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Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
Il était une fois à l'Assemblée nationale, un débat houleux sur l'augmentation des frais de mandat des députés. Une décision qui, dans un premier temps, avait reçu l'approbation de certains députés du Rassemblement national (RN) des Pyrénées-Orientales, dont Sophie Blanc, Anaïs Sabatini, Sandrine Dogor-Such, et Michèle Martinez.
Cette proposition consistait à augmenter de 300 euros par mois la dotation attribuée aux députés, passant ainsi de 5 645 euros à 5 950 euros par mois. Cependant, une fois que la nouvelle s'est répandue et a suscité un vif émoi dans l'opinion publique, la donne a changé.
Le député insoumis François Ruffin a été parmi les premiers à réagir, soulignant que "300 euros de plus pour les députés ?
C'est le revenu mensuel d'un tiers des agriculteurs !" Sur les réseaux sociaux, la polémique enflait, et même la socialiste Valérie Rabault, initialement absente lors du vote, a exprimé son désaccord, affirmant que ce n'était "pas un bon signal".
Fait remarquable, après avoir soutenu cette augmentation la veille, le Rassemblement national a opéré un revirement stratégique.
Hélène Laporte et Sébastien Chenu, vice-présidents RN de l'Assemblée nationale, ont publié un communiqué demandant le report de cette mesure. Ils ont estimé que cette augmentation "suscite, à juste titre, un émoi certain chez nos compatriotes dans une période où le pouvoir d'achat de très nombreux Français est très dégradé". Ainsi, ils ont solennellement appelé Yaël Braun-Pivet à "reporter sine die" cette mesure controversée.
Ce revirement illustre l'impact de l'opinion publique sur les décisions politiques, soulignant que même dans l'arène politique, il est parfois nécessaire d'écouter la voix du peuple. Une leçon que les députés ont appris à la dure, dans une tragi-comédie parlementaire où le balancier de l'opinion a guidé le cours des événements.
"Dans une grande cité, proche de Wall Street,
Un homme avisé, Joseph, se rendait,
Chez son banquier, fort de ses avoirs,
Mais sur son chemin, il fit un détour.
Un cireur de chaussures, humble artisan,
Connu de Joseph depuis bien longtemps,
Lui glissa des conseils, avec simplicité,
Sur des actions à acheter, sans délai.
« US Steel et RCA », lui dit le cireur,
« Des valeurs sûres, crois-moi, monsieur ».
Kennedy, attentif, prit ces mots au sérieux,
Et décida de liquider ses avoirs précieux.
La fortune des Kennedy, ce jour-là, fut préservée,
Grâce à la sagesse d'un humble cireur de chaussée.
« Si même lui me donne des conseils », songea Joseph,
« Il est temps, sans doute, de rester prudent, équitable ».
La morale de cette histoire est claire à comprendre,
En Bourse, l'unanimité peut souvent surprendre.
Quand tous s'accordent sur une même tendance,
Il est peut-être temps d'en prendre conscience.
Ainsi va la sagesse, dans les marchés mouvants,
Écoutons les signes, même les plus déroutants.
Car parfois, dans le silence des pas modestes,
Se cachent les clés d'une prudence honnête."
Fable perse à l'usage des Pyrénées-Orientable
3 ans du mandat, RN sans étiquette, Louis Aliot et le bilan d'avant la chute du mur, reste nébuleux dont le programme participait d'un discours qui n'a toujours pas eu lieu. Et qui s'est reconstruit au prorata des événements qui s'inscrivent dans la logique, des causes et conséquences d'actions municipales sur 3 maires: Jean-Paul Alduy/ Jean-Marc Pujol/ Louis Aliot . À combien de centimètres du ravin allons-nous réfléchir. Avant hier aux vœux des commerçants de la ville, Louis Aliot faisait la réannonce d'un parc à thème sur le cinéma, avec présentation des protagonistes, qui eux même parlaient de 700 emplois, en toute écologie et une fin de travaux en 2027! http://l-archipel-contre-attaque.over-blog.fr/2023/09/louis-aliot-veut-un-puy-du-fou-catalan-a-perpignan-la-folie-des-glandeurs-ou-un-reve-americain-par-john-dutton-jr.html
L'analogie entre la résolution d'un problème mathématique et la résolution des problèmes de la ville de Perpignan est intrigante et peut être éclairante. En mathématiques, un problème mal énoncé peut conduire à des erreurs dans le processus de résolution, même si les calculs effectués sont corrects. De la même manière, une ville dont les problèmes ne sont pas correctement identifiés ou énoncés peut avoir du mal à trouver des solutions efficaces, même si les efforts déployés sont louables.
Tout d'abord, un problème mal énoncé peut conduire à une mauvaise compréhension de la situation.
