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L'archipel Contre-Attaque

  • : L'archipel contre-attaque !
  • : Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
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9 juillet 2019 2 09 /07 /juillet /2019 21:38

Il vivait en plein centre ville, près de la place des poilus où il avait son atelier, mais ce serait une paella et pas son grand age qui aurait eu raison de de lui. L'archipel contre attaque l'avait rencontré sous les bons offices d'un fan Thierry Grillet, il nous avait parler de lui et du dernier décor qu'il avait peint pour le "cabaret futur" d'Alix Reig. http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/2017/10/a-perpignan-le-futur-est-un-cabaret-interview-alix-reig-jean-pierre-duluq-par-nicolas-caudeville.html .

Une de ses derniers exposition avait été faite dans une annexe mairie: en espérant que sa mort lui fasse accéder à une véritable reconnaissance de sa ville aux musée Rigaud! De même que pour le regretté Pierre Guyot...http://metbarran.canalblog.com/archives/2018/06/07/36469344.html

Le fameux critique Met Barran , lui rendait hommage de son son vivant dans un article de 2017  "DULUCQ: Peintre et Prince enchanteur"que nous reproduisons ici http://metbarran.canalblog.com/archives/2017/11/24/35895542.html

"Il n'est pas une ville, Perpignan par exemple, qui n'ait son "peuple" de peintres, sculpteurs & others artworkers comme l'on dit du côté de l'avenue du Lycée. Mais tous ces artworkers n'aiment pas la ville de la même manière, même s'ils en apprécient les collectionneurs qui les ont remarqués, ou les lieux d'art où quelquefois on les invite à se montrer (musée? galerie? café? boutique?). Ainsi va et passe l'aléatoire vie artistique de la cité. Il est des artistes (ou que l'on dit tels sans faire une moue désobligeante) si chevillés à la ville (natale, ou adoptive) et depuis si longtemps épris  d'elle qu'ils la connaissent par tous ses attraits et ses atouts. Tout simplement parce qu'ils en battent le pavé (please pris ici comme synonyme de macadam), qu'ils en regardent les vitrines, qu'ils en fréquentent les terrasses, qu'ils en aiment les gens et vivent au rythme de l'horloge de leur train train quotidien...Avec les chérissant  ce privilège de pouvoir les observer, les étudier, les saisir dans leur décor (oui, une ville est un théâtre, même si toutes les scènes qui le composent n'ont pas le même éclat architectural ou social et si tous les visages des personnages ne sont pas à la fête). Et, ensuite, les "restituer" par le geste et dans le mouvement d'un crayon ou d'un pinceau (et non dans l'instantané d'un clic du "visa pour l'image") sur papier ou toile. Dessins et tableaux, croquis et paysages. Des images-témoins des saisons, des climats, des couleurs. De gens qui y vivent, travaillent, se toisent ou s'évitent. Il est des peintres qui font de leur ville un sujet et un partenaire. Ils lui content fleurette et signent le récit de leur idylle en traits et coloris. Mais de pareils amoureux sont rares, on les reconnaît à leur chevalet, et à leur boîte à couleurs. Il en est un particulièrement reconnu; il s'appelle Jean-Pierre Dulucq; c'est Haget ou Doisneau avec... des pinceaux et des tubes. Avec son atelier-résidence, au coeur de la ville, il en es devenu poète et metteur en scène, il rend en rythmes et vibrations à la rue, à la place, à la terrasse ou à la boutique, ce qu'elles lui ont donné en étonnements et émotions au point du jour à la tombée de la nuit, au plus clair de la vie aussi. Peintre, Dulucq, sa modestie dût-elle en pâtir, déclarons-le: Peintre et Prince enchanteur du Centre de Perpignan. Son talent une nouvelle fois est porté à la vue du grand public grâce à  une exposition qui aura lieu du 4 décembre 2017 au 2 février 2018 dans les locaux de la Mairie de quartier Centre historique, 12 rue Jeanne d'Arc. Le vernissage est prévu le mercredi 6 décembre à 19 h. Mais lorsque l'on est Peintre et Prince enchanteur on est ...bien légitimement courtisé. Ainsi, mais cette fois-ci montrant une autre facette de son talent: le portrait, on pourra l'admirer également à la Maison de la Catalanité , place J.-S. Pons, où comme peintre, il partagera la souveraineté du lieu (du 7 décembre  2017 au 12 janvier 2018) avec la très expressive sculptrice Renée Bouigue pour une exposition appelée "Féminines" (vernissage vendredi 8 décembre à 18 h 30) "

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18 juin 2019 2 18 /06 /juin /2019 23:05
 

Le 17 Janvier 1770, Le Tempêtueux, dont j’étais le fier capitaine, fit naufrage.  Mes hommes qui, ce jour-là, comme à leur habitude prenaient leur thé chaussés de ballerines nacrées, perchés sur une corde à linge, se disputèrent violemment : les premiers soutenaient qu’il fallait retirer le linge de la corde avant de prendre le thé, les seconds leur opposaient qu’il était absurde de prendre le thé sur une corde à linge dépouillée et que si c’était comme ça, ils aimaient autant ne pas en boire du tout, tiens, de thé, et ce serait bien fait pour eux, voilà.

