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L'archipel Contre-Attaque

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31 mai 2015 7 31 /05 /mai /2015 19:24
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30 mai 2015 6 30 /05 /mai /2015 09:44
Vidéo de la conférence:Pieds - noirs, guerre d'Algérie : quand l'amnésie devient un argument militant?! par éric Savarése

Jeudi dernier au centre d'art "à cent mètres du cendre du monde" Eric Savarése professeur des universités en science politique à donné sa conférence :"Pieds - noirs, guerre d'Algérie : quand l'amnésie devient un argument militant?!"

La vidéo

Vidéo de la conférence:Pieds - noirs, guerre d'Algérie : quand l'amnésie devient un argument militant?! par éric Savarése
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29 mai 2015 5 29 /05 /mai /2015 10:11
Aujourd'hui à 18h  à la librairie Torcatis:" regard croisé Beziers-Perpignan / 10 ans après les émeutes
Aujourd'hui à 18h à la librairie Torcatis:" regard croisé Beziers-Perpignan / 10 ans après les émeutes

On y est, cela fait dix qu'il y a eu des émeutes ethniques à Perpignan. Un mois après, le village Potemkine qu'organisait Jean-Paul Alduy appelé "printemps de la fraternité".Alors qu'il se rêvait ministre de la ville.

Pourquoi, on en était arrivé là? Peut être parce qu'on avait pas su tenir compte de ce que nous disait Alain Tarrius dans son livre "Fin de siècle incertaine à Perpignan: Drogues, pauvreté, communautés d'étrangers, jeunes sans emplois, et renouveau des civilités dans une ville moyenne française 1999"

Tout y était décrit:"Trois recherches, menées de Perpignan à Barcelone par le sociologue Alain Tarrius : La crise de la communauté Gitane catalane à partir des commerces et usages de l'héroïne, et les perspectives de résolution que suggèrent les " femmes en noir "; le développement des initiatives des Maghrébins dans les économies souterraines transfrontalières et la renaissance de l'espace public de la ville à partir des comportements collectifs des jeunes laissés pour compte du développement."

Mais le maire de l'époque Jean-Paul Alduy a préféré faire comme-ci il n'y avait pas de problème à Perpignan: la méthode Coué! Mais le réveil a été lourd

(voir ici http://immersive.sh/lindep/32rHknK7d)

Dix ans après, tout peut recommencer, il suffit d'un bon alignement de planètes,d'une étincelle. Contrairement à ce que disent les habitants de St Jacques face à la caméra de France 3, tout n'est pas rentré dans l'ordre et gitans (qui après les émeutes avaient bien été heureux de recevoir Jean-Marie Lepen) et maghrébins se détestent cordialement. Pour ceux là, l'illégitime dans le quartier,l'étranger, c'est l'autre!

Si depuis tout ce temps, on brandit le "vivre ensemble", c'est qu'entre "l'individualisme" et le "communautarisme" , on vit cote à cote, mais que reste-t-il qui fait sens commun?

Alors quid de l'artificialité de la fête des voisin?

Voir aussi:

Vendredi:Béziers – Perpignan (les 10 ans des émeutes) : le jumelage le temps d’un soir! par Sébastien Navarro

http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/2015/05/vendredi-beziers-perpignan-les-10-ans-des-emeutes-le-jumelage-le-temps-d-un-soir-par-sebastien-navarro.html

Perpignan: le 29 mai prochain, on fêtera les 10 ans des émeutes! interview Sébastien Navarro par Nicolas Caudeville

http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/2015/05/perpignan-le-29-mai-prochain-on-fetera-les-10-ans-des-emeutes-interview-sebastien-navarro-par-nicolas-caudeville.html

Perpignan/Quartier St Jacques:Jean-Hubert Serré "On laisse mourrir les gitans à petit feu par l'électoralisme" interview par Nicolas Caudeville

http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/2014/11/perpignan-quartier-st-jacques-jean-hubert-serre-on-laisse-mourrir-les-gitans-a-petit-feu-par-l-electoralisme-interview-par-nicolas-c

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28 mai 2015 4 28 /05 /mai /2015 12:42
Le travail des enfants et pas les enfants au travail!
Le travail des enfants et pas les enfants au travail!

