band, on se dit que pour décrire cet univers tout à la fois glauque et cocasse, rien ne vaut quelques citations du maitre en la matière, l'écrivain Louis-Ferdinand Céline:

« C'est bien agréable une langue dont on ne comprend rien... c'est comme un brouillard aussi qui vadrouille dans les idées... c'est bon, y a pas meilleur... c'est admirable tant que les mots ne sortent pas du rêve... » ( mort à crédit)

Mais voilà :

«  A mesure qu'on reste dans un endroit, les choses et les gens se débraillent, pourrissent et se mettent à puer exprès pour vous »

et

« avec huit morveux seulement c'était pas la peine qu'on s'aligne... on se faisait surement écraser... » ( mort à crédit)

Concernant l'ancien maire, qui ne souhaitait plus assumer ses fonctions :

«  C'était pas un homme méchant, mais aigri à cause du climat, il faisait du pognon, voilà tout … il voulait retourner au soleil... chez lui, en Calabre et bourré ! » ( Guignol's band !)

...et à propos de celui qui l'a remplacé

«  les idées ne venaient pas facilement, il peinait pour s'exprimer et encore plus pour écrire » ( Voyage au bout de la nuit )

En guise de conclusion :

« Nous ne changeons pas ! Ni de chaussettes, ni de maître, ni d'opinions, ou bien si tard que cela n'en vaut pas la peine .» ( Voyage au bout de la nuit )

BS

Ou de l'infiniment petit a l'infiniment Grand.

Individu anonyme et sans engagements politiques ou idéologiques, j'observe sans prétentions ni ambitions la "Vie" du local, départemental, national et mondial.

Ma curiosité actuelle ce situe entre La Réal St-Jacques, Zone Franche illégale installée dans la vieille ville de Perpignan. 

De plus ce quartier possède les trésors artistiques, historiques et architecturaux qui pourraient postuler au patrimoine de l'humanité ! Mais comment faire quand on sait qu'un tel classement pourrait entraîner le maintient sur place d'une population gitane sédentarisée ou d'autres populations qui préfèrent évoluer dans la discrétion dans un "no man's land" ou la police ne s'aventure pas.

Il est aussi vrai que les politiques de Gauche ou de Droite, les administrations telles que la CAF, la SS, la Municipale, la Départementale et même la préfectorale préfèrent préserver ce qu'ils appellent la Paix Sociale, mais qui est en réalité la désocialisation assistée qui vit ses dernières heures.

Faut t-il continuer à maintenir ce ghetto ou il ne fait pas bon circuler à pied ou en voiture quand ces petits truands effectuent leur "job" ?

Un nouvel évènement dramatique vient d'avoir lieu dans ce quartier, entraînant la mort de Monsieur A. CREMER, un habitant du quartier la Réal. Ce monsieur de 88 ans s'était interposé alors que son épouse venait d'etre victime d'un vol a l'arrachée. Ce nouveau drame est la preuve que le quartier de la Réal et St-Jacques demande des mesures importantes prises après une réflexion collective. Il en va du Quartier St-Jacques comme de la Ville, du Département, de la Région ou de l'Etat : Le Système Social et le Laxisme à la Française a atteint ses limites. Il est grand temps que nos Responsables élus locaux, départementaux, régionaux, nationaux et même européens ouvrent leurs yeux et passent à l'action très vite .

HARRY STOPHANE