Quant aux plus raisonnables, ils sortirent en claquant la porte : prendre le thé sur une corde avec ou sans linge, au fond, pourquoi pas. A condition qu’on ose s’en prendre au véritable problème qui était, selon eux, que le linge fût mouillé ; simple question de bon sens et d’ailleurs ils avaient les chiffres, ils pouvaient le prouver. Cela dit, ils firent rapidement scission car un peu plus de la moitié d’entre eux considéraient que non Môssieur, ce n’est pas seulement une question de bon sens, c’est avant tout une question d’honneur. Les dissidents se placèrent donc à droite du pont, ou à gauche à moins que ce ne fût à droite je ne sais plus (vous savez, dans la Marine, ça ne fait pas grande différence) et tournèrent le dos à leurs détracteurs avec une violence inouïe qui leur fut bientôt reprochée. Le ton monta, les clans se subdivisèrent encore, les partisans du linge à-peine-humide crièrent à l’oppression des minorités, car ils n’étaient qu’un seul, qui fut passé à tabac tout entier, histoire de lui apprendre à marcher avec des talons aiguilles dans la jungle. Les partisans des talons aiguilles se récrièrent à leur tour, c’était eux qui avaient eu l’idée en premier, c’était donc eux qui étaient légitimement la minorité oppressée et ils exigèrent, tapant rageusement de leur pied talonné, qu’on les passe à tabac sans plus tarder. Ce que l’on fit avec un certain entrain. Edentés mais contents, ils pointèrent alors d’un doigt accusateur les véritables responsables de tout ce gâchis, à savoir les partisans de la corde à linge dépouillée, par qui tout avait commencé, eux dont on avait suivi jusqu’à présent les règles sans sourciller ni même penser aux enfants et qui s’en préoccuperait donc enfin ?

Ces derniers s’indignèrent, on voyait bien que les partisans des chaussures à talon étaient devenus le hochet consentant des fascistes,

argument téméraire car le fascisme n’existait pas encore au XVIIIème siècle ou du moins il ne s’appelait pas encore comme ça. Mais il fit mouche : on se rendit compte que ce dernier clan, inventé pour l’occasion, préférait les bottines aux ballerines nacrées, ce qui était d’un impardonnable mauvais goût, surtout en Ardèche. Je ne le mentionne que par souci d’exactitude car, je tiens à le préciser, je n’ai rien contre les Auvergnats, la preuve, j’ai un ami Arabe et j’aime beaucoup le mois de Janvier. La fureur et le bruit des bottines et des ballerines se déchaîna si bien que je perdis les trois quarts de mon équipage dans l’affrontement, dont Jack ; ou John à moins que ce ne fût Jack, je ne suis plus très sûr, en tout cas il était Anglais ou Piémontais mais vous savez, dans la Marine, c’est à peu près la même chose.

Bref, nous le perdîmes lui aussi ce qui fut fâcheux car il savait piloter un navire et il était bien le seul. Pour ma part, je ne supporte pas les bateaux, je leur préfère les géraniums. C’est mon droit, je n’ai pas peur de le dire.

Or sans personne aux commandes, que croyez-vous qu’il arrivât ? Le bateau s’échoua.  

Tous périrent sauf trois et moi, ce qui fait déjà un de trop mais donne bien quatre. Rien d’étonnant à cela puisque le destin aime les partouzes et les chiffres pairs, sauf pour Jésus Christ. C’est un fait, je n’y peux rien. Pour ceux qui en douteraient, je m’empresse d’ajouter que je n’ai rien contre les crucifiés, la preuve j’aime aussi beaucoup le mois de février et j’ai fait installer une Pergola dans mon jardin, chez moi à Saint-Martin-en-laie, petite bourgade riante située au confluent de la Sarthe et du Tech, à 504, 2 kilomètres au Nord-Est de la France, à moins que ce ne soit au Sud-Ouest. Ou au Nord-Ouest. Possiblement au Nord-Est ; disons plutôt au centre élargi du pays, par souci d’exactitude. De toute façon, ce grand con de Marcel n’a jamais su se repérer sur une carte, moi non plus du reste, mais moi au moins je ne fais pas le jeu du club de bridge de Fruneizerheim en soutenant l’épicerie des Gauchot, couple abject de commerçants hétérosexuels résidant au 25 rue de Mulhouse contrairement à Ernest, qui habite au 4.

Je n’avais pas touché du bout de ma planche de salut le seul îlot de terre qui s’offrît à nos yeux que je perdis deux autres de mes hommes.

