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L'archipel Contre-Attaque

  • : L'archipel contre-attaque !
  • : Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 17:23
louis41
Le plus grand coup du diable, c'est de faire croire qu'il n'existe pas. Louis Aliot est-il le diable?Qui est Louis Aliot? Tête d'affiches du FN dans les Pyrénées-Orientales ,candidat aux cantonales sur la bas-vernet, il est dans la lignée de Marine Lepen, sa compagne, une image adoucie de l’extrême droite ( dont il ne se considère pas faire partie, il préfère, le terme de "droite patriotique"). Il se dit monarchiste de coeur. On aurait préféré avoir en face un  skin en bombers qui sent la bière. Le garçon est courtois , cultivé et d'un commerce agréable, ce qui le rend plus dangereux politiquement. Parce que derrière un discours sociale, anticapitaliste, contre l'Europe fédérale et libérale, pour la nation et la laïcité, il conserve ce même point de vue du FN sur l'émigration et la préférence nationale. Dans cette interview, il parle du local et du national...
envoyé par Loeildupharynx. - L'actualité du moment en vidéo.

Interview de Louis Aliot par Nicolas Caudeville pt 1
envoyé par Loeildupharynx. - L'actualité du moment en vidéo.

Fiche parcours politique de wikipédia

"Louis Aliot est né d’un père originaire d'Ax-les-Thermes en Ariège et d’une mère rapatriée d’Algérie du quartier de Bab El-Oued à Alger, issue d’une famille ayant basculé de la gauche vers la droite nationale dans une période difficile marquée par la tragédie algérienne et le rapatriement.

Il a suivi ses études secondaires au collège d’Ax-les-Thermes en section ski-études puis tennis-études. C’est un amateur de rugby à XV, sport qu’il a pratiqué pendant plus de dix ans. C’est au lycée et lors de la première cohabitation qu’il a fait son choix politique. Ecœuré par ce qu’il considère alors comme les reniements de la droite chiraquienne et le cynisme de la gauche mitterrandienne, il observa avec attention le parcours du groupe parlementaire FN et de son chef.

Louis Aliot explique ce qui l’a décidé à s’engager un soir de 1988 : « À Lavelanet, dans mon département, lors d’un meeting de Jean-Marie Le Pen, j’ai croisé la haine : celle de la gauche « humaniste », « tolérante » et « progressiste » qui braillait dans la rue, le poing levé en chantant l’Internationale ».

Il est ainsi élu, en 1998, conseiller régional de Midi-Pyrénées sur la liste de Haute-Garonne. Il est remarqué par Jean-Marie Le Pen, qui le nomme directeur de cabinet en janvier 1999. Il quitte le cabinet du président du Front National en septembre 2000 pour terminer sa thèse de doctorat de droit, dont le jury sera présidé par Jean Foyer, ancien ministre de la Justice du général De Gaulle.

Il devient docteur en droit le 18 juin 2002 et sa thèse fait l’objet d’une publication aux éditions François-Xavier de Guibert. Il a été chargé d’enseignement à l’université de Toulouse I en droit constitutionnel et droit public (1998-2005).

En mai 2001, Jean-Marie Le Pen le nomme coordinateur de la campagne présidentielle aux côtés de Bruno Gollnisch. Il sera à l’origine d’un des axes fondamentaux de la campagne Le Pen 2002 : « La République référendaire » ainsi que d’un projet sur le co-développement avec l’Afrique.

Après la présidentielle, il est envoyé à Perpignan pour relancer le FN dans une fédération difficile. Il sera candidat aux législatives sur la circonscription de Perpignan 1 et sera contraint de démissionner de son poste de Secrétaire Départemental pour mener la liste régionale en Midi-Pyrénées en septembre 2003 à la suite de la défection de Bernard Antony. Sa liste obtient le score de 12 % au second tour, améliorant ainsi son score du premier tour, tant en voix qu’en pourcentage. Il assurera dans le même temps la direction des campagnes régionales et européennes en Ile-de-France, partageant son temps entre la région Midi-Pyrénées et Paris. Il est élu depuis 2010 au conseil régional Languedoc-Roussillon.

À partir de juin 2002, il rédigera, chaque semaine, un billet politique dans National-Hebdo qui a fait l’objet en 2005, sous forme de recueil, d’une publication intitulée Mes billets pour la France.

Aux élections municipales de mars 2008, il prend la tête de la liste Perpignan, ville libre et obtient 12,28 % au premier tour et 10,42 % au second, faisant ainsi revenir le Front National au conseil municipal de Perpignan.

