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L'archipel Contre-Attaque

  • : L'archipel contre-attaque !
  • : Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
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26 juin 2009 5 26 /06 /juin /2009 20:05
Nicolas Caudeville - 26 juin 2009

Entre Poc i mas :
la dernière ligne courbe de la campagne.

Peu de jours nous rapprochent du deuxième tour.
C'est dernière ligne droite de l'histoire de l'invalidation à la chaussette.
Certains, comme Jean Codognès préfèrent se maintenir au risque de faire gagner le maire sorti.
Bataille autour de trois colistiers qui ne veulent pas participer à ce que qui ne semble être qu'une bataille de l'égo. Mais ce qui n'était qu'une rumeur persistante dimanche soir a éclaté sous la forme d'un reportage diffusé durant le débat du deuxième tour sur France-bleu Roussillon : une colistière de Jean-Paul Alduy, Marie-Claire Mas, a été surprise avec des bulletins Jean-Paul Alduy sous les aisselles !
L'info est reprise par la presse nationale. C'est à dire qu'après l'histoire de « la fraude à la chaussette », il y a un précédent.
Le monde, Médiapart, Rue89, France inter, France info, etc, reprennent la nouvelle.
En locale, la presse alduyste, comme La Clau et Perpignan tout va bien, s'empressent de minimiser et de reprendre le fameux
« chérie, ce n'est pas ce que tu crois ! »
Marie-claire Mas quant à elle répond que c'était « pour sa consommation personnelle (l'Alduysme est une drogue, avec laquelle et pour laquelle on se défonce) qu'elle « collectionne » depuis trente ans. Et que c'est aussi pour envoyer à ses petits enfants à Lourdes ( l'alduysme est une médaille miraculeuse) et en Australie ( l'alduysme est un boomerang...) « pour qu'ils puissent suivre la campagne » (comme si on suivait la campagne en recevant des bulletins)...
Avec ça, l'air d'un naturel de bourgeoise à une partie de campagne, du genre 22 v'la les flics, allumons la musique (petite), ayant l'air naturelle jouons à la marelle...
La morale de cette histoire : lorsque le politique montre son doigt, l'électeur sourcilleux ferait bien de regarder ce qu'il cache et où il le met !


Ceci n'est pas une fraude...
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25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 19:18
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25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 19:17
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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 17:29
Nicolas Caudeville - Mardi 23 juin 2009
Premier tour des municipales : la foire au tout à l'égo laisse l'électeur sur son quant à soi !