Si les enjeux fondamentaux ne sont pas clairement définis, les actions entreprises risquent d'être inappropriées ou inefficaces. Par exemple, si Perpignan identifie incorrectement ses principaux défis, comme la dégradation de l'environnement urbain plutôt que des problèmes économiques plus profonds, les solutions proposées peuvent manquer leur cible et aggraver les problèmes existants.
Ensuite, un problème mal énoncé peut entraîner un gaspillage de ressources précieuses.
Les investissements financiers, humains et matériels dans des initiatives mal conçues ou mal dirigées peuvent s'avérer inutiles ou même néfastes. Si Perpignan alloue des fonds importants à des projets qui ne correspondent pas aux véritables besoins de la communauté, cela peut conduire à un gaspillage de ressources et à un manque de progrès tangible dans l'amélioration de la qualité de vie des habitants.
De plus, un problème mal énoncé peut conduire à une fragmentation des efforts de résolution.
Sans une vision claire et unifiée des défis à relever, les différentes parties prenantes peuvent poursuivre des objectifs divergents, ce qui rend difficile la coordination des efforts et la réalisation de progrès significatifs. Si les acteurs locaux de Perpignan ne parviennent pas à s'entendre sur les problèmes prioritaires à résoudre, cela peut entraîner des tensions et des conflits qui entravent les efforts de collaboration.
Enfin, un problème mal énoncé peut miner la confiance du public dans les institutions et les dirigeants locaux.
Lorsque les citoyens voient que leurs préoccupations ne sont pas correctement identifiées ou prises en compte, ils peuvent devenir sceptiques quant à la capacité des responsables politiques à répondre efficacement à leurs besoins. Cela peut conduire à un sentiment de frustration et d'aliénation, sapant ainsi le soutien public aux initiatives de développement et de changement.
En conclusion, comme pour un problème mathématique, Perpignan doit s'efforcer d'énoncer correctement ses problèmes afin de les résoudre de manière efficace et durable.
Cela nécessite une analyse approfondie, une communication transparente et une collaboration étroite entre les parties prenantes locales. En identifiant avec précision les défis à relever, Perpignan peut mettre en place des solutions adaptées qui améliorent véritablement la qualité de vie de ses habitants et renforcent la viabilité de la ville sur le long terme.
On ne présente plus John Fitzgerald Kennedy, mais connaissez-vous son père, Joseph Patrick, alias Joe ? Financier, producteur de cinéma et diplomate, il est celui qui a fait passer la famille da...
La ville de Perpignan et ses environs sont actuellement le théâtre d'une mobilisation sans précédent alors que les agriculteurs locaux ont érigé des barrages à plusieurs points névralgiques de la cité. Ce mouvement de protestation, qui se veut une réponse aux politiques agricoles actuelles, reçoit un soutien massif de la population perpignanaise, inquiète pour l'avenir de l'économie agricole dans les Pyrénées-Orientales.
Des Blocages à Travers la Ville
Les agriculteurs ont choisi des points stratégiques pour leurs barrages, affectant la circulation et attirant l'attention sur leurs revendications. Parmi les zones touchées, on compte le Rond-point des Arcades (Auchan), Saint Charles, le Centre-ville (quai Sadi Carnot), Mas Guérido (Intermarché), Château Roussillon (Carrefour), et le Polygone Nord (Leclerc). Ces blocages ont créé des perturbations significatives, suscitant des discussions animées sur les réseaux sociaux et dans les médias locaux.
Économie Agricole en Péril dans les Pyrénées-Orientales
Le département des Pyrénées-Orientales, caractérisé par une économie largement agricole, ressent particulièrement les conséquences des politiques nationales. Les agriculteurs locaux sont confrontés à des défis croissants, allant des pressions économiques aux questions environnementales. Le blocage vise à attirer l'attention sur ces difficultés et à inciter les autorités à prendre des mesures significatives pour soutenir l'agriculture locale.
Soutien Populaire Inébranlable
Ce mouvement de protestation a trouvé un écho favorable au sein de la population perpignanaise. Les habitants expriment leur solidarité avec les agriculteurs, comprenant les enjeux cruciaux qui entourent l'avenir de l'agriculture dans la région. Sur les réseaux sociaux, de nombreux messages de soutien affluent, accompagnés de témoignages soulignant l'importance vitale de l'agriculture locale.
Écho des Gilets Jaunes : Une Population Mobilisée
Cette mobilisation rappelle les manifestations massives des "Gilets Jaunes" qui ont secoué la France il y a quelques années. Perpignan, avec son fort héritage de mouvements sociaux, se montre une fois de plus un terreau fertile pour l'expression populaire et la contestation. Les Pyrénées-Orientales, souvent perçues comme un bastion de la résistance, s'imposent comme un acteur clé de ces mouvements de contestation.
