Jean-Marc Pujol, Jean-Marc Pujol : c'est le maire de Perpignol ?
Certains d'entre vous, sont toujours persuadés que Jean-Paul Alduy est encore maire de Perpignan (Notez, lui aussi reste encore persuadé de pas mal de choses) C'est que l'ex premier adjoint aux déficits ( heu à l'économie, mais comme nous sommes la quatrième ville de France pour la pauvreté...link ) et actuel maire de Perpignan, Jean-Marc Pujol ( Je répète, ça finira bien par rentrer dans les caboches) a un déficit d'image : il n'a pas un physique marquant. Comme si ça profession d'expert comptable (retenir plutôt l'aspect comptable) avait modelé son physique. En même temps, c'est la faute au cinéma américain (celui qui créé les grands archétypes de notre inconscient collectif) de n'avoir mis en valeur pour notre représentation du héros que: des flics, des militaires, des pompiers, des avocats (pas fiscalistes), des infirmières, des médecins, parfois des experts : mais pas comptable. Alors que faire ? Que faire, pour cet homme qui n'a même pas un physique ingrat pour qu'on le retienne (on se souvient facilement de bossus comme Quasimodo ou Lagardère. En plus, lorsqu'on leur caresse la bosse cela porte chance) . Ses communicants ont essayé tant de choses qui ,apparemment , n'ont pas su faire bouger les lignes. On lui aura fait des marques pages à son effigie (voir article link). On lui aura fait distribuer, au et en publique des T-Shirts de l'USAP( voirlink).
On l'aura fait pauser sourire plein du soleil de Mostagadem, ballon en main, entouré de basketteuses semi-effeuillées. Cette année on lui fait faire une vidéo de vœux aux Perpignanais dont l'ambiance ressemblerait à la déclaration d'armistice du Maréchal Pétain avec l'Allemagne. Bonjour l'ambiance.
Mais cerise sur le gâteau, on le fait pauser en quatre par trois, façon mannequin pour parfum « L'homme » d'Yves Saint-Laurent, mais dans sa version locale. Avec toujours, ce sourire qui vous ferait regretter d'avoir perdu un département français du nord, mais de l'Afrique ; et un regard qui sait tout ce qu'il a fallu pour en arrivait là, et tenir sa revanche. Son manque d'assurance provient-il du fait qu'il ait été nommé maire par un Jean-Paul Alduy, trop pressé de lui abandonner les problèmes de « crottes de chien et les trottoirs défoncés » ? Qu'on ait pas vraiment voté pour lui (et l'aurait-on fait s'il avait été tête de liste?) Tout ça nous coutera cher parce que le bonhomme compte bien être à nouveau maire en 2014 ( Confère la dernière campagne d'affichage qui aura coûté la moitié du budget de l'école d'art, soit 30 000 euros!)
Pour que l'ont se souvienne de lui, faudra-t-il qu'il créé le scandale, en divorçant de sa femme pour épouser une adjointe, représentante d'une minorité. Et faire une fête à tout casser, dans un Riyad du très chic quartier de « La Palmeraie » à Marrakech dont les youyous retentiraient jusqu'aux oreilles des contribuables de Perpignan ?
Le théâtre de l'archipel la couronne des Maires-Rois de Perpignan