Jean-Paul alduy, sénateur, président de la communauté d'agglomération de Perpignan et maire
démissionnaire, s'exprime au sénat lors du débat autour de la vidéo-surveillance :
Regardez en vidéo sur le site videos.senat.fr
Depuis sa nomination au poste de maire par Jean-Paul Alduy, suite à sa démission, Jean-Marc Pujol tente toujours de faire connaître aux perpignanais son nouvel état. Il a essayé les happenings à l'américaine (voir sa cérémonie des vœux), les supports de communication discrets, efficaces et proches de nous (le marque page à son effigie. véridique, je précise, parce que personne ne nous croie et raconte qu'on a pris la photo dans un magazine de concierge). Il a tenté une apparition à la « Nit de Sant Jordi » où, à peine accompagné à l'entrée par un élu, il a du faire spécifier qu'il était le maire pour qu'on le laisse entrer. C'est dur comme le cardinal Ratzinger de succéder au poste de Pape au Jean-Paul deux de la première magistrature de la Ville comme JPA. Alors ses « spin doctors » ont eu une idée de génie : superposer son image inconnue à une image supra-connue, méta-connue, légendaire : l'USAP. Alors, comme en plus « on est en finale », l'effet et l'impact politique sera démultiplicateur et ravageur. Pour ainsi dire, l'idée était digne d'un hybride entre Goebels et un slogan de Coca-cola. Le résultat : Jean-Marc Pujol s'est retrouvé à distribuer des fanions USAP étiquetés "Mairie de Perpignan" (à l'instar de leurs équivalents étiquetés "Conseil Général") au bon peuple qui faisait la queue, comme les russes pour le pain à la veille de la révolution de 1917 !
La preuve en vidéo :