Le plus beau coup du diable, c'est de faire croire qu'il n'existe pas. Et c'est apparemment ce qu'il s'est passé à Perpignan, si l'on s'en tient au résultat du premier tour. Oublié dans les urnes les émeutes de 2005, les fontaines coûteuses, le granite partout qui transforme la ville en un énorme tombeau, le clientélisme, l'arrogance allant de mise avec l'incompétence, sans oublier la fraude du bureau 4, dite ««à la chaussette», déclarée «Massive par le conseil d'état».
Il aura fallu un an et deux mois, la victoire de l'équipe de futboll ovale pour que le poisson rouge électeur ait fait le tour de son bocal et soit pris d'alzheimer. 40% pas moins sur les 53% de votant veulent un cinquième mandat pour l'homme au scooter jaune. L'homme qui plus est, à droitisé, voir ultradroitisé sa liste : soutient du MPF, du cercle algérianiste, les promoteurs du décrié «mur des disparus», de la femme de l'ex leader du FN, madame de Noell-Marchesan, avec pour programme: propreté, sécurité.
Bref, les bergers allemands seront bien gardés, la ville devant se transformer en grand loft sécuritaire peuplé d'encore plus de caméras. Dans ses conditions, pas besoin du front national (et je ne dis pas cela parce que l'ami Gwendall Gauthier fait l'ombre de son maître). D'où un pathétique 9 et quelques % qui ne lui permet pas de se maintenir au second tour. Passons maintenant à l'homme qui pensait faire la surprise. Etant donnée la taille de la bête, il était quelque peu compliqué de le dissimuler dans le gâteau.
Donc, Jean Codognès et ses projets de transformer la mairie en guinguette, glisse de la berge et s'envase dans la basse. Mais ce n'est pas parce qu'on perd que l'on doit perdre tout seul: punition collective. Lorsqu'on n'a pas les capacités de réussir, il nous reste encore la capacité de nuire. C'est pour cela que non content de ne pas fusionner avec la liste de Jacqueline Amiel-Donat (qui, elle, a fait 24,8%), ou de quitter noblement la compétition, il se maintient. «Pour tenir la promesse» qu'il a fait (ce serait bien la première fois) à ses électeurs.
On dit souvent qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis... Autre argument: «En additionnant les résultats des deux listes, on ne bat pas JPA pour autant. En restant cela nous permet d'exister politiquement !».
Exister. La vérité est ailleurs. Elle se trouve peut-être lors d'un repas qui se déroula avant le premier tour, entre entre l'ex premier magistrat de la ville et celui qui se voudrait son successeur au centre droit et gouache divers, on peut le nommer «Brutus». Repas au cours duquel, on aurait promis à «Brutus» une vice-présidence de l'agglo. Peut-être aussi, aura-t-il le droit de figurer en tant que monture sur la statut équestre d'un Alduy galopant vers la victoire !
Tout le monde dans sa liste formée à l'origine pour «Battre Alduy», se souvenir de leur tracte «Alduy ça suffit», n'est pas d'accord et certains partent.
Nous voilà donc avec une triangulaire. Cela fera plaisir aux 32 loges de la ville (nul n'est pas parfait, c'est une question de degrés).
La bataille est rude pour Jacqueline Amiel-Donat : un duel droite-gauche, alourdi d'un cheval de Troie. Pour ceux qui veulent voir le régne alduesque prendre fin, on prie pour un sursaut des abstentionnistes. Sans quoi, comme il est écrit dans l'introduction de «L'insurrection qui vient» : «Sous quelque angle qu'on le prenne, le présent est sans issue. Ce n'est pas la moindre de ses vertus. A ceux qui voudraient absolument espérer, il dérobe tout appui. Ce qui prétendent détenir des solutions, sont démentis dans l'heure. C'est une chose entendue que tout ne peut aller que de mal en pis. « Le futur n'a plus d'avenir» est la sagesse d'une époque qui en est arrivée, sous ses airs d'extrême normalité, au niveau de conscience des premiers punks ».



On est des champion, voilà une idée cadeaux pour les 47% d'abstentionnistes. Et spécials greatings for Jean Codognès qui par son attitude donne les clefs de la ville à celui qu'il faisait semblant de dénoncer. Pour lui le prix de ce T.shirt sera de 30 deniers d'argent.



Détail technique et en plusieurs coloris de ce qui attend les Perpignanais...
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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 18:00
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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 17:57
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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 17:54
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19 juin 2009 5 19 /06 /juin /2009 20:25
Nicolas Caudeville - Vendredi 19 juin 2009
Débat France-Bleu Roussillon en direct du Bar chez Gilles place Cassanyes : les candidats à la municipale s'invite chez le populo !