Il quitte son poste de secrétaire général le 2 mai 2010 pour soutenir la candidature de Marine Le Pen à la tête du parti et est remplacé par Jean-François Jalkh3.

Il est devenu avocat le 5 mai 2010."

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31 janvier 2011 1 31 /01 /janvier /2011 11:22
Rémy Michelin est Photographe, spécialiste de l'avion et de ce qui vole... (voir "livre de plumes et de fer"). Ce coup-ci, il change son fusil d'épaule et photographie au quotidien la catalogne nord sur 365 jours : c'est "66 sang et or", livre auto-produit.

 

biographie

http://www.airphotographique.com/index.php?option=com_content&task=view&id=14&Itemid=45

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30 janvier 2011 7 30 /01 /janvier /2011 21:13

 j démocrate-copie-1chef-modem.jpg

Suite au départ de Jean-Philippe Schemla et Cyryl de Guardia des jeunes du modem66, le président national des jeunes du modem répond

Demande de droit de réponse - 27 01  2011-

 

Nous avons découvert, dans "L'Indépendant" daté du 25 janvier, ainsi que sur certains médias web, une version des faits originale en ce qui concerne la démission du Mouvement Démocrate de celui qui présidait la structure des Jeunes Démocrates des Pyrénées-Orientales. Cet article comprenait un nombre certains de contre-vérité, à l'instar de la communication qu'avait effectué l'intéressé.

 

Par la voix de leur président national, les Jeunes Démocrates souhaitent établir une version factuelle des choses. Nous vous remercions de la prendre en compte.

 

Jean-Phlippe Schemla a été élu en 2008 président des Jeunes Démocrates, en même temps que son bureau, pour une durée statutaire de deux ans. Son mandat est arrivé à échéance il y a plusieurs mois. L'équipe des Jeunes Démocrates devait depuis réélire un nouveau président et une nouvelle équipe. J'ai moi-même, cet automne, informé de cette nécessité le président sortant. Le secrétaire national des Jeunes Démocrates, Anthony Jouvenel, - et non les instances locales du MoDem - a ainsi convoqué (par voie électronique) l'ensemble des adhérents à une assemblée générale élective le 22 janvier 2011. Cette convocation a été envoyée dans des délais statutaires, et en la matière le 10 janvier 2011. Soit plus d'une semaine avant la démission de M. Schemla.

 

Le dépôt des candidatures a été clos, ainsi que le prévoit le règlement, 4 jours avant la date de l'assemblée élective. C'est seulement deux jours après que M. Schemla a fait part de sa démission, après s'être adonné à quelques pressions sur les instances nationales, selon des méthodes peu conformes à l'idéal démocratique que nous défendons.

 

L'élection - et non pas la nomination - par les adhérents des Jeunes Démocrates, d'un nouveau président (Alain Jimenez) et d'un nouveau bureau, a donc eut normalement lieu le samedi 22 janvier, sous la houlette du président national des Jeunes Démocrates.

 

Nous signalons enfin que le communiqué de M. Schemla apparait être co-signé par M. Nicolas Joubert prétendument membre du bureau départemental des J-Dem. Cette personne n'est plus membre du Mouvement Démocrate depuis mai 2010, et ne fait donc plus partie du bureau des JDEM66 depuis bien longtemps. 

 

Pour les Jeunes Démocrates,

le président national,

François-Xavier Pénicaud.

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29 janvier 2011 6 29 /01 /janvier /2011 17:25

Robert-Folcher-par-JM-Artozoul.JPG

Le Préfet des Pyrénées orientales vient de rendre public le 26 janvier dernier l'état de la délinquance constatée en 2010 dans la département par les services de police et de gendarmerie. Ces résultats paraissent de prime abord particulièrement satisfaisants et élogieux pour nos forces de sécurité : Par rapport à 2009, baisse de la délinquance générale de – 5,7% ,baisse de la délinquance dite de proximité de 8% environ.. Selon le Ministère de l'Intérieur cette diminution serait constante depuis 2003 soit prés de -17%.

 

Un examen plus attentif de ce bilan résolument optimiste fait apparaître une réalité tout autre et une situation beaucoup plus contrastée sinon inquiétante, notamment à Perpignan:

 

Hausse considérable au cours de ces dernières années des violences sur les personnes, Fortes augmentations des vols avec violences, deux catégories d'infractions particulièrement graves ,aux conséquences souvent irrémédiables ,et qui suscitent, à juste titre, un fort sentiment d'insécurité au sein de la population, notamment auprès des personnes les plus vulnérables,les personnes âgées.