Ils appartenaient au même clan, celui du thé-devant-être-pris-sur-une-corde-chargée-de-linge, mais s’étaient pourtant engagés dans la plus vive querelle, Lun reprochant à l'autre son manque d’entrain pour la cause tandis que Lautre se débattait pour maintenir sa tête hors de l’eau. Lun trouvait, à juste titre d’ailleurs, l’attitude de l'autre intolérable, car donner des coups dans l’eau quand on devrait mourir pour la cause, ce n’était pas ça la France, ni même l’Angleterre, il le dégoûtait, tiens, lui criait-il depuis la barque où il était assis. Lautre lui rétorqua d’une voix forte quoiqu’inaudible : « mais aide-moi sale cblblbl ». Cette inintelligible phrase, allez savoir pourquoi, eût le don de mettre Lun dans un indescriptible état de rage. Ni une, ni deux, Lun assena à Lautre un grand coup de rame qui l’obligea à prendre son parti une bonne fois pour toute : Lautre coula à pic. Quant à Lun, il rejoignit l’autre au fond, non qu’il eût été emporté par la force de son coup mais parce que là au moins, ils étaient sûrs d’être d’accord.

Revenant de ma stupeur, je constatai que nous étions deux, ce qui me rendit immédiatement courage puisque, je le rappelle, deux est un chiffre pair sauf Jésus Christ.

Hélas, je n’eus pas bien longtemps le loisir de me féliciter de la viabilité de ma théorie. Mon dernier compagnon s’étrangla lui-même avec ce qui lui restait de corde à linge, râlant qu’il était un traitre car il avait perdu l’une de ses ballerines nacrées en tentant d’échapper à la noyade et jamais il ne se le pardonnerait et il ne méritait pas de vivre, ce qui se conçoit tout-à-fait mais en même temps est discutable d’un point de vue éthique au niveau du vécu et de la conjoncture actuelle qui décidément n’épargnera personne cette année, à plus forte raison le jour d’aujourd’hui et peut-être même pas celui d’hier, c’est dire. Quant au jour d’avant-hier, nous finirons bien le revoir, après-demain si ça se trouve (attention je n’ai rien contre les veilles et les lendemains, la preuve, je collectionne les autocollants).  

Je me trouvais donc seul pour aborder cet îlot inexploré (comme quoi, il n’est pas prouvé que le destin ait une préférence pour les sauteries paritaires avec ou sans Jésus Christ) et, sous le regard médusé des 81 ou 53 personnes environ qui se tenaient sur la berge, je plantai un drapeau français dans le sol et sans doute aussi dans l’orteil d’une dame qui cria très fort, même pour une autochtone (qu’on ne se méprenne pas, je n’ai rien contre les autochtones, moi-même il m’arrive de conduire seul).

Dans le brouhaha ambiant, j’eus tout d’abord le plus grand mal à distinguer les sons mais je ne tardais pas à remarquer qu’il s’agissait sans doute d’un système linguistique bisyllabique, à en juger par la fréquence d’émanation du son « a » doublé. « Aha ! » s’exclamaient-ils les uns après les autres, se pointant mutuellement du doigt, sans qu’on eût pu dire s’ils étaient satisfaits ou en colère. L’un d’eux s’avança vers moi, une chaîne autour du cou qui tenait on ne sait trop comment car elle avait été sciée. Je fus très surpris de voir que, bien qu’il ponctuât son discours de « Aha ! » distribués à l’adresse de ses semblables, il parlait parfaitement ma langue. J’appris ainsi que je me trouvais quelque par entre l’océan Pacifique et l’océan Atlantique, plus exactement dans l’océan Indien d’après lui mais savez pour nous autres marins, c’est à peu près la même chose.

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3 juin 2019 1 03 /06 /juin /2019 12:27

Lorsque vous aurez autant besoin d’oxygène que de vous présenter à la l'élection vous , vous reviendrez nous voir . Et voilà, depuis que Jean-Marc Pujol a été élu maire, tout le monde comme au loto, se dit que 100% des joueurs ont tenté leur chance . Ceux la, ne se disent pas que la raréfaction de l'électeur #abstention est au prorata de la médiocrité de la proposition électorale . Que derrière la silhouette en carton-pâte du candidat, aucune idée ne siège, que l'obsession d'avoir une place pour enfin profiter de la chaleur et des bulles du jacuzzi... 

A Perpignan, ce n'est pas les sujets de réflexions qui manquent pour densifier sa position de candidat:

la misère du centre ville, le train de fret Perpignan / Rungis, le manque d'arbres et de fontaine qui ont fait que l'été dernier, nous humes avec 31 degré, la nuit la plus chaude de France... Non, en balance, pas des réflexions, pas d'idées, on réagit, en se mettant en scène dans des stades pour montrer qu'on soutient le 13 ou le 15. Alors qu'on se moque du tiers comme du quart.

Il fut un temps pour se présenter , il fallait un minimum de sérieux .

On ne se serait pas montrer à poil devant les électeurs. Mais depuis "gazon maudit" et la séquence avec Alain Chabat " Je me balade à poil, je fais ce que je veux, je suis chez moi" , la vocation exhibitionniste a fait flores ! Et tout les "Jean-Claude Duss" aux petits pieds se disent : " Oublies que t'as aucune chance, fonce: on sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher! https://www.youtube.com/watch?v=6KZo-xKxuLY.

