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Nicolas Caudeville - Mardi 23 juin 2009
Premier tour des municipales : la foire au tout à l'égo laisse l'électeur sur son quant à soi !
Le plus beau coup du diable, c'est de faire croire qu'il n'existe pas. Et c'est apparemment ce qu'il s'est passé à Perpignan, si l'on s'en tient au résultat du premier tour. Oublié dans les urnes
les émeutes de 2005, les fontaines coûteuses, le granite partout qui transforme la ville en un énorme tombeau, le clientélisme, l'arrogance allant de mise avec l'incompétence, sans oublier la
fraude du bureau 4, dite ««à la chaussette», déclarée «Massive par le conseil d'état».
Il aura fallu un an et deux mois, la victoire de l'équipe de futboll ovale pour que le poisson rouge électeur ait fait le tour de son bocal et soit pris d'alzheimer. 40% pas moins sur les 53% de
votant veulent un cinquième mandat pour l'homme au scooter jaune. L'homme qui plus est, à droitisé, voir ultradroitisé sa liste : soutient du MPF, du cercle algérianiste, les promoteurs du décrié
«mur des disparus», de la femme de l'ex leader du FN, madame de Noell-Marchesan, avec pour programme: propreté, sécurité.
Bref, les bergers allemands seront bien gardés, la ville devant se transformer en grand loft sécuritaire peuplé d'encore plus de caméras. Dans ses conditions, pas besoin du front national (et je
ne dis pas cela parce que l'ami Gwendall Gauthier fait l'ombre de son maître). D'où un pathétique 9 et quelques % qui ne lui permet pas de se maintenir au second tour. Passons maintenant à
l'homme qui pensait faire la surprise. Etant donnée la taille de la bête, il était quelque peu compliqué de le dissimuler dans le gâteau.
Donc, Jean Codognès et ses projets de transformer la mairie en guinguette, glisse de la berge et s'envase dans la basse. Mais ce n'est pas parce qu'on perd que l'on doit perdre tout seul:
punition collective. Lorsqu'on n'a pas les capacités de réussir, il nous reste encore la capacité de nuire. C'est pour cela que non content de ne pas fusionner avec la liste de Jacqueline
Amiel-Donat (qui, elle, a fait 24,8%), ou de quitter noblement la compétition, il se maintient. «Pour tenir la promesse» qu'il a fait (ce serait bien la première fois) à ses électeurs.
On dit souvent qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis... Autre argument: «En additionnant les résultats des deux listes, on ne bat pas JPA pour autant. En restant cela nous
permet d'exister politiquement !».
Exister. La vérité est ailleurs. Elle se trouve peut-être lors d'un repas qui se déroula avant le premier tour, entre entre l'ex premier magistrat de la ville et celui qui se voudrait son
successeur au centre droit et gouache divers, on peut le nommer «Brutus». Repas au cours duquel, on aurait promis à «Brutus» une vice-présidence de l'agglo. Peut-être aussi, aura-t-il le droit de
figurer en tant que monture sur la statut équestre d'un Alduy galopant vers la victoire !
Tout le monde dans sa liste formée à l'origine pour «Battre Alduy», se souvenir de leur tracte «Alduy ça suffit», n'est pas d'accord et certains partent.
Nous voilà donc avec une triangulaire. Cela fera plaisir aux 32 loges de la ville (nul n'est pas parfait, c'est une question de degrés).
La bataille est rude pour Jacqueline Amiel-Donat : un duel droite-gauche, alourdi d'un cheval de Troie. Pour ceux qui veulent voir le régne alduesque prendre fin, on prie pour un sursaut des
abstentionnistes. Sans quoi, comme il est écrit dans l'introduction de «L'insurrection qui vient» : «Sous quelque angle qu'on le prenne, le présent est sans issue. Ce n'est pas la moindre de ses
vertus. A ceux qui voudraient absolument espérer, il dérobe tout appui. Ce qui prétendent détenir des solutions, sont démentis dans l'heure. C'est une chose entendue que tout ne peut aller que de
mal en pis. « Le futur n'a plus d'avenir» est la sagesse d'une époque qui en est arrivée, sous ses airs d'extrême normalité, au niveau de conscience des premiers punks ».
On est des champion, voilà une idée cadeaux pour les 47% d'abstentionnistes. Et spécials greatings for Jean Codognès qui par son attitude donne les clefs de la ville à celui qu'il faisait
semblant de dénoncer. Pour lui le prix de ce T.shirt sera de 30 deniers d'argent.
Détail technique et en plusieurs coloris de ce qui attend les Perpignanais...