Les ateliers enfants de la HEART de Perpignan ont été l'un des moments forts de la pédagogie de l'école d'art. Les Ninesadrome et Mobil'môme représentaient l'engagement des enseignants et des étudiants pour la transmission de l'art et de la culture à destination des nouvelles générations. Pour des raisons économiques, qui masquent toujours des choix politiques, ces expériences pédagogiques novatrices (validées, encouragées et citées en exemple par le Ministère de la culture) ont du être abandonnées. Plusieurs milliers d'enfants des écoles de Perpignan ont pu en profiter. La fin d'une telle aventure préfigurait la décision actuelle de liquider la HEART.

Voir aussi:

Perpignan:7 éme jour d'occupation de l'école des beaux-arts,toujours pas de repos! par Nicolas Caudeville

http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/2015/05/perpignan-7-eme-jour-d-occupation-de-l-ecole-des-beaux-arts-toujours-pas-de-repos-par-nicolas-caudeville.html

Perpignan/Beaux arts: une autre idée de l'occupation (les soutiens citoyens affluent et s'organisent!)! interview Isabelle Ernest par Nicolas Caudeville

http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/2015/05/perpignan-beaux-arts-une-autre-idee-de-l-occupation-les-soutiens-citoyens-affluent-et-s-organisent-interview-isabelle-ernest-par-nic

Perpignan/école des beaux arts:Libres enfants de la HEART par Andreïna Mastio
Perpignan/école des beaux arts:Libres enfants de la HEART par Andreïna Mastio Perpignan/école des beaux arts:Libres enfants de la HEART par Andreïna Mastio
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28 mai 2015 4 28 /05 /mai /2015 12:22
 SILENCE par l'écrivain Henri Lhéritier

Depuis que j’écris, je me heurte à cette difficulté qui n’est pas tant l’art de trouver le mot adéquat, celui qui coule de source, n’a nul besoin d’adjectif et qu’aucun autre mot ne peut remplacer, j’y réussis parfois, ce n’est pas non plus l’emploi d’un verbe dont la précision rend l’adverbe inutile, pas plus que l’invention d’un rythme ou d’une couleur, mélancolie ou allégresse, qui sont le plus souvent du domaine du fortuit, non, ma grande interrogation est : comment dire le silence dans le champ de la littérature ?
Il existe la virgule, elle marque une pause, le point virgule qui force la durée de cette pause, le point, silence temporaire plus impérieux ou encore les points de suspension, hésitation ou doute. Ces symboles, les uns comme les autres, ne qualifient pas le silence et ne précisent en rien sa durée, ils sont seulement des arrêts, extérieurs à la littérature, ils n’ont pas plus de sens qu’une consonne isolée au milieu d’une page. Quelle est la force d’invention d’un point ou d’une virgule, vers quel imaginaire envoient-ils ?
Cesser d’écrire serait une solution. Surtout pour un type comme toi, ricane un ami, lorsque j’évoque ce problème. Je sais ce qu’est le silence, j’exerce régulièrement cette non activité, lui réponds-je, et si les moments de vide me sont difficiles à supporter, ma vie est plus souvent silence que mots, mais ce que je veux trouver, à l’intérieur même de la littérature, c’est justement un moyen d’exprimer ce silence auquel les musiciens savent donner une durée, les sculpteurs une forme, les peintres des couleurs, alors qu’aucun écrivain, à ma connaissance, n’a été capable lui inventer une existence littéraire.
C’est une tâche bien vaniteuse de m’en préoccuper. Qui suis-je pour imaginer que je pourrais un jour trouver une réponse à cette question ?
Un matin, cependant… Un artiste n’est rien s’il ne rencontre pas un consommateur de son art qui réinvente sa création.
C’est plus sensible encore dans la littérature qui n’est ni images, ni sons, et qui laisse au lecteur la liberté de les produire, celui-ci devient co-auteur. Si les mots ne sont pas de lui, la représentation sonore et imagée qui se forme dans son esprit est sa propre création, et le silence aussi lui appartient.
Au fond le silence, en littérature, n’est pas l’affaire de l’auteur, c’est celle du lecteur.
C’est une idée qu’il me faut creuser, ou alors me taire à jamais.