Votre argument pour dire que vous vous balader à poil dans l'impudeur de votre manque d'idées

,  comme les gamins " Madame, j'ai peur que mon camarade, i'm copie" . Comme si le niveau de vos idées ou vos solutions étaient du niveau " du projet Manhattan" et que cela aurait le poids du bombe nucléaire . Non, vous, c'est plutôt "Monsieur Manhattan" , le personnage arrogant et Bravache de Benoît Poelvoorde https://www.youtube.com/watch?v=Bp-kXZp9nhU .

En même temps, comme dirait l'autre, les médias vous accordent la facilité de paiement 3 fois sans frais en mots creux...

Mais mettez-y du votre pour le prochain tour, nous sommes de plus en plus affamez de démocratie, pas de son simulacre . Et vous ne ferez bientôt plus , de bons os à ronger!

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2 juin 2019 7 02 /06 /juin /2019 20:32

Chronique santorinienne par Félix Edmundovitch Dzerjinski : Tchéka is back !

Salut mon petit Frantsouz. Je te l’avais dit, je te reviendrais sous forme de cartes postales. On se connaît depuis quatre ans et tu sais ce que j’aime le plus après mon pays, la Sainte Russie, c’est vitupérer l’époque et rendre service à Blondin Vova. Bon sang, cette île est émolliente, mais en bon tchékiste, je veille. Un tchékiste ne dors jamais, toujours un œil ouvert.

Je te l’ai dit, il a du mal à comprendre les Frantsouzy et surtout son partenaire de jeu, le jeune Micron, cette sorte d’enfant ; A l’occasion d’une de vos fêtes obscurantistes, vous faites, ce que vous appelez le pont. Eh bien Vova Blondin a découvert que son copinou Micron faisait le pont. Mince alors, Vova Blondin croyait que président c’était  un job à plein temps, toujours à fond, pas le temps de débander, et voilà que Micron lui démontre le contraire. Re-mince, Vova Blondin croyait que la France était menacée par les terroristes barbus et par la subversion jaune, ben, non, faut croire, tu peux te la couler douce. En plus Vova Blondin, il a bien analysé vos élections européennes, il a bien vu que Micron se la jouait, mais qu’en fait, il est tricard. Bon, objectivement Micron sera probablement réélu en 2022 puisqu’il fait tout pour affronter la Marine, qui joue un rôle d’affreux jojo dans l’inconscient collectif de ce peuple moutonnier qu’est devenu le peuple de France. Raaah, êtes-vous révolutionnaires et communards qui avaient inspiré la géniale révolution bolchévique ? Je ne vois que des zombis.

Par contre Vova Blondin a été surpris quand le Che, je parle de Chevènement, envoyé spécial pour la Russie nommé par Mhollande et prolongé par Micron, grand ami de mon pays et de mon peuple, lui a apporté une lettre de Micron lui demandant de reprendre des relations normales. Vova Blondin a été un poil surpris que ce Micron lui écrive ça, je parie que tu l’es aussi, non ? Parce que Micron n’a de cesse de critiquer nos médias, Sputnik et RT, et en plus, il ose parler d’influence russe sur les élections européennes. Alors là, on Vova Blondin en a perdu son slavon !! Il m’appelle, me dérange alors que je m’attaquais à un poulpe grillé, arrosé d’un blanc de l’île, et je tente de le rassurer. Je lui dis, tu sais, j’ai passé quelques mois au pays de Micron et ce mecton, en fait, il n’a pas d’idées. Il n’a aucune idée sur rien, c’est un hédoniste, il aime la vie, le luxe…. Et comme le Che, niveau intellectuel, c’est un mastard, il n’a eu aucun mal à convaincre notre Micron, parce que Micron, je te le répète, n’a aucune idée, c’est une page blanche. C’st pas moi qui le dis, c’est mes sources recrutées lors de mon passage par chez, plutôt proches des cercles du pouvoir et toujours sensibles à l’appel du billet ou du cul d’une dévergondée Russienne… Ah, la nature humaine, c’est sur elle que le tchékiste prospère. L’humain, c’est notre matériau, pas question là-dedans d’impératif kantien. Quelle fiotte ce Kant, et dire que sa ville s’appelle Kaliningrad depuis 1945…

Et tiens, tu sais qui vient au forum économique de Saint Pétersbourg ? Non, il n’y aura pas un représentant du gouvernement micronien, ni Micron puisqu’il y était l’année dernière, ce sera Sarko, le nain malfaisant, à la plénière avec le PDG de Total, entre autres. Pas mal non ? Bon, il vient probablement chercher des sous, mais lui, c’est un vrai copain de Vova Blondin qui a su le dresser en 2008, lors d’un G8.