L'Appel à la Négociation
Face à cette effervescence, les autorités locales sont appelées à négocier avec les représentants des agriculteurs pour trouver des solutions concrètes. Les blocages, bien que perturbateurs, mettent en lumière des problématiques cruciales qui exigent une réponse urgente et significative.
Perpignan, entre tension et solidarité, se retrouve une fois de plus au centre des débats nationaux, portant haut et fort les préoccupations de ses agriculteurs et de sa population. L'avenir de l'agriculture dans les Pyrénées-Orientales se joue aujourd'hui sur les barrages de la cité catalane.
BIOGRAPHIE & INFORMATIONS
Nationalité : Belgique
Né(e) à : Harelbeke (BE) , le 16-11-1945
Biographie :
Auteur de bandes dessinées, scénariste
Jan Bucquoy est un réalisateur de cinéma né le 16 novembre 1945 à Harelbeke. Il a débuté comme régisseur de théâtre. Après une carrière de scénariste de bande dessinée, il s'est lancé dans le cinéma. Il a été conservateur du musée du slip. Il est surtout connu pour ses interventions intrépides à la télévision et son coup d'état annuel à Bruxelles. On pourrait le catégoriser comme un artiste post-surréaliste et situationniste. Il est aussi écrivain.
Il est écrivain et auteur d'une cinquantaine de bandes dessinées : il a notamment publié la série (Daniel) Jaunes avec Tito inspirée par Alfred Korzybski, Les chemins de la gloire (Glénat (éditeur) 1985) avec Daniel Hulet, Une épopée française (Glénat (éditeur) 1990) avec Sels et une parodie pornographique de Tintin , qu'il n'hésite pas de présenter par le personnage du présentateur de Radio Cosmos (Claude Semal) dans une scène délirante avec Lolo Ferrari dans le film culte Camping Cosmos. Sans oublier le thriller Le Bal du rat mort (Glénat 1986) avec J.F. Charles qui se passe entièrement à Ostende (à l'exception de quelques scènes à Bruxelles) et qui obtient le Prix Saint-Michel de la meilleure bande dessinée en 1981. Son film La Vie sexuelle des Belges 1950-78 est basé sur sa bande dessinée Jean-Pierre L'Heureux, Brèves Rencontres (1987) et Tout va bien (1990) dessinée par Jean-Philippe Vidon dans laquelle il incarne son personnage principal.
Source : Wikipédia et http://www.bedetheque.com
AJOUTER DES INFORMATIONS
Jan Bucquoy, l'artiste belge aux multiples talents, fait une entrée remarquée sur la scène artistique parisienne avec son œuvre iconoclaste "Jaune". Du Cochon Hardi à Drouot, de la bande dessinée à la série TV, l'homme aux mille facettes nous transporte dans un univers aussi décalé que fascinant.
Le rendez-vous était fixé au Cochon Hardi, où Jan Bucquoy dévoilait sa série "Jaune" et présentait le documentaire choc explorant l'état de misère dans une perspective inédite. Paris vibrait au rythme de ce belge iconoclaste, offrant une bouffée d'air frais dans le monde parfois trop guindé de l'art contemporain.
Jaune : La Série qui Fera Vibrer la Belgique et au-delà
Jan Bucquoy n'est pas un artiste ordinaire, et "Jaune" d'abord BD, puis Roman graphique, le confirme avec éclat. La série, fruit d'une imagination débordante, explore les recoins de la société contemporaine avec une touche de satire et de poésie. Les épisodes, comme des tableaux vivants, capturent l'absurdité et la beauté du quotidien, transformant la réalité en un kaléidoscope de couleurs éclatantes.
Au Cochon Hardi, l'artiste a partagé son processus créatif, décrivant "Jaune" comme une invitation à la réflexion, un miroir déformant tendrement posé devant nos vies modernes. Entre rires et émotions, la série a su conquérir le cœur d'un public assoiffé de nouveauté et d'originalité.
La Vente aux Enchères à Drouot : Une Étape Prestigieuse
Mais Jan Bucquoy ne s'arrête pas là. Il propulse son art jusque dans les cercles prestigieux de Drouot, avec une vente aux enchères prévue le 27 janvier 2024. Les collectionneurs parisiens auront l'occasion d'acquérir une pièce unique de cet artiste singulier. Des œuvres qui révèlent le génie de Bucquoy, entre subversion et élégance, un savant mélange de provocation et de délicatesse.
En direct pour l'archipel contre attaque, Jan Bucquoy s'est livré au Cochon Hardi, dévoilant les coulisses de ses créations. Ses toiles, ses dessins, ses collages, tout s'anime dans un tourbillon artistique où la réalité se mêle à l'imaginaire. L'homme au cœur rebelle, qui aime à explorer les frontières de l'art et de la société, a charmé un public avide d'authenticité et de sincérité.