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Ah si l'on pouvait voter pour le rugby ! C'est quand même plus intéressant que la politique, voire encore
mieux que la politique européenne. L'Europe c'est complexe et en plus c'est pas intéressant. Sauf que c'est dans le cadre de l'Europe, commission et parlement que l'on décide de plus de 70% des
lois qui seront adoptées par le parlement français... La victoire du quinze n'est une victoire collective que dans l'illusion de nos émotions, elle ne créé pas de lois, ne remplit pas notre
compte en banque, la ville n'est pas plus propre, plus sécure... La victoire de l'USAP donnera l'effet d'une cuite : sur le moment on monte haut dans les tours et après , c'est déprime et la
gueule de bois. C'est comme si je ne donnais plus d'orgasme à ma femme depuis longtemps , et que lui disais à chaque fois : " chérie, l'USAP a gagné " et que celle-ci s'en contentait. Alors, on
va me dire que c'est notre identité catalane qui est mise en valeur. Il est évident qu'à partir d'aujourd'hui, tout le monde parle catalan dans les rues (surtout les joueurs du continent
austral de ladite équipe) et ce sera désormais cargolade et rousquilles tous les dimanches. Et évidemment port de la baratine et bandera quatre barres obligatoire, compter Jordi Barre en boucle
sur toutes FM locales. Oui notre vie va vraiment changé. Dans le fond, ce qu'on aime avec l'USAP, c'est ce que j'aime avec ma femme de ménage : elle fait le bouleau à ma place. Moi aussi, ce
weekend (euh, je veux dire ce cap de semana), j'ai mouillé le maillot ! Bon avec de la bière d' accord, mais on mouille avec ce qu'on peu...
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Alduy 5, c'est parti! Ce matin , il fallait le mériter Jean-Paul. 7h45 sur France-bleu Roussillon, il avait
réussi à faire lever la crème de la crème des journalistes politiques locaux. Alors, allait-il partir, allai-t-il pas partir. Le suspens nous étreignait jusqu'aux tréfonds! En même temps une
chasse au lion sans le lion ça n'eut pas été la même chose. Les raisons qu'il évoque sont nobles, inversement proportionnelles à celles qui ont valu l'invalidation de l'élection. Il le fait
parce qu'il a senti la peur "que le couple infernal", à savoir Jacqueline Amiel-Donat et Christian Bourquin deviennent les maîtres de l'univers , et du département, et de l'archipel. D'après
lui, se sont les serpents qui sifflent sur nos têtes. Il vaut être le candidat du changement. Lui, il n'a pas changé d'avis l'homme qui affirmait qu'il serait celui " d'un seul mandat". Mais
c'est en forgeant que l'on devient forgeron. Une mairie, il faut d'abord la chauffer à blanc, la marteler pendant un certains temps, puis la tremper dans l'eau, et enfin fixer le fer au bon
cheval! d'où finalement les cinq mandats, sachant qu'un cheval bon ou mauvais, ça a quatre pattes! Il veut aussi nommer son successeur. Ayant bien vu qu'a 574 voix du bureau numéro 4 près, les
électeurs n'étaient pas en capacité de faire le bon choix. Et ce coup-ci George Garcia ne pourrait pas donner un coup béquille...
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Clotilde Ripoull : « Le modem n’est pas à vendre »
Le 5 décembre dernier au sein de la permanence de l’opposition, Clotilde Ripoull, conseillère municipale de Perpignan, accompagnée de son alter ego, Faustin Fagéda, et de quelques adhérents Modem,
reproche aux deux poids- lourds politiques d’avoir rencontré Chantal Gombert, présidente départementale du Modem. "Je dis à Jean-Paul Alduy et à Christian Bourquin qui font pression sur une des
responsables du Modem et qui l’ont rencontré en catimini, qu’ils ne perdent pas leur temps, le Modem n’est pas à vendre." La liste que nous avons su mener au précédente municipales à montrer sa
légitimité, sa crédibilité. Et si modem à su rassembler prés de 9% des perpignanais, c’est qu’il est nécessaire qu’il soit présent à ces élections municipales. Compte tenu de ce qui s’est passé
dernièrement, je pense que le rôle du Modem est déterminent dans les prochaines municipales. Que ce soit Jean-Paul Alduy à l’UMP ou Christian Bourquin au PS, ils aimeraient bien que le Modem
disparaisse. Ils aimeraient bien faire exploser notre mouvement ou alors, le diluer dans une liste ou une autre. Au conseil municipal, nous sommes présent et nous avons su faire entendre notre
voix, sur des dossiers comme la proximité, le théâtre de l’archipel, le quatrième pont….On a su faire vivre une véritable alternative au conseil municipale » Dans la perspective d’une annulation de
l’élection municipale par le conseil d’état, chacun fourbi ses armes et prépare ses alliances, posant des mines préventives pour faire choir ses adversaires et ex amis.
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