Ah, au fait, c’est qui ce gommeux de Ladislas. Encore une de vos fiottes bobo, incapable de faire et de gagner une guerre. Tu décades, camarade…

Voir aussi:

Les chroniques Moscovites

http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/tag/chroniques%20moscovites/

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30 mai 2019 4 30 /05 /mai /2019 14:35

Manuel Valls, c'est l'art de rebondir .Manuel Valls retombe toujours sur ses pattes – Légende ou réalité ? À la différence de nos tartines de confiture qui ont le malheurs de toujours tomber du mauvais côté, Manu lui a la capacité de se redresser dans sa chute pour toujours, ou presque, retomber sur ses pattes.

Ce catalan a en effet la possibilité de se redresser lors d’une chute pour retomber sur ses pattes sans trop se faire mal.

Ceci grâce a une colonne vertébrale très mobile où chacun des os sont librement reliés les uns aux autres. Les os de ses membres antérieurs sont également flexibles permettant d’amortir plus facilement une chute et empêcher la détérioration des organes internes. Ses yeux et son oreille interne jouent également un rôle important dans l’action de redressement puisqu’ils permettent à cet homme politique de déterminer où est le haut du bas afin de se tourner face au sol. Celui-ci pourra alors redresser sa tête dans le bon sens et tout son corps suivra pour se retrouver en position pour atterrir.

Ses moustaches vont lui permettre aussi de connaître la distance approximative qui le sépare du sol.

Sa nouvelle pilosité faciale détermine chez lui une optimisation de ses possibilités de captation.

Après l'échec de l'élection municipale de Barcelone, il lui faut une position de replis derrière la frontière!

Totalement bilingue français/catalan , il peut bien faire campagne pour la mairie de Perpignan, prendre la ville dans le chaos des prétendants au trône de fer local . La plupart des candidats n'ont aucune densité, aucun programme, aucun affect quant à la ville, n'y vivent même pas pour certains. Il a donc au moins leurs qualités. Avec en plus l'avantage en plus de s'être fait connaître en luttant de manière active contre l'humoriste "controversé" Dieudonné, ou le philosophe "sulfureux" , Michel Onfray !

Manuel Valls à Perpignan, seul candidat crédible face à Louis Aliot du RN!

Qui peut battre l’extrême droite pour le camp du bien que Manuel Valls. Qui sait si BHL ne viendra pas le soutenir dans sa campagne ?

De là, il ne renonce pas à Barcelone, et pourrait même envisager de diriger la future grande région de Catalogne (enfin réunie) dans une Europe à la réalité augmentée!

Perpignan pour Manolo Valls, ce n'est que reculer pour mieux sauter . Ce qui était impossible hier , ne le sera pas demain, il suffit juste de travailler à la modification des conditions du réel . Anticiper sur ce veux la logique européenne . Qui aurait penser à l'inutilité des nouvelles grandes régions françaises comme Haut de France ou Occitanie , mais qui ont pourtant eu lieu...contre la volonté des habitants. Ceci n'était qu'un exercice, il est temps de passer aux choses sérieuses et de travailler les territoires au corps comme le docteur Moreaux, ses hybrides dans son île!

Mais Perpignan, n'est pas encore gagnée! Il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant d'attraper le pot de miel pour l’appâter!

Certes, les perpignanais ont de bonnes têtes de vainqueurs, qu'il est facile de berner . Confirme, la succession de maire qui se sont fait élire et leurs politiques à l'ingéniosité qui n'a pas démontré qu'elle pouvait couper l'eau chaude avec un fil !

Mais il faut se méfier du poisson rouge qui dort dans son bocal. Il peut bien surprendre et mordre jusqu'au sang l'impudent qui voudrait le nourrir de promesses coupées au bromure...

réécoutez l'interview de Manolo Valls ici:

https://soundcloud.com/nicolas-caudeville-80909498/recording1-4786

Voir aussi:

 

 

 

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29 mai 2019 3 29 /05 /mai /2019 01:21

ils ont assisté aux"imagines les PO" du conseil départemental  http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/2019/04/debat-conseil-departmental-au-campus-mailly-pour-hermeline-malherbe-la-presidente-ce-que-j-ai-entendu-ce-soir-me-donne-la-peche-arti, il répond par une poésie

 

Imagine les Pyrénées-Orientales !!!

Pour imaginer
Savoir se lever
Et dire au monde
L’envie de témoigner
qu’un pays du Midi
Est un delà du possible
Ou l’un et l’autre
Sont capables
De survivre aux laisser aller
Pour perdurer la parole
D’une culture défensive « Où rien ne demeurera sans être proféré «

Pour parfaire
Un ordre établi
Ou les représentants du peuple
Ont oublié leur costume d’être
Mais ou les habitants ont mis leurs habits du dimanche
Pour signifier les hauts faits
De leur quotidien
Une accumulation de savoir-faire

Pour vivre
Cet amphithéâtre de la montagne à la mer - Mar i munt
Les hommes et les femmes si sensibles
Créent le jour du soleil
Pour ne pas baisser la tête
Devant leurs maitres
Et inventent le bonheur sans heure
D’un peu plus
De francisation une catalanité séparée
Où les anciens comtés ont gardé
La raison d’être une province de l’esprit
De faits et gestes
Pour être partie prenante