Documentaire : L'État de Misère artistique du cinéma Sous un Nouvel Œil
Au cœur de cette aventure artistique, le documentaire présenté au Cochon Hardi à Perpignan offre un regard unique sur l'état de misère. Jan Bucquoy, caméra à la main, explore les rues, les visages, et les histoires souvent négligées. Un plaidoyer visuel, sans artifices, pour une société plus compatissante et attentive.
À travers son regard empathique et décalé, Jan Bucquoy nous invite à voir au-delà des clichés, à ressentir la réalité parfois crue, mais toujours poignante. Le documentaire, comme une extension de son œuvre, célèbre la diversité humaine et exhorte à la compassion.
Jan Bucquoy, artiste engagé et visionnaire, a réussi à créer un univers artistique à son image : audacieux, captivant, et profondément humain. Des rires aux enchères, de l'archipel parisien à Drouot, "Jaune" éclaire notre perception du monde, et Jan Bucquoy s'affirme comme un artiste qui laisse une empreinte indélébile dans le paysage artistique contemporain.
“L'homme prospère est comme l'arbre : les gens l'entourent tant qu'il est couvert de fruits ; mais sitôt les fruits tombés, les gens se dispersent à la recherche d'un arbre meilleur.”
Livres des Mille et une Nuits
Parce que le pouvoir est ailleurs, n'en voulez pas aux personnels politiques de ne plus mettre qu'en scène leur expression et de ne répondre que des excuses plus ou moins charpentées aux électeurs, parce que la vérité et le pouvoir sont ailleurs, et que les élus n'en partagent qu'une part congrue et symbolique. En bref, ce n'est pas pour vous qu'ils règnent! Ils administrent pour ceux qui les ont fait élire.
Même au niveau local ! Prenons l'exemple de Louis Aliot, tout ce qu'on n'a pas entendu avant son élection. Vous pensez une ville de 120 000 habitants aux mains du FN https://www.lesechos.fr/politique-societe/regions/municipales-a-perpignan-la-tentation-du-rassemblement-national-1183462 ! On été a deux doigts de Guernica (oui, mais du whisky quand même) . S'il passait et qu'il arrivait à relever la ville, ça démontrerait par transitivité que Marine le Pen, son ex compagne, pourrait gérer la France à son tour, comme on dit dans le code civil, "en bon père de famille" !
Et le lendemain de l'élection, c'est presque avec déception que" l'arc républicain" n'a pas vu se mettre en place des arrestations à l'heure du laitier, des trains,des camps enfin la mise en scène habituelles de la méchanceté et de l'ongle du mâle incarné!
Pour comprendre comment on a basculé du coté au-secours de la farce, il faut avoir vu un documentaire de Bertrand Schmit sur la campagne des municipales de 2020, toujours pas sorti! L'auteur d' "Un alller simple pour Perpignan" https://www.youtube.com/watch?v=uOba7p1tmDY&t=39s film a hauteur d'homme, c'est pour quoi, il saisit des moments rares: des moments clefs pour la compréhension des individus et de l'histoire.
On est au moment où l'on a les résultats de l'élection en petit comité, Véronique Aliot annonce au vue de leur victoire : "La bourgeoisie a basculé!"
À Perpignan, il y a eu peu de mobilisation pour cette élection, d'autant qu'on été en plein Covid . Ne se sont déplacés que ceux qui se prennent pour des prescripteurs. Et lorsqu'ils vous croisent dans ces périodes, n'ont que cette phrase injonctive aux bords des lévres: "votez bien"!
Parce qu'ils ont le secret du "bien" , vu qu'ils proviennent du "cercle de la raison" . Leur bien, est conservé leur rente. La rente est un serpent qui doit muer pour se prolonger : comme dans le roman "Guépard " de Giuseppe Tomasi di Lampédusa, dans la bouche du prince Salinas, "il faut que tout change, pour que rien ne change"!
Louis Aliot est l'incarnation du produit qu'il fallait à la bourgeoisie perpignanaise pour perpétuer la tradition de leur procession de la chance !
Pour imposer un programme, encore faut-il en avoir un. Au-delà de la phrase de Mussolini:" notre seul programme est de prendre le pouvoir !"
Mais tous les candidats ne croient eux aussi qu'au loto, et ont le courage absolu de prendre un ticket! À eux "el gordo" à nous le "régime"...
Mais l'élu à une dette, il doit fabriquer un narratif que la presse remixera au fur et mesure des séquences, événements ou fait-divers. L'élu pour prendre sa commission (légitime) doit se faire Shéhérazade , pour garantir ses commensaux, parce que la table n'est pas si grande...
