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L'archipel Contre-Attaque

  • : L'archipel contre-attaque !
  • : Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
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  • Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 00:16

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Un appel avait été lancé sur les réseaux du net appelant à bloquer la circulation au cours Lazare Escarguel à la fin de la manifestation. A 12H40, la manif arrive place de Catalogne. La tête de la manifestation est occupée à tour de rôle, vagues après vagues de manifestants, par chacune des centrales syndicales. Ce jour là, c'était  le tour de « solidaires »

Le syndicat Sud avance donc jusqu'au fond de la place et occupe le carrefour et bloque la circulation.

A ce moment, la CGT est en deuxième position. Son camion sono s'arrête au début de la place, à 30 mètres de la fin du boulevard Clémenceau ; arrêtant la manif, qui se disloque et se disperse d'elle-même. 

Au fur et à mesure de leur arrivée, certains cortèges rejoignent « Solidaires »: la CNT, certains syndicats CGT (santé notamment) , le NPA, quelques portes drapeaux de FO...Quelques 300 personnes bloquent le carrefour.

Aucune centrale syndicale n'appelle au blocage: toutes s'empressent de disperser.

Finalement la fin de la manif étant en vue, le camion CGT s'en va longeant les occupants du carrefour, et sous les sifflets évidemment...

La FSU est en fin de cortège. Elle comptait organiser un pique-nique au centre de la place Catalogne. Du coup, elle se retrouve sans personne pour manger les sandwichs qu'elle avait prévu. Et, elle se garde bien d'approcher les bloqueurs. 

Au bout de trois quart d'heure, les occupants du carrefour se dispersent ensemble.

L'action en elle-même n'est pas particulièrement audacieuse: ce n'était pas la prise du palais d'hiver!

Mais elle avait au moins un intérêt:afficher une détermination, exprimer une combativité face à l'autisme du pouvoir. C'était visiblement trop pour certains. Ceci dit, force et de constater, que les manifestants n'ont pas débordé en masse les directives syndicales, pour se joindre aux plus déterminés 

Ce sera pour une fois, « le grand soir à midi » 

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