Cambriolages, braquages de magasins (à Perpignan mais aussi dans d'autres villes du département ),agressions violentes en réunion, parfois à l'intérieur même des domiciles ,connaissent une poussée sans précédent.

 

Ainsi, nos autorité affichent un certain talent pour faire un tri judicieux des statistiques et ne retenir que les bons chiffres tout en occultant ceux qui stigmatisent leurs échecs. Les manipulations sont partie intégrante de cette règle du jeu. Quelques exemples savoureux( certains déplorés d'ailleurs par l'Observatoire national de la délinquance, organisme soit - disant indépendant mais rattaché au Ministère de l'Intérieur) :

 

Bilans arrêtés vers le 20 du mois,chiffres tronqués,consignes donnés aux policiers afin d'éviter d'enregistrer des plaintes pour des délits mineurs( transformées en simples mentions de main courante), délits dépénalisés etc...

 

Malgré ces artifices, force est de constater que la situation se dégrade et nos concitoyens ne sont pas dupes. Beaucoup d'entre eux, lorsqu'ils sont victimes ne déposent pas plaintes soit par peur de représailles soit tout simplement parce que, désabusés et exaspérés, ils savent bien que leur démarche serait vaine et sans suite. D'ailleurs,où déposer plainte à proximité de son domicile quand les bureaux de police sont fermés trop tôt ou pas assez implantés?

 

 

Ainsi, la délinquance baisse mais la criminalité augmente !

 

Les effectifs , les moyens de la police nationale et de la gendarmerie sont en régression constante depuis 2002. A Perpignan, la nouvelle Brigade Spéciale territorialisée créée à grand renfort de publicité lors de la venue du Ministre de l'Intérieur en août dernier pour rassurer les Perpignanais après les très violents incidents survenus en plein centre ville, peine à regrouper une douzaine de policiers pour former l'unité. Le commissariat central s'est vu contraint de prélever des agents sur les effectifs existant pour la créer. Au détriment de certains services où ils ont été remplacés par des Adjoints de sécurité...Le Ministre avait pourtant promis un renfort de 20 policiers supplémentaires pour la mettre en place.

 

A Perpignan,faute de moyens, il n'y a plus la journée d'ilotiers de la police nationale, la nuit, la place est désertée par la police nationale et la police municipale:

 

La fameuse B.S.T finit son service à 23 h., quant à la Police municipale, elle termine à 21 h. Ne restent donc qu'une ou deux équipes de la Brigade anti -criminalité de la police nationale. Et ce n'est pas les 155 caméras de surveillance implantées en centre ville et veillées par la police municipale qui régleront la question : les caméras ne remplaceront jamais une présence policière physique, visible, rassurante pour les habitants et dissuasive pour les délinquants. Ce système, utile certes, n'est pas pour autant la panacée; il présente par ailleurs l'inconvénient majeur de rejeter la délinquance en périphérie sur des quartiers moins favorisés et donc de créer une sécurité, si l'on peut dire, « à deux vitesses ».

 

Que faire?

 

Il est urgent de revenir à une politique de sécurité plus ambitieuse, fondée non pas uniquement sur des opérations ponctuelles et exclusivement répressives ( politique du bâton=aveu d'échec) mais sur l'action préventive, sur le lien de confiance entre la population et sa police, sur le rétablissement du dialogue policiers-jeunes des quartiers défavorisés et laissés à l'abandon.

Cette politique, on la connaît, c'est la police de proximité, mis en place avec succès en 1999 par Jean-pierre Chevènement et qui a été par la suite maladroitement caricaturée puis imprudemment cassée par notre actuel Président de la république. Nous constatons à présent les dégâts.

 

Une sécurité égale pour tous, une police républicaine à l'écoute des besoins des citoyens, partout présente, responsable, efficace,et confiante dans sa mission de service public, voilà l'un des enjeux essentiel de notre société.

 

voir interview

 http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/article-rob-65441926.html

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28 janvier 2011 5 28 /01 /janvier /2011 11:58

joan-gaubi.jpg

Jordi VERA, Président de CDC Nord communique :

« Ce matin, le Président de la Generalitat à Barcelone, Artur Mas a nommé Joan GAUBI à la direction de la Casa de la Generalitat à Perpignan.

Natif d’Estagel, Joan GAUBI est depuis toujours un homme de terrain engagé dès les années 70 tant sur le plan de la défense de la culture catalane que de l’économie de notre département.

Très connu dans les Hauts-cantons où il a exercé une longue activité comme courtier d’assurances à Font-Romeu.