"Shéhérazade, la fille du vizir, se porte volontaire pour se marier avec le roi. Après son mariage avec Schahriar, le soir venu, elle raconte une histoire palpitante au sultan sans la terminer. Son époux veut alors tellement connaître la suite qu'il lui laisse la vie sauve pour une journée de plus. Chaque nuit, Shéhérazade finit l'histoire de la veille et en commence une nouvelle en les reliant les unes aux autres. Ce stratagème dure pendant mille et une nuit, au bout desquelles le sultan abandonne son projet et décide de garder Shéhérazade auprès de lui pour toujours, ayant reconnu ses qualités de cœur et d'esprit."
Le mandat de Louis Aliot n'est pas là pour résoudre des problèmes, mais pour continuer de mettre un couvercle sur ceux-ci en priant fort pour qu'ils n'explosent pas de manière intempestive...
D'où la sur-communication en mode de défilés, de cavalcade, pendant ce temps : Louis XVI pour se préoccuper de serrurerie et d'immobilier...
S'il y a des suicides chez les agriculteurs, 2 par jour, ce n'est pas parce qu'on leur refuse le changement de sexe, ou par solidarité avec la guerre en Ukraine(«Au total, la participation financière valorisée de la France à l'Ukraine sur le plan militaire est de 3,2 milliards d'euros», a déclaré le député (Renaissance) des Bouches-du-Rhône Lionel Royer-Perreaut, corapporteur d'une mission d'information sur le bilan du soutien militaire français à l'Ukraine.) : "et pourtant, ce sont les raisons de nos valeurs !"
La France payait (enfin, les contribuables) 14 milliards d'euros et n'en reçoit que 10 milliards au prétexte qu'elle est contributrice directe (Tu m'étonnes qu'ils ne veulent pas qu'on parte). Le projet de loi de finances 2024 fixe à 21 610 millions d'euros la contribution de la France au budget de l'Union européenne pour 2024 https://www.economie.gouv.fr/cedef/contribution-france-budget-europe#:~:text=Le%20projet%20de%20loi%20de,l%27Union%20européenne%20pour%202024.. Avec ça près de 80% de nos lois, sont forgées par les "recommendations" de la même unions européennes. La relation de la France à l'Union européenne, c'est la morale de "l'histoire l'ours": ils ne sont pas venus que la chasse!
Ah, la commission européenne, cette merveilleuse machine à nous concocter des accords de libre-échange ! Ils sont tellement bien intentionnés, soucieux de voir les agriculteurs européens briller dans une compétition effrénée avec le reste du monde. Parce que soyons clairs, la meilleure façon d'aider nos agriculteurs, c'est de les jeter dans l'arène internationale sans filet ni protection. Montesquieu aurait sûrement applaudi.
C'est bien connu, selon la philosophie agricole 2.0 de la Commission, les agriculteurs européens sont trop chers.
Tout comme Montesquieu disait que "le sucre serait trop cher, s'il fallait payer ceux qui le cultivent", nos agriculteurs, c'est pareil. Il est évident que leur travail acharné ne mérite pas une rétribution décente. Soyons modernes, chers amis, et oublions cette idée désuète de payer les cultivateurs pour leurs efforts. L'agriculture, c'est du bénévolat, voilà tout.
Ainsi, la Commission européenne, dans son infinie sagesse, a décidé d'ouvrir grand les portes des marchés.
Soyons altruistes, partageons nos productions avec le monde entier, comme si nos agriculteurs n'avaient pas déjà assez de défis sur leurs épaules. La concurrence, c'est sain, non ? Surtout quand nos partenaires commerciaux ont des coûts de production dérisoires et des normes sociales et environnementales qui feraient rougir une huître.
Parlons maintenant de cette idée farfelue d'une souveraineté française en matière agricole. Une lubie, sans doute.
Pourquoi se soucier de l'indépendance alimentaire quand on peut importer tout ce dont on a besoin et plus encore ? Qui a besoin de diversité dans son assiette de toute façon ? Soja transgénique ou blé français, c'est pareil, non ? Mangez, consommez, et ne posez pas trop de questions.
Optimiser la production agricole pour atteindre l'indépendance alimentaire ?
Mais voyons, c'est tellement 20e siècle ! Soyons réalistes, c'est bien plus glamour d'importer nos denrées alimentaires des quatre coins du globe. Les kilomètres parcourus par nos fruits et légumes font de parfaits jets de miles pour notre empreinte carbone, n'est-ce pas ?
En fin de compte, chers lecteurs, la Commission européenne, par ses accords de libre-échange, nous offre un avant-goût de l'utopie mondialiste.
