On s'était dit que franchement, autant d'acharnement dans ses différents articles à défendre l'équipe municipale Pujol où jusqu'à ne pas voir les points saillants des conseils municipaux (la vente des fichiers des abonnés de l'USAP à hauteur de 100 000 euros à la mairie, le candidat unique à la reprise du de la fourrière, faire passer Clotilde Ripoull pour quasi folle dans le cadre de son attaque sur la création d'une SPL, article dithyrambique sur le discours de JM Pujol sur la sécurité au quartier Las Cobas...), Josiane Cabanas finirait bien par être récompensée. Parce que comme le disait Bertold Brecht "seule la mort est pour rien: tout le reste se paie!" On a fini par apprendre qu'elle venait de succéder à Gérard Belledent au conseil d'administration du théâtre de l'archipel. Alors, vous me direz, "quel est le rapport entre Josiane Cabanas, le théâtre et la culture?" A part quelques critique subjectives du théâtre politique, il est vrai qu'elle n'a guère démontré son engagement dans le domaine...Et alors, si les gens devait être capable ou représentatif au poste qu'ils occupent cela se saurait ...Puisque , on vous dit que c'est une nomination honorifique , comme la légion d'honneur qui n'a qu'un rapport lointain avec celle-ci (la légion bien-surs)
On se dit alors qu'il y deux poids, deux mesures dans le traitement de ses journalistes par la rédaction de l'indépendant. Guillaume Clavaud est-il plus coupable que Josiane Cabanas de partialité ? Peut-on être journaliste et au conseil d'administration du Théâtre de l'archipel?
Et un théâtre qui est déjà sur la sellette quant à son coût et l'impact culturel réel qu'il aura sur la ville, quel est crédibilité pour celui qui prend dans son conseil d'administration une personne qui n'a rien à voir avec son activité?