Militant de l’Esquerra Catalana des Treballadors, de 1973 jusqu’à 1981, il deviendra membre fondateur du Bloc Català. En 2006, le Bloc Català devenant Fédération nord-catalane de CDC, tout naturellement Joan Gaubi prend la présidence de la commission « économie », tout en continuant d’assurer la présidence de Fem Feina dont il fut l’un des fondateurs aux côtés de Joan Sors. Parallèlement, soucieux de la transmission de la catalanité, son engagement pour l'enseignement catalan, l'a amené à s'engager activement au sein de la Bressola où il occupe à ce jour les fonctions de Vice-Président.

Nous, militants CDC Nord, ne pouvons que nous réjouir et adresser nos sincères félicitations à JG pour cette nomination. »


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25 janvier 2011 2 25 /01 /janvier /2011 22:35
La-Jonquera-club.jpg
Le Paradise, le Dallas, le Madam's , en Catalogne Sud l'enfer est pavé de bonnes intentions, derrière ces noms évocateurs de "détente" et "relaxation" se cache l'esclavage moderne des femmes, une industrie et tous les trafiques annexes. Les Puti's club sont devenu un must du loisir masculin totalement déculpabilisé. On s'y rend comme on irait au cinéma, boire une bière entre copains...Personne ne semble s'en inquiéter.Personne? Non! Ségoléne Neuville, femme, médecin et conseillère générale des Pyrénées-Orientales, dénonce cette situation. "si c'est un métier comme les autres, qu'attendez-vous pour mettre vos enfants en formation!?"
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24 janvier 2011 1 24 /01 /janvier /2011 16:59

modemj

au centre (avec l’écharpe) : Alain Jimenez, nouveau Président des JDEM66, à gauche, François Xavier Pénicaud Président National des JDEM, à droite, Henry Lopez et Déborah Guillemin, membres du bureau. Entourés de militants JDEM66.

Suite à l'article "Modem66, les jeunes se barrent" la direction du Modem66 dirigé par CHristine Espert, que nous aurons bientôt en interview nous a transmis cette réponse en forme de Communiqué de presse

 

"Élection du bureau des Jeunes Démocrates66

 

 Ce samedi 22 janvier 2011, en présence de François Xavier Pénicaud, président national des jeunes Démocrates (JDEM) s’est tenue l’assemblée générale des Jeunes Démocrates des Pyrénées-Orientales qui avait pour ordre du jour le renouvellement des membres du bureau, élus depuis 2 ans, comme le prévoient les statuts .

 

La seule liste déposée : « énergie et espoirs pour le « 66 » » menée par Alain Jimenez, a remporté cette élection.

 

Une nouvelle équipe de jeunes Démocrates est maintenant en place : Président : Alain Jimenez,  entouré d’un bureau composé de, Henry Lopez, Fabien Ginoux et Deborah Guillemin, et d’autres jeunes militants prêts à les épauler

 

Cette nouvelle équipe aura à cœur, de participer à redonner confiance aux jeunes en la politique, à apporter un soutien et un autre regard aux ainés du MoDem66.

 

La présence des JDEM66 samedi matin 22 janvier devant la Préfecture, malgré le froid polaire, pour soutenir l’Ecole, est le premier exemple de leur capacité de mobilisation.Il y en aura bien d'autres !"

 

 

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23 janvier 2011 7 23 /01 /janvier /2011 22:54

j-democrate.jpg

Jean-Phillippe Shemla et Cyril de Guardia entourent François Bayrou

 

Après,le départ de Clotilde Ripoull et 5membres de son entourage dont Faustin Fagéda pour le  CDC de Jordi Vera, les jeunes du parti Modem démissionnent en bloc!

Perpignan, le 20 janvier 2011

Communiqué de presse

Démission collective du Bureau politique des Jeunes Démocrates 66

Après une très longue réflexion, l’ensemble des membres du bureau politique des Jeunes

Démocrates 66 a pris la décision de démissionner du Mouvement Démocrate et de

l’ensemble de ses mandats électifs.

Cette décision a été prise avec une grande tristesse, compte tenu du temps et de la

débauche d’énergie dévolue à notre mouvement et surtout suite à l’espoir suscité par

l’engouement post électoral de 2007.

En effet, nous ne croyons absolument plus que le Mouvement Démocrate puisse

proposer une nouvelle voie politique. Nous le croyons d'autant moins que les luttes de clans,

l’absence d’animation des talents, pourtant nombreux, le clientélisme répété, l’absence totale

de projet, de réflexion politique et sociétale ainsi que l’incapacité à utiliser les organisations

internes et porteuses d’espoir des militants, vont achever de sacrifier le mouvement et

entériner son processus de métamorphose vers une écurie présidentielle, laquelle sera portée

uniquement par des égaux locaux qui se sont dores et déjà répartis les postes d’une armée

mexicaine.