L'agriculture sans frontières, où tout le monde partage joyeusement tout avec tout le monde. Nos agriculteurs sont des héros involontaires de cette aventure, sacrifiés sur l'autel de la mondialisation. Alors, soyons reconnaissants et applaudissons, même si ce n'est pas très clair qui est censé applaudir qui.
"- C'est inutile, ajouta-t-il, nous n'avons plus la sagesse des anciens, elle est bien finie l'époque des géants !
- Nous sommes des nains, admit Guillaume, mais des nains juchés sur les épaules de ces géants, et dans notre petitesse il nous arrive parfois de voir plus loin qu'eux à l'horizon."
Le Nom de la rose
Umberto Eco
La plus que le mi-mandat de Louis Aliot vient de passer : que faut-il retenir de ce début de Perpignan en "grand"? De loin comme ça pas grand-chose, à part des engagements de personnes proches dans les services, une augmentation du budget com, et la baisse des subventions aux vitrines culturelles créées par les précédentes municipalités. Des nouveaux festivals comme "les après-midis de Perlimpinpin", "les ânes tétus", de cheres cavalcades de Noël et celle des rois mages: bref, comme dirait Erdogan, ya pas de koa fouetter un Kurde ou envahir l'Arménie ! Mais si London is calling: Perpignan, elle, bruisse !
De quoi bruisse-t-elle, me direz-vous ? Et bien pour le "Puits du fou catalan", produit phare ( à paupières, comme un grand blush) , on aurait (la mairie de Perpignan) acheté des licences Marvel (j'vois pas le rapport... Moi non plus) . Et un comité (petit) commence à se réunir pour mettre sous "contrat de ville" la "radio gitane"!
Une radio gitane pour quoi faire? Ce n'est pas le signifié de la radio qui est important, mais son signifiant. Parce que si c'est pour France-Bleu-Gitanillon, autant réinventer le fil à couper l'eau chaude !
C'est comme dans la tradition maçonnique le mot "Schibboleth" un exemple parmi d’autres. "Des générations de francs-maçons et de franc-maçonnes se sont imprégnées d’une interprétation, somme toute assez simpliste, en le réduisant à un mot de passe permettant de prouver que celui ou celle qui l’utilisait était bien compagnon. Et s’il y avait un autre sens, beaucoup plus conséquent ? "https://www.idealmaconnique.com/post/schibboleth-un-contenu-symbolique-méconnu-et-toujours-d-actualité
Est-ce que selon la tradition, la "Radio Gitane" ne sera "rien qu'une heure... Une heure seulement" pour un public de "vieux gitans en guise de voisins": belle et conne à la fois ?
Comme dirait Céline à propos de l'amour : "l'infini à portée des caniches ?"
📢 Assistez aux Rencontres de L'Alternative ! Endavant #1 🏛️
📅 Jeudi 25 janvier à 19h - El Casal, 23 avenue du lycée
Perpignan est à la croisée des chemins, et votre présence est cruciale pour façonner un avenir différent ! Après des années de gouvernement de droite et à mi-mandat de l'équipe actuelle, la ville est confrontée à un déclin alarmant, avec un manque flagrant de projets et de perspectives. La paupérisation s'accentue, le centre-ville se vide, les lotissements privés prospèrent, et les boulevards ressemblent toujours à une autoroute urbaine.
Mais nous croyons en une autre voie ! D'autres villes moyennes en France et en Catalogne ont relevé avec succès les défis du logement, des transports, et de l'urbanisme, créant des espaces urbains non seulement pour travailler et consommer, mais surtout pour vivre et partager.
🏙️ Vous êtes invité(e) à une soirée de réflexion et d'échanges, organisée par L'Alternative !, pour discuter des constats et envisager un projet de ville à la hauteur des enjeux sociaux et environnementaux de Perpignan.
🌍 Ensemble, esquissons un futur inclusif, écologique, et agréable à vivre pour Perpignan ! Ne manquez pas cette opportunité de contribuer à l'émergence d'une alternative porteuse d'espoir. Soyons le changement que nous voulons voir dans notre ville.
👉 Partagez l'information, invitez vos proches, et soyons nombreux à redéfinir le destin de Perpignan ! 🚀 #UneAutreVilleEstPossible
"La méthode paranoïaque-critique, ou paranoïa-critique, est un procédé de création inventé pour tous les arts par Salvador Dalí. Il fait partie des techniques surréalistes. Dalí le définit comme « une méthode spontanée de connaissance irrationnelle, basée sur l’objectivation critique et systématique des associations et interprétations délirantes »
Dalí expose sa méthode dans plusieurs écrits en un effort de rationalisation du processus de création qui l'anime et dont il repère les étapes à travers son autobiographie. Il mobilise pour ce faire ce qu'il a retenu, principalement à travers son ami Lacan, de la leçon de Clérambault sur la paranoïa, conçue comme une structure associant des idées, l'automatisme mental, et de la clinique de Dromard (1874-1918) concernant la création artistique. Dromard analyse le processus de création comme une interprétation critique d'images obsédantes qui surgissent à la conscience quand celle-ci passe à un état crépusculaire, le mentisme. Dalí le décrit comme un dépassement du mentisme, une projection littérale de l'obsession, voire du délire interprétatif de l'artiste.
