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Interview de Louis Aliot par Nicolas Caudeville pt 1
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Interview de Louis Aliot par Nicolas Caudeville pt 2
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Fiche parcours politique de wikipédia
"Louis Aliot est né d’un père originaire d'Ax-les-Thermes en Ariège et d’une mère rapatriée d’Algérie du quartier de Bab El-Oued à Alger, issue d’une famille ayant basculé de la gauche vers la droite nationale dans une période difficile marquée par la tragédie algérienne et le rapatriement.
Il a suivi ses études secondaires au collège d’Ax-les-Thermes en section ski-études puis tennis-études. C’est un amateur de rugby à XV, sport qu’il a pratiqué pendant plus de dix ans. C’est au lycée et lors de la première cohabitation qu’il a fait son choix politique. Ecœuré par ce qu’il considère alors comme les reniements de la droite chiraquienne et le cynisme de la gauche mitterrandienne, il observa avec attention le parcours du groupe parlementaire FN et de son chef.
Louis Aliot explique ce qui l’a décidé à s’engager un soir de 1988 : « À Lavelanet, dans mon département, lors d’un meeting de Jean-Marie Le Pen, j’ai croisé la haine : celle de la gauche « humaniste », « tolérante » et « progressiste » qui braillait dans la rue, le poing levé en chantant l’Internationale ».
Il est ainsi élu, en 1998, conseiller régional de Midi-Pyrénées sur la liste de Haute-Garonne. Il est remarqué par Jean-Marie Le Pen, qui le nomme directeur de cabinet en janvier 1999. Il quitte le cabinet du président du Front National en septembre 2000 pour terminer sa thèse de doctorat de droit, dont le jury sera présidé par Jean Foyer, ancien ministre de la Justice du général De Gaulle.
Il devient docteur en droit le 18 juin 2002 et sa thèse fait l’objet d’une publication aux éditions François-Xavier de Guibert. Il a été chargé d’enseignement à l’université de Toulouse I en droit constitutionnel et droit public (1998-2005).
En mai 2001, Jean-Marie Le Pen le nomme coordinateur de la campagne présidentielle aux côtés de Bruno Gollnisch. Il sera à l’origine d’un des axes fondamentaux de la campagne Le Pen 2002 : « La République référendaire » ainsi que d’un projet sur le co-développement avec l’Afrique.
Après la présidentielle, il est envoyé à Perpignan pour relancer le FN dans une fédération difficile. Il sera candidat aux législatives sur la circonscription de Perpignan 1 et sera contraint de démissionner de son poste de Secrétaire Départemental pour mener la liste régionale en Midi-Pyrénées en septembre 2003 à la suite de la défection de Bernard Antony. Sa liste obtient le score de 12 % au second tour, améliorant ainsi son score du premier tour, tant en voix qu’en pourcentage. Il assurera dans le même temps la direction des campagnes régionales et européennes en Ile-de-France, partageant son temps entre la région Midi-Pyrénées et Paris. Il est élu depuis 2010 au conseil régional Languedoc-Roussillon.
À partir de juin 2002, il rédigera, chaque semaine, un billet politique dans National-Hebdo qui a fait l’objet en 2005, sous forme de recueil, d’une publication intitulée Mes billets pour la France.
Aux élections municipales de mars 2008, il prend la tête de la liste Perpignan, ville libre et obtient 12,28 % au premier tour et 10,42 % au second, faisant ainsi revenir le Front National au conseil municipal de Perpignan.
Il quitte son poste de secrétaire général le 2 mai 2010 pour soutenir la candidature de Marine Le Pen à la tête du parti et est remplacé par Jean-François Jalkh3.
Il est devenu avocat le 5 mai 2010."