Le tout meilleur d'Henri Lhéritier ici:

http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/tag/henri%20lheritier/

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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 16:22
Y a-t-il des troupes russes qui occupent l'école?
Y a-t-il des troupes russes qui occupent l'école?

La vie continue et s'organise à l'école d'art. Les commerçants du centre ville affichent dans leurs vitrines le manifeste de l'école occupée par ses étudiants. Certains viennent de loin Chine ou Russie. Comme Dasha de Moscou, où elle avait déjà obtenu son diplôme d'art (niveau bac plus 6) d'un enseignement très classique. Ce qu'elle aime à l'école d'art à Perpignan: c'est la liberté (Ce que déteste la mairie de Perpignan à l'école c'est la même chose) dans le travail, même si il n'y a pas beaucoup de moyen (Ce qui est reproché dans le rapport de l'ARS, mais dont la faute provient de la mairie de Perpignan, qui ne donne pas les moyens à l'école de faire correctement son travail: ce sont ceux qui nous crèvent les yeux, qui nous accusent d'être aveugle!) C'est pourquoi, elle se bat contre la fermeture de l'école (on pourra dire qu'il y avait des troupes russes à l'école)

Aprés le soutien de l'Andéa association des écoles d'art de France

Perpignan:7 éme jour d'occupation de l'école des beaux-arts,toujours pas de repos! par Nicolas Caudeville
Perpignan:7 éme jour d'occupation de l'école des beaux-arts,toujours pas de repos! par Nicolas Caudeville

Des vidéos de soutien commence à apparaître, comme celle du président de slow food Jean-Lhéritier pour qui "c'est humiliant de devoir dire pourquoi il en faut une (école d'art), la moindre ville qui a des prétentions humanistes et culturelles a une école des beaux arts " . Les jeunes socialistes aussi (mais rien du conseil départemental) , une délégation communiste (avec l'organisation par la mairie d'Alénya d'une rifle de soutien), de la nourriture pas les commerçants et les habitants: bref, Jean-Marc Pujol, finira par comprendre à quel point, il s'est mis dans un bourbier pour des raisons idéologiques!

" Et si nous avons perdu cette force
Qui autrefois remuait ciel et terre,
Ce que nous sommes, nous le sommes :
Des cœurs héroïques et d'une même trempe,
Affaiblis par le temps et le destin,
Mais forts par la volonté
De chercher, lutter, trouver et ne rien céder." Alfted Tennyson in Ulysse

 

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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 15:06
Avoir un bon copain!
Avoir un bon copain!

Vendredi 29 mai (jour anniversaire des émeutes de Perpignan) à 18 heure à la librairie Torcatis à Perpignan conférence débat:"Béziers – Perpignan : le jumelage le temps d’un soir"