Cette méthode d'herméneutique hystérique repose sur une « faculté » que seuls certains ont, celle d'être habité d'« associations et interprétations délirantes ». C'est la partie « paranoïa » de la méthode. Que ce soit dans le cadre d'un authentique délire ou dans celui d'un fantasme ordinaire, les idées extravagantes à l'origine de l'œuvre s'organisent en une structure. C'est cette structure, propre à ce qui fait le thème d'une obsession, « objective », et non la pensée subjective de l'artiste, qui génère systématiquement et enchaîne les images à partir d'une puis plusieurs idées obsédantes.
Cependant ces images d'idées obsédantes vont « s'objectiver a priori par l'intervention critique », c'est-à-dire grâce à la réflexion distante, l'œil de l'artiste. C'est la partie « critique » de la méthode. Le rôle de l'artiste est d'être réceptif à ces « associations » d'images et de comprendre le système qui les associe, « interpréter » leur signification, pour les organiser en une œuvre."
L'artiste est moins inventeur que révélateur mais un révélateur créatif, riche du défilement des images qui l'habitent et qu'il lui appartient d'interpréter en une vision signifiante"
Dans un délire paranoïaque-critique digne de Salvador Dalí, la cérémonie à Perpignan a pris place dans la Chapelle des Dominicains, un décor aussi déformé que les montres molles du maître du surréalisme. Louis Aliot, entouré de son équipe municipale et de figures locales, a commencé son discours en plongeant dans le subconscient créatif de la ville.
"En ce début d'année, il est de tradition de se tourner vers l'avenir avec optimisme, de renforcer les liens qui nous unissent et de se projeter vers des horizons prometteurs"
, déclama-t-il, semblant être envoûté par des visions oniriques. "Perpignan est une ville riche de son dynamisme culturel où se croisent les influences, les talents et les passions. C'est à vous, acteurs culturels de cette ville, que je m'adresse en premier. Que ce soit à travers les arts visuels, la musique, la danse, le théâtre, ou toute autre forme d'expression artistique, vous contribuez à tisser les fils de la culture qui font de Perpignan un lieu unique et vibrant (...)", continua-t-il, comme s'il peignait un tableau étrange avec des couleurs de l'irrationnel.
Les médailles de cette année ont été décernées à des entités aussi diverses que l'Archiconfrérie de la Sanch, La Compagnie du Genêt d’Or, Albert Bueno (chanteur), Claude Parent-Saura (sculpteur) et Denis Granier-Saez (Directeur de la Culture prenant sa retraite). André Bonet, l'adjoint en charge de la Culture et de la Catalanité, accompagna le maire dans cet étrange voyage, soulignant l'émotion suscitée par ces remises de médailles, comme si elles étaient des fragments de rêves réels.
"La Ville de Perpignan vous a soutenu par le passé et continuera de le faire car, plus que jamais en ces temps incertains, la Culture est essentielle en ce qu’elle offre le moyen d’exprimer sa créativité, de se forger une identité propre et de renforcer ou de préserver le sentiment d’appartenir à la même Nation", déclara Louis Aliot, mélangeant les éléments du quotidien avec ceux d'un monde parallèle.
"La Ville de Perpignan, au travers de ses services culturels, prend largement sa part, à vos côtés, pour relever ce défi collectif", ajouta-t-il, transformant le discours en une pièce surréaliste où la réalité et l'illusion se confondent.
"Chaque œuvre est l’expression de la vision de l’artiste sur son présent, elle nous permet de mieux comprendre son époque pour mieux interroger la nôtre. Ainsi, tous ceux qui militent pour réécrire les romans, remonter les films, mettre sous le tapis certaines œuvres et enfermer aux oubliettes les artistes sous prétexte de ne pas correspondre à leur idéologie du moment sont les ennemis de la culture et donc de l’émancipation du peuple par son élévation", déclama-t-il avec une intensité presque hallucinatoire.http://l-archipel-contre-attaque.over-blog.fr/2023/09/milan-kundera-est-mort-la-fin-de-la-plaisanterie-rire-en-union-so-wokiste-par-kirivendredidimanchepleurera.html
conclut-il, laissant l'audience dans un état de confusion délibérée, une paranoïa-critique ambiante qui semblait être la clé de la compréhension de cet étrange spectacle perpignanais.