Pour ajouter aux débats
L’heure de se rassembler parler pour crier
Et affirmer un peu plus de son âme
Aux pas du destin inaliénable
Les gens d’ici
Te rappelle aux bons soins
D’un guérisseur de la nature
Ou tu n’a plus qu’à ajuster
Ton programme de projets
Avec des couleurs de sang et or
Ou les montagnes descendent aux rivages
Pour se rassembler
Un instant de certitudes

Fait comme il te plaît
Dialogue comme tu le sens
Programme comme tu le veux
Mais de grâce
Laissez nous faire - Deixeu-nos fer …

Alain Pottier dit alpott , Port-Vendres - Avril 2019

Voir aussi:

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27 mai 2019 1 27 /05 /mai /2019 11:37

J’y crois pas, c’est la misery, la misère (je traduis parce que tu ne maîtrises pas vraiment la langue de la mondialisation), c’est la défaite et coup sur coup !

La semaine dernière, c’est Bilal Hassani qui ne parvient pas à gagner l’Eurovision, probablement en raison de l’homophobie régnante parmi les juges des pays de l’Est, Russie et Biélorussie en tête, et ce 26 mai, jour de la fête des mamans, LREM, le parti d’Emmanuel, notre dieu-qui-guérit, est battu par le parti fasciste, le RN.

J’y crois pas ! Je crois entendre les panzers sur les Champs-Elysées… Tu te rends compte, les séides de Poutine en tête, c’est la cata ! Ah, il doit bien se marrer le Poutine et son pote crapoteux, le Dzerjinski, depuis Santorin où je ne retournerais plus jamais et que je boycotte… Les fascistes sont aux portes du pouvoir mais je suis sûr qu’Emmanuel notre dieu-qui-guérit saura trouver la parade et préserver nos intérêts. Faut vite que je me prenne un p’tit cocktail à base de quinoa, parce que le quinoa, c’est au shaker, pas à petite cuillère. Et à mon avis, une des premières mesures du parti fasciste, le RN, sera d’interdire le quinoa et forcer les gens, même les vegans, à manger du saucisson et à boire du Pastis. J’ai vraiment peur des fascistes, c’est juste flippant. Pourtant, Emmanuel, notre dieu-qui-guérit, il a essayé de se mettre au niveau du bas peuple avec les funérailles nationales à Johnny Halliday, alors que lui son kif, c’est Ricoeur (n’essaie pas de lire, tu ne comprendrais pas, tu n’as pas le niveau de notre dieu-qui-guérit)…

Faut que je me rende utile ! Je vais devenir fonctionnaire, mais attention, un fonctionnaire d’élite ! Je vais rejoindre la DGSE, j’ai vu tout le Bureau des légendes moi, je suis prêt à devenir une légende de bureau. Bon, y a qu’un truc qui m e refroidit un peu, c’est le salaire. Parce que moi, dans la finance, je ne suis pas un gagne petit, je suis à 20000 balles par mois et encore, sans les bonus… Alors que fonctionnaire d’élite ça tourne à 3-5000 balles par moi et encore, pour les plus chanceux, et moi j’ai des gros besoin et un train de vie à maintenir (Thaïlande en décembre, Courchevel en février, les States tous les étés…). Mais j’ai quand même envie de les rejoindre pour me battre contre les Russes de Poutine, qui est très, très méchant. Tremblez suppôts du fascisme de l’Est, vous allez voir. Parce que si tu t’attaques aux Russes, ben c’est le RN qui est mal. Faut que j’informe notre dieu-qui-guérit, j’ai une super idée !

Voir les autres chroniques:

http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/tag/chronique%20d%27un%20citoyen%20engage%20%281%29/

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8 mai 2019 3 08 /05 /mai /2019 17:13

 

« Les Occidentaux ont tendance à prendre leurs désirs pour des réalités, alors nous allons leur donner exactement ce qu’ils désirent. » (Le Chauve fabuleux, comprends le génial Lénine, à mézigue)

 

Priviet petit Frantsouz. Cela fait bien longtemps non ? Combien d’hivers, combien d’années comme il se dit de par la très Sainte Russie. Il s’en est passé des événements depuis fin 2017 et début 2018. Tout d’abord, j’ai été convoqué par Vova Blondin (comprends l’excellentissime Vladimir Poutine) un soir de janvier, le 25 plus exactement, dans sa datcha de Novo Ogarevo. Je me souviens très bien. C’était le soir, entre chien et loup, un méchant blizzard balayait les rues de Moscou la belle et le passant se hâtait vers son foyer, le regard morne. Vova m’explique qu’il me convoque pour une mission très spéciale, hors de Russie, en France, chez toi petit Frantsouz. Vova me dit qu’il ne comprend plus rien à ces Frantsouzy, que nous sommes très loin de la France du général de Gaulle, le classique pour le Russien et Vova, et qu’il a besoin d’y voir clair dans les réseaux et jeux de cours autour du roitelet Micron. Donc, je prends mes cliques et les claques et saute dans le premier avion, davaï !