Dans son édition du 3ème trimestre 2014, la revue de géographie et de géopolitique Hérodote revient sur les élections municipales de Béziers et Perpignan de 2014. Dans un article intitulé « Les nouveaux maîtres du Sud », les géographes David Giband et Marie-Anne Lefèvre dressent une cartographie comparative de ces deux villes du sud où l’extrême-droite métastase à la faveur d’une misère sociale grandissante et d’une clique politicienne obnubilée par sa reproduction clanique. « Béziers et Perpignan figurent parmi les villes les plus pauvres de France et se caractérisent par l’ "ultrapaupérisation" des quartiers centraux et par une fragmentation socioéthnique de l’espace urbain. (…) La "souffrance du centre-ville", argument des discours de Ménard et d’Aliot, sert à dénoncer l’inefficacité des équipes municipales en place. Aliot dénonce "les politiques clientélistes éhontées, la situation désastreuse de certains quartiers. On achète la paix sociale". Pendant que Ménard se veut le porte-parole d’un "ras-le-bol généralisé après dix-ans de gestion UMP". Elle alimente une rhétorique antisystème amalgamant insécurité, crise du centre, paupérisation, immigration, pauvreté, clientélisme et communautarisme. » Dans cette configuration de cloaque, les communautés (gitanes, arabes, pied-noires, etc.) sont soit courtisées en tant que réservoir de votes soit stigmatisées et promises au karcher d’une République qui ne s’est jamais remise de l’effondrement de son ancien empire colonial.

Après avoir garni les panneaux publicitaires de Béziers de flingues, « nouveaux amis » de la police municipale, Ménard créé à nouveau le buzz avec ses statistiques ethniques visant à ficher les enfants scolarisés. Jouant la même partition que Le Pen avec son « détail de l’histoire », le communicant Ménard a bien compris qu’une politique dans l’air du temps se construit avant tout sur un savant mélange de faux dérapages et d’habiles provocations. Les périodes de crise ont toujours été propices aux crispations xénophobes. Jouant avec le sifflet d’une cocotte-minute prête à imploser, Ménard enchaîne ses numéros de triste clown et pleurniche son paradis perdu : cette terre d’Algérie où les Français firent tant de merveilles durant plus d’un siècle. « Coloniser c’est mettre en valeur » nous rappelle, à Perpignan, le Centre national de documentation des Français d’Algérie.

Il y a dix ans éclataient les « émeutes gitano-arabes » de Perpignan. Le 29 mai 2005, Driss Ghaib était assassiné devant chez lui, une semaine après le meurtre de Mohamed Bey Bachir, et la ville s’embrasait. Résumée dans les colonnes du Figaro du 31 mai 2005, la première nuit d’émeute prend des airs de western catalan : « Ils [les Maghrébins] sont très vite des centaines dans la rue. Ils portent des barres de fer, des battes de base-ball, des cocktails Molotov. On verra même des sabres. Et ils déferlent en direction du quartier gitan, saccageant au passage vitrines et abribus, retournant sans distinction voitures et poubelles avant d'embraser le tout. La rue Foch n'est plus qu'un champ de bataille. Place Cassanyes, au pied du quartier gitan assiégé, des coups de feu partent des balcons. Plus de quatre cents policiers et gendarmes sont là pour s'interposer, mais la foule est définitivement incontrôlable. Aux deux compagnies de CRS déjà mobilisées, viendront s'ajouter des renforts venus de tout le Sud. » Pendant une semaine, Perpignan, l’archipel des ghettos, sera quadrillée par un millier de flics. Depuis, on nous l’assure, le calme est revenu. Le 29 mai 2015, nous recevrons une poignée de biterrois animateurs du journal numérique En vie à Béziers qui lutte pied à pied, avec un humour corrosif, contre le verbe « nauséabond » de Ménard. Sous l’égide du site l’Archipel contre-attaque, autre poil à gratter au sein de la presse catalane, on vous propose une petite causerie au sein de la digne librairie Torcatis, à 18h00. La rencontre se veut

avant tout échange : parce que ces villes, nos villes, avant d’être des professions de foi sur papier glacé pour politiciens battant la campagne, naissent dans la bouche des peuples qui les habitent. Parce que mettre des mots sur ce que nous vivons est déjà le début d’une certaine reprise en main.

