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A l’inverse de l’optimisme affiché du mythe du progrès, les sociétés spectaculaires contemporaines ne mettent en scène que des scénarios futuristes terrifiants. Ces sociétés ont développé, dans un strict souci de domination, une approche chaotique du futur. Ce devenir chaotique se traduit par une crainte de l’avenir et un rejet de la singularité au profit de la répétition"
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L'archipel contre attaque était au deux bout de la ligne de lutte pour le train de fret Perpignan Rungis ; d'abord le 5 juin en pleine semaine professionnelle Visa pour l'image à la construction et la projection d'un documentaire place Rigaud, la conférence de presse CGT and friend pour la défense du train. Et lundi, pour filmer la base CGT interrompant la réunion du directeur national du fret SNCF monsieur Derlincourt
tentant d'instaurer un dialogue sur l'avenir du train. Le sieur Derlincourt a commencé par dire "Je suis le marché" au sens de suivre.Puis il a dit qu'il se resserrait sur son corps de métier "la traction" pas le transport ferroviaire (comme il n'y a plus de journaliste, mais des créateurs de contenus) ; Et puis il a ré-enchaîné sur le "marché" (GROSS MALHEUR DAS KRIEG) le tout sur un ton contenu et amidonné comme le gang des chemises blanches technos dont il semblait être le leader. La cgt cheminots, cheminots retraités et autres corps de métier au voix gouailleuses et tonitruantes avec la téciture de l'humanité dans sa réalité sécrétionnelle , face à la froideur technoïde .
dialogue de sourds avec le pourquoi du comment. "Je suis le marché" commença le sieur Derlincourt, pour terminer à propos du fait qu'il soit dans un service public :'le service public ne peut rien face à des trains vides ! "