 

Pauvre Vova, en près de deux années, il a été servi avec mes rapports. D’abord l’affaire Benalla et ensuite la crise des joltye jiletki (gilets jaunes). Merdre comme dirait Ubu, comment vais-je pouvoir lui expliquer tout ce bordel. Bon, objectivement Vova ne se faisait aucune illusion sur Micron qui adore attaquer nos médias RT et Sputnik, qui en ce moment font leur miel des gilets jaunes et de tout ce qui cloche en ton beau pays. C’est de bonne guerre, tes journaleux du Monde ou du Figaro ne sont pas franchement objectifs sur la Russie.

 

D’abord Benalla, incroyable l’influence qu’a pu avoir ce mastard sur ton roitelet ou enfant roi ou roi enfant. Le truc comique c’est que Benalla était en bizness (comme on dit dans la téci, t’as vu j’ai réussi mon immersion chez toi) avec Iskander Makhmudov, un homme d’affaire russe soi-disant pour assurer la protection de bobonne et de ses filles à Monaco. A mon avis, vu le prix qu’Iskander a payé, il a acheté autre chose., qui est aujourd’hui entre de bonnes mains. Tu me suis ? Non, ben tant pis… En Russie, un Benalla n’aurait jamais pu avoir un tel ascendant, les gens savent rester à leur place et s’ils en sortent, ben, le FSB l’aurait fait disparaître, tu vois, l’accident bête…

 

Et après, tu as les gilets jaunes. Alors là, que ce soit Vova ou le Russien de base, personne ne comprend en Russie. De tels désordres, comment est-ce possible ? Moi, je t’aurais envoyé tout ça au Solovki (au fait lis le dernier Prilepine sur le sujet) ou à la Kolyma pronto !! Ah et puis courant 2018, y a eu de drôles de photos de ton président, d’abord la fête de la musique à l’Elysée, puis ensuite à Saint Barthélémy avec ce jeune noir musclé et huileux… hum… Bref, j’ai dû expliquer à Vova que la France en ce moment c’est du gratiné mais je l’ai vite rassuré sur un point. J’ai dit à Vova, t’inquiète, les Frantsouzy, y sont bizarres sur le plan moral, mais en fait, ils sont comme les Russiens. Ils ont leurs propres oligarques, les Arnault, les Drahi, les Niel… Et puis les Frantsouzy sont sensibles à une forme de corruption, ils aiment l’entre-soi et adorent se coopter entre eux que ce soit à l’échelle nationale ou locale (Eh, Nicolas, regarde ton conseil départemental, chargé de gérer sa clientèle à coup d’aides sociales où ils sont tous dans le fromage et ta mairie, pas mal aussi), un peu comme le Russien. Et même, les Frantsouzy sont corruptibles (lors de mon passage par chez toi, j’ai recruté tout un tas d’idiots utiles, hommes d’affaires de haut niveau, parlementaires… favorables à la trois fois Sainte Russie. Et puis Micron, en fait, il n’a aucun corpus idéologique, il n’a pas d’idées à lui. Alors Vova a souri et a semblé tout rassuré.

 

Pour me remercier, il m’a offert une retraite bien méritée et dotée, en Grèce, à Santorin. Je ne me suis pas installé à Thira ou Oia, trop envahies par les touristes, notamment chinois, mais à l’intérieur des terres, à Pyrgos. J’y coule des jours heureux depuis début 2019, loin du tapage et du bruit du monde et de tous ces individus jouisseurs. Le vin, notamment le blanc, y est délicieux, les habitants charmants et comme c’est une île volcanique, je fais le plein d’énergie. Ainsi s’achèvent les chroniques moscovites, je te reviendrais peut-être sous forme de cartes postales. Do svidania petit Frantsouz et bonne chance car tu n’as pas le cul sorti des ronces, crois-moi (mais c’est méchamment ta faute) !

 

Allez, je termine sur une citation de tchékistes : « za uspiekh nashevo beznadiojnovo dela », ce qui veut dire « au succès de notre cause/affaire désespérée ».

 

Et quelques chansons :

https://www.youtube.com/watch?v=3ZZJJ1k8xAE Celle-ci, c’est un chœur de gamins qui sont en écoles patriotiques, ils disent que Vova Blondin peut compter sur eux en cas coups durs. Tout y est, l’armée, l’hommage aux morts de la Grande Guerre Patriotique (le 9 mai !), l’église orthodoxe et les grands espaces (toi, ton pays est un nain !). Le Russien aime les racines, il est nationaliste, bref, tout ton contraire, toi qui es hors sol. Bon, je te confesse que les gamins qui fréquentent ces écoles se destinent ou à l’armée ou aux services spéciaux et en général, c’est pas les gamins de la bourgeoisie russe… Un peu comme chez toi, le patriotisme, le nationalisme, c’est pour le peuple, c’est d’ailleurs lui, qui en cas de guerre, est en première ligne. Souviens-toi de la première guerre mondiale…

 

https://www.youtube.com/results?search_query=%D0%BC%D1%8B+%D0%BD%D0%B5+%D0%B2%D1%81%D1%82%D0%B0%D0%BD%D0%B5%D0%BC+%D0%BD%D0%B0+%D0%BA%D0%BE%D0%BB%D0%B5%D0%BD%D0%B8 Chanson hommage à nos desantniki, nos paras. Ils ont été pas mal engagés en Syrie qu’ils ont libéré de l’islamisme radical. Ils n’y ont pas beaucoup croisé de Frantsouzy là-bas… Et pas beaucoup de mercis non plus… Clip amusant, Trump, les sanctions et le Russien qui te dit « même pas mal et descends, viens me chercher, tu vas me trouver ». Bon courage !

