Le maire de Perpignan Jean-Marc Pujol se comporte de bien étrange manière en ce moment .Le problème c'est que cela se déroule en public. Déjà au dernier conseil municipal répondant aux FN Louis Aliot sur le financement étranger des mosquées de Perpignan, Jean-Marc Pujol s'était lancé dans une étrange diatribe, alléguant qu'il "mettrait une balle dans la tête aux djihadistes avant qu'ils ne tuent ses enfants et petits-enfants" . Alors Louis Aliot le relance, "vous êtes donc pour la peine de mort...", le maire rétorque alors "dans ce cas la, oui" (Ces dires, n'ont pas était repris dans l'article de L'indépendant de Frédérique Michalak qui a focalisé sur la hausse des indemnités des élus, France-Bleu Roussillon et France 3 Pays-catalans n'étaient pas présent)
Voilà qu'hier à l'occasion de la présentation de l'association autour du philosophe Walter Benjamin (suicidé à Port-Bou), Jean-Marc Pujol interpelle le bloguer et écrivant Jean-Pierre Bonnel à propos de son dernier post intitulé "Perpignan : le maire entre rumeurs et vérités" http://leblogabonnel.over-blog.com/2016/02/perpignan-le-maire-entre-rumeurs-et-verites.html?utm_source=_ob_share&utm_medium=_ob_facebook&utm_campaign=_ob_share_auto
, dans lequel, il fait la recension de toutes les rumeurs avérées ou pas qui traînent autour de l'élu perpignanais.
Pendant près d'un quart d'heure (retardant la présentation à un public nombreux) il vitupère agressif Jean-Pierre Bonnel , affirmant que texte "n'est qu'un tissu de ragots", qu'il pratique "la délation" (un autre plaisir de bouche) "que c'est l'esprit de Vichy qui règne dans ce texte", qu'il pourra être inquiété pour ce "délit"
Jean-Pierre Bonnel propose alors à Jean-Marc Pujol de participer à la réunion.Mais celui-ci décline la proposition. Et continue à lui dire qu'il a été blessé par toutes ses insinuations ordurières, dont il s'est fait l'écho dans l'article. Que son adjointe Suzy Niquaise est en clinique dans un état grave à cause de ses attaques!Jean-Pierre rétorque à Jean-Marc que c'est la liberté d'expression, que c'est le "Je suis Charlie" pancarte avec laquelle il avait manifesté, le 11 janvier 2015.
Étrange comportement d'un personnage public , maire d'une ville de 120 000 habitants et président d'une agglomération plus grande encore, porteur de la légion d'honneur, qui relançant un blogueur en public lui donne une importance à lui et à son texte, qui serait peut-être passé inaperçu, s'il ne lui avait pas pris la foucade de faire une esclandre !
Jean-Pierre Bonnel raconte
Voir aussi:
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