Riche idée de la part de la station radio que de s'inviter pour le grand débat du premier tour au quartier St Jacques, à la place Cassanyes (député à la constituante) et dans le plus vieux bar de Perpignan, « Chez Gilles ». Dans une campagne atone, où un Jean-Paul Alduy et son équipe font « comme si de rien » (voir l'affaire Halimi, où l'ex adjoint à la culture, se permet de convoquer les cadres à la culture municipaux, ainsi que les associations théâtreuse, faisant valoir son ancien titre non valable, vue l'invalidation pour leur dire que la politique culturelle de l'ancien maire, « c'est bon comme les quenelles petit Jean, c'est bon: mangez-en. Sans compter que leurs adversaires eux, font des méchouis d'enfants »), façon je danse « le mia »: « Pas de pacotille, chemise ouverte, chaine en or qui brille ! ». Il faut dire qu'un récent sondage IFOP, effectuer sur 620 personnes (en vérité, 350 personnes, les autres n'ayant pas voulu répondre) d'une population de plus 40000 votants, le donne à 36% (soit 1% de plus par rapport au premier sondage), sans compter le sondage du deuxième tour, qui le donne gagnant dans la plupart des configurations (Dans la mesure où Jean Codognès pour se distinguer, juge plus opportun de taper sur Jacqueline Amiel-Donat que sur le maire sorti, rajoutant au passage avec un air bravache de gamin impertinent qui joue à l'adulte : « qu'il n'est pas question de fusionner au second tour avec des corrompus ». On suppose qu'il fait référence à l'équipe portant dossard chaussette. Bref, lui aussi fait son hommage à Boris Vian : j'suis snob !
Donc JPA, l'homme du peuple parmi le peuple circule sur son scooter jaune, auquel il aimerait bien qu'on se rallie: oui, oui. (La vérité, c'est que lui et son équipe circule dans des 4x4 noirs BMW) Et se rend en un lieu qu'il ne fréquente pas souvent (il préfère la place de la république, plus chic et moins rebelle) la place Cassanyes. Sur place, dans le bar, on a installer des calicots au couleur de France Bleu. Gérard Marty le rédact chef, ainsi que Guillaume Clavaud, ainsi que de nombreux journalistes, les autres candidats sont déjà en position. Tout le matériel technique est monté. Dehors et aux abords, les partisans des uns et des autres se massent. Les caméras tournent, les flashs crépitent (et oui, c'est la radio !). On est à l'antenne. Les candidats exposent les thèmes de leur programme. Jean Codognès, toujours en gamin facétieux dit : «on vit et on meurt à St Jacques: je pense au jeune Bey Béchir...» Rivière fait référence à la politique de « l'ancien maire » pour mettre en valeur la sienne. JPA continue dans le « j'ai tout bien fait, si vous comprenez pas, c'est que z'étes zidiots, et arrêtez de m'attaquer, z'étes méchant avec moa. J'ai encore le droit de finir mes phrases » (une phrase qui dure depuis plus de quinze ans). Cufy veut mettre le peuple au conseil municipal, Ramon Faura parle de l'âme du quartier. Jacqueline Amiel-Donat veut mettre la fac de droit place du Puig. Derrière le bon peuple discute, tend l'oreille, boit des bières, maugrée. Il fait chaud. Des fois, on s'accuse. JPA "j'ai appris le catalan, ce qui n'est pas le cas de Jacqueline Amiel-Donat" (je crois qu'il a trouvé la faille. Et encore lorsqu'il apprendra que celle-ci ne sait pas préparer la panse de brebis farcie) Cufy: "ne me coupez pas monsieur Alduy !" Alors que celui-ci empoignait le micro. Gérard Marty n'a pas fini de rendre l'antenne qu'Alduy est déjà parti. Les autres candidats vont voir leur partisans qui les applaudissent. Gérard Marty décompresse un demi et une cigarette à la main. Il a réussi à gérer le cirque finalement. Débat beaucoup plus vivant que celui de France 3 Montpellier, qui n'a pas permis à Ramon Faura et Michael Cufy d'y participer, leur reléguant quelques minutes le lendemain... Avec ce débat c'est la campagne qui débute enfin...à 3 jours du premier tour: c'est un peu court.



Non ce n'est pas JPA qui dit "et là, l'ours lui dit, toi t'es pas venu que pour la chasse !"qui fait rire JAD: il parle de son bilan
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18 juin 2009 4 18 /06 /juin /2009 06:51
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18 juin 2009 4 18 /06 /juin /2009 06:51
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