De plus, que penser de la non présence d’une liste MoDem aux élections régionales de 2010

et de l’absence probable de candidats aux élections cantonales dans les Pyrénées-orientales en

2011 ? A un an des présidentielles, ceci est aussi choquant qu’incompréhensible et révélateur

du poids politique que représente aujourd’hui ce radeau de la méduse qui s’apparente plus à

un club de réflexion qu’un à un authentique parti.

Nous avons toujours été fidèles à nos idées et à François BAYROU, avons défendu avec

acharnement nos valeurs et même dans les moments les plus difficiles n'avons eu jamais eu

peur de s'engager sur le terrain électoral pour défendre nos couleurs. Nous avons été de toutes

les batailles électorales, de tous les combats.

Les valeurs démocrates ne sont plus le fond de commerce exclusif du MoDem mais celles du

Centre.

Nos convictions restent intactes, d’autres voies existent et de nouveaux horizons s’ouvrent en

vue de poursuivre notre engagement.

Jean-Philippe SCHEMLA, ancien Président des Jeunes Démocrates 66, conseiller national

des Jeunes Démocrates

Cyril DE GUARDIA, ancien membre du bureau national et conseiller national des Jeunes

Démocrates, Vice-président des Jeunes Démocrates 66

Anthony DENEGRE, ancien responsable de la communication, secrétaire adjoint

départemental

Nicolas JOUBERT, ancien membre du bureau départemental

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21 janvier 2011 5 21 /01 /janvier /2011 09:23

tableaugav2.jpggarde-a-vue.jpgchiffres des gardes à vue

 En 2010, les violences aux personnes ont encore augmenté de 2,5% en un an. Une tendance lourde puisqu’en 2009, la hausse était de 2,8%. Enfin, le nombre de policiers et gendarmes blessés est également en hausse. Sur les trois premiers trimestres de 2010, 12 984 fonctionnaires ont été blessés, contre 12 921 sur la même période de 2009.Il y aussi l'explosion des gardes à vue. La garde à vue à la française est quasiment hors la loi. La Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH), le Conseil constitutionnel et la Cour de cassation ont estimé tour à tour qu'elle n'était pas conforme au droit commun et au respect des libertés individuelles. De son côté, le gouvernement, après avoir prôné une politique du résultat, a admis que le nombre de personnes placées en garde à vue était trop important (790.000 en 2009, y compris les délits routiers nouvellement comptabilisés). Un chiffre qui a explosé ces dernières années. François Fillon a également reconnu que certaines pratiques - comme la fouille au corps - avaient un côté inutilement humiliant. Face au discours sécuritaire de l'UMP et du président Sarkozy, qui n'est que le cache misère des lamentables résultats en matière de sécurité, l'illusion fond à vue d'Oeil. Ce peut-il une autre politique en matière de police, ou alors comme le confiaient le maire de Perpignan, Jean-marc ujol et son adjoint à la sécurité aux commerçants de la rue des trois journées cette été: "On y peut rien, c'est le monde qui est devenu plus violent. La dernière fois que j'ai fait la réflexion à un type qui faisait chier son chien, il m'a traité de con!"

Non, il y a d'autre solutions. Robert Folcher témoigne.Robert Folcher à en 1990 été nommé à Perpignan par le ministre de l'intérieur Pierre Joxe pour mettre en place "la départementalisation". 

De ce fait, il a été le patron de toutes les polices dans le 66, RG compris.

Plus tard , il expérimentera à Saint Jacques la police de proximité...Il sera aux dernières municipales sur la liste de Gauche dirigée par Jacqueline Amiel-Donat. Et a rejoint le MRC de Chevénement.

 

 

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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 08:39
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Clotilde Ripoull est dans le groupe d'opposition municipale, cette sectatrice Bayrou mais en cause la création de la SPL par la mairie parce que "prétexte" à se faire payer des jetons de présence, le lendemain elle se fait matraquer par Josianne Cabanas dans son compte rendu du conseil municipal dans le journal "'indépendant" . peu de temps après , on apprenait qu'elle avait obtenu une place au conseil d'administration du théâtre de l'archipel: explications...Elle nous raconte aussi, les voeux surréalistes de Jean-Marc Pujol. Ce qu'elle ne nous raconte pas , c'est son probable à transfert à CDC sous l'égide de Jordi Vera!

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