Dans un voyage en absurdie Que je fais lorsque je m'ennuie J'ai imaginé sans complexe Qu'un matin, je changeais de texte Que je vivais l'étrange drame
Le "nouveau narratif" depuis le forum de Davos 2024, enseigner le théâtre par IA aux agriculteurs pour réarmer la démographie et la fertilité. L'opération s'appelle l'amour est dans pré !
"Le Forum de Davos 2024, où l'on découvre que la clé pour réarmer la démographie mondiale est enseigner le théâtre par IA aux agriculteurs. Qui aurait pensé que la solution à la baisse des naissances était cachée dans les répliques de Shakespeare et les costumes de scène plutôt que dans des politiques publiques sensées?"
[Émission de Télévision Parodique]
(Le décor est un mélange entre un salon agricole et un amphithéâtre, avec des bottes de foin et des écrans géants affichant des algorithmes complexes.)
Animateur enthousiaste: Bonsoir à tous et bienvenue à la nouvelle émission sensationnelle, directement du Forum Économique Mondial 2024 à Davos. Nous avons une proposition qui va révolutionner le monde agricole et démographique. Accrochez-vous, car voici "L'Amour est dans le Pré - Édition IA" !
(Coupe vers une scène d'agriculteurs assis avec des ordinateurs portables, tandis qu'un robot tient une pancarte "IA Théâtre pour Tous!")
Animateur: Aujourd'hui, nous allons parler de l'initiative révolutionnaire qui promet de réarmer la démographie et la fertilité avec un soupçon de théâtre. Oui, vous avez bien entendu, du théâtre pour les agriculteurs !
(Images de drones survolant des champs de maïs avec des panneaux solaires en arrière-plan)
Narrateur sarcastique: Parce que rien n'est plus inspirant pour les agriculteurs que d'apprendre les subtilités du théâtre pendant qu'ils cultivent nos récoltes et réarment la démographie mondiale.
(Images d'une IA déguisée en metteur en scène, agitant les bras et donnant des directives aux agriculteurs qui tiennent des épis de maïs comme s'ils étaient des comédiens de Broadway)
Animateur: Nous avons ici notre première participante, Julie, une agricultrice passionnée de betteraves sucrières et de tragédies shakespeariennes. Julie, comment vous sentez-vous à l'idée d'intégrer l'IA Théâtre dans votre quotidien agricole ?
Julie (avec un sourire gêné): Eh bien, c'est un peu étrange, vous savez. D'habitude, je suis plus à l'aise avec un tracteur qu'avec des répliques de Shakespeare.
(Images de l'IA déguisée en Juliette, déclarant son amour à une tomate sur scène)
Narrateur sarcastique: Mais qui aurait cru que l'avenir de la démographie mondiale repose sur les épaules des agriculteurs qui peuvent désormais déclamer des monologues tout en labourant leurs champs.
(Images d'agriculteurs pratiquant des exercices de diction avec des légumes comme partenaires d'entraînement)
Animateur: Nous avons également notre coach d'IA théâtrale, le professeur Dramatis AutoBot. Professeur, comment pensez-vous que le théâtre peut stimuler la fertilité et réarmer la démographie ?
AutoBot (avec une voix robotique exagérée): Le théâtre offre aux agriculteurs une chance unique de se connecter avec leur côté artistique, d'exprimer leurs émotions les plus profondes tout en cultivant la terre. Cela crée un environnement propice à l'amour et à la multiplication des récoltes, une véritable symbiose dramatique-agricole !
(Images d'agriculteurs en costume de théâtre, arrosant leurs champs avec des arrosoirs en forme de trophées de théâtre)
Narrateur sarcastique: Parce que rien ne crie "amour" comme un agriculteur déclamant des vers de Molière à une carotte.
Animateur: Et pour couronner le tout, nous avons appelé cette opération audacieuse "L'Amour est dans le Pré - Édition IA" !
(Images de couples d'agriculteurs se tenant la main au clair de lune, avec des drones en forme de cœurs survolant leurs têtes)
Narrateur sarcastique: Parce que quoi de plus romantique que d'apprendre le théâtre par IA au milieu d'un champ de patates ?
Animateur: Alors, préparez-vous à être époustouflés par le nouveau narratif depuis le Forum de Davos 2024, où l'amour, l'agriculture et le théâtre s'entremêlent pour réarmer la démographie mondiale. Restez avec nous pour plus de rebondissements dans "L'Amour est dans le Pré - Édition IA" !
(Coupe vers une chorégraphie excentrique où des robots-danseurs s'agitent sur une scène de ferme)
Narrateur sarcastique: Parce que si ce n'est pas du progrès, je ne sais pas ce que c'est.
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