Voir aussi:

Perpignan: le 29 mai prochain, on fêtera les 10 ans des émeutes! interview Sébastien Navarro par Nicolas Caudeville

http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/2015/05/perpignan-le-29-mai-prochain-on-fetera-les-10-ans-des-emeutes-interview-sebastien-navarro-par-nicolas-caudeville.html

Des images:de la grande manif après la mort de Bay Béchir, les échauffourées de la place Cassanyes, les incendies de la rue Foch

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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 10:00
Perpignan/ demain conférence:" Pieds - noirs, guerre d'Algérie : quand l'amnésie devient un argument militant?!" par Eric Savarése

Jeudi 28 mai (donc ce jeudi) à 19 heure, au centre d'art à cent mètres du centre du monde 3 avenue de Grande Bretagne à Perpignan, L'archipel contre attaque propose une conférence d'Eric Savarése :"Pieds - noirs, guerre d'Algérie : quand l'amnésie devient un argument militant?!"

Longtemps la France a été présentée comme le pays des amnésiques de la guerre d'Algérie et des populations issues de l'indépendance (pieds - noirs, harkis, anciens combattants), et les raisons ne manquaient pas de réfléchir aux oublis collectifs de l'histoire coloniale. Pourtant, l'entrée de ces questions sur les scènes médiatiques et politiques signalent, parmi d'autres éléments, que le temps de l'amnésie est révolu, même si l'argument continue à être martelé, notamment dans certains espaces militants.

Eric Savarese est professeur de science politique à l'Université de Montpellier, spécialistes des questions coloniales et postcoloniales. Il a notamment publié L'ordre colonial et sa légitimation en France métropolitaine. Oublier l'Autre (L'Harmattan, 1998), L'invention des pieds - noirs (Séguier, 2002), Algérie, la guerre des mémoires (Non - Lieu, 2007), L'Algérie dépassionnée (Syllepses, 2008), et tout récemment La rencontre postcoloniale (Croquant, 2014).

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25 mai 2015 1 25 /05 /mai /2015 11:20
La communauté en ligne https://www.facebook.com/TheSweetPetticoat
La communauté en ligne https://www.facebook.com/TheSweetPetticoat

Jijiet Pédro est un couple qui trouvent que les styles des années 20 au années 60 sont plus élégants. Qu'ils véhiculent une sorte de courtoisie, un art de vivre disparu. Comme si le XXIéme siècle s'était la barbarie plus le wifi (en effet, on y perd son latin) Ils vivent leur passion tous les jours en habits d'époque: entretien

Voir aussi:

https://www.facebook.com/pages/Cartoons-Caf%C3%A9/181586625275336

 Fan des sixties et plus si affinités! Interview de Pédro, Jiji  par Nicolas Caudeville
 Fan des sixties et plus si affinités! Interview de Pédro, Jiji  par Nicolas Caudeville
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 Fan des sixties et plus si affinités! Interview de Pédro, Jiji  par Nicolas Caudeville
 Fan des sixties et plus si affinités! Interview de Pédro, Jiji  par Nicolas Caudeville
 Fan des sixties et plus si affinités! Interview de Pédro, Jiji  par Nicolas Caudeville
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 Fan des sixties et plus si affinités! Interview de Pédro, Jiji  par Nicolas Caudeville
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24 mai 2015 7 24 /05 /mai /2015 20:09
école des beaux-arts en lutte, une étudiante de 3éme année Isabelle Ernest — avec Isabelle Ernest.
école des beaux-arts en lutte, une étudiante de 3éme année Isabelle Ernest — avec Isabelle Ernest.

Quatrième jour d'occupation pour les étudiants des beaux-arts de Perpignan, en lutte contre la fermeture de l'école par le maire Jean-Marc Pujol.. Les soutiens des perpignanais commencent à affluer, nourriture par les maraîchers et les commerçants du centre ville, des signatures des citoyens. Isabelle Ernest étudiante de troisième année raconte.Pour les soutenir financièrement https://www.leetchi.com/c/projet-du-comite-doccupation-de-la-heart

Voir aussi:

Perpignan: les beaux arts contre attaque/un manifeste et un blog! par Nicolas Caudeville

http://l.archipel.contre-attaque.over-blog.fr/2015/05/perpignan-les-beaux-arts-contre-attaque-un-manifeste-et-un-blog-par-nicolas-caudeville.html

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