 

Et pour finir, quelques photos de ma retraite. Mais un tchékiste se retire-t-il un jour…

Chronique moscovite par Félix Edmundovitch Dzerjinski : L’ultime
Chronique moscovite par Félix Edmundovitch Dzerjinski : L’ultime
Chronique moscovite par Félix Edmundovitch Dzerjinski : L’ultime
Chronique moscovite par Félix Edmundovitch Dzerjinski : L’ultime
Chronique moscovite par Félix Edmundovitch Dzerjinski : L’ultime
Chronique moscovite par Félix Edmundovitch Dzerjinski : L’ultime
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Chronique moscovite par Félix Edmundovitch Dzerjinski : L’ultime
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4 mai 2019 6 04 /05 /mai /2019 19:18

Le monde englouti ex socialiste , toujours conseiller régionale au social,  Jacques Cresta a fait dans l'épisode précédent acte d’allégeance au député LREM et candidat à la mairie de Perpignan en 2020 . La cohérence voudrait, comme ce fut le cas pour Brice Lafontaine conseiller à la catalanité de Jean-Marc Pujol , qu'on lui retira ses délégations à la région pour "apostasie" ou  "transfuge intestinale non désiré" .

Une question de lisibilité politique, comme pour les lasagnes, dont on aimerait que lorsqu'il y est inscrit bœuf,qu'il n'y est pas une vieille rosse en lieu et place!

Il faut être aussi exigent en terme de traçabilité pour les aliments que pour les politiciens: produits ici, engraissés là, et assemblés encore ailleurs avec estampille locale !

Sans quoi le consommateur, enfin l'électeur ni retrouve pas ses petits et fini par bouder la fête démocratique ou voter blanc . Parce qu'il n'admet plus que l'élu puisse obtenir, le beurre, l'argent du beurre et le vote de la fermière!

Ou alors, on considère, en l'officialisant dans la constitution, que la politique est un "mercato" comme un autre...

Et que ça seule règle soit :" la concurrence libre et non faussée" comme de juste au sein de l'union européenne . Ainsi le politicien , devient un auto-entrepreneur dé-idéologisé (comme il y a du pétrole désodorisé) , par ce que le monde est une entreprise et que pour le faire tourner, il y faut des chefs d'entreprises "pragmatiques" (notez que je n'ai pas dit cyniques) , des patrons avec le "courage" d'être forts avec les faibles et ladres avec les puissants. Bref des "condottieres" du "nouveau monde"

Mais revenons à notre incarnation du nouveau monde , le ci-devant Jacques Cresta, qui nous dit qu'il a gardé "ses valeurs de gauche"

A-t-il jamais été de gauche? A-t-il emprunté une porte plutôt qu'une autre parce que celle-ci était ouverte et qu'il y avait vu pour lui, de la lumière. Le temps changeant, il s'est dit que, qui veut voyager loin, doit changer de monture, et pas que pour ses lunettes . "Ses valeurs de gauche" ne sont plus qu'un souvenir dont le parfum restera à jamais fané, comme celui des roses...

"Oh ! je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis.
En ce temps-là la vie était plus belle,
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle.
Tu vois, je n'ai pas oublié...
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle"

C'est une trahison qui lui ressemble, mais il est dans l'esprit du temps.

Mais la présidente Delga, a-t-elle intérêt à conserver un tel "ouistiti" dans ses délégation et de se positionner "gauche audacieuse" comme une "Estrosi" de Toulouse?

Pas si elle veut ré-crédibiliser le parti socialiste, dont semble-t-il la devise soit toujours l'aphorisme de Cioran:" Ne nous suicidons pas tout de suite: il reste encore quelqu'un à décevoir !" 

 

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16 avril 2019 2 16 /04 /avril /2019 20:16

La talentueuse Prêle Abélanet , leader du groupe Cavale https://www.difymusic.com/cavale-prele-abelanet, a été invité sur France Culture dans l'émission , " Les Carnets de la création" à Paris par Aude Lavigne, Charlotte Roux, Daphné Abgrall, Manuel Couturier

Qu'est ce qu'une musicienne et créatrice catalane raconte lorsqu'on lui tend le micro: réponse dans le podcast en lien juste en dessous

Le groupe catalan ''Cavale'' reçu sur France-Culture dans ''les carnets de la création''
Le groupe catalan ''Cavale'' reçu sur France-Culture dans ''les carnets de la création''
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