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L'archipel Contre-Attaque

  • : L'archipel contre-attaque !
  • : Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
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15 avril 2018 7 15 /04 /avril /2018 22:19

Dans une Gérone, qui crie à chaque coin de rue au retour des exilés et des prisonniers politiques à grand coup de panneaux, de rubans jaunes, et de drapeaux catalans portant l'étoile, nous avons rencontré un couple d'artistes un poète et une sculpteure.

Josep Parrés Poète, Pia Croiset sculpteur,à Gérone à la rencontre d'un couple d'artistes qui ont remis à jour le quartier juif et ses cabalistes, comme le rabbin Isaac l'aveugle http://next.liberation.fr/culture/2001/11/30/la-bonne-etoile-de-gerone_385744. Gérone: la capitale de la cabale.http://www.girona.cat/turisme/fra/monuments_call.php

a Girona conèixer a un parell d'artistes que han actualitzat el barri jueu i els seus cabalistes com el rabí Isaac el Cec. Girona: la capital de la càbala.Interview en français et Catalan

https://jguideeurope.org/fr/region/espagne/catalogne/gerone/

à écouter juste en dessous et voir dans le journal l'Indépendant du prochain 13 mai, l'article de Thierry Grillet

Gérone: la ville de la Cabale sur les traces d'Isaac l'aveugle rabbin et cabaliste! interview de Josep Tarrés et Pia Crozet par Nicolas Caudeville
Gérone: la ville de la Cabale sur les traces d'Isaac l'aveugle rabbin et cabaliste! interview de Josep Tarrés et Pia Crozet par Nicolas Caudeville
Gérone: la ville de la Cabale sur les traces d'Isaac l'aveugle rabbin et cabaliste! interview de Josep Tarrés et Pia Crozet par Nicolas Caudeville
Gérone: la ville de la Cabale sur les traces d'Isaac l'aveugle rabbin et cabaliste! interview de Josep Tarrés et Pia Crozet par Nicolas Caudeville
Gérone: la ville de la Cabale sur les traces d'Isaac l'aveugle rabbin et cabaliste! interview de Josep Tarrés et Pia Crozet par Nicolas Caudeville
Gérone: la ville de la Cabale sur les traces d'Isaac l'aveugle rabbin et cabaliste! interview de Josep Tarrés et Pia Crozet par Nicolas Caudeville
Gérone: la ville de la Cabale sur les traces d'Isaac l'aveugle rabbin et cabaliste! interview de Josep Tarrés et Pia Crozet par Nicolas Caudeville
Dans l'Espagne du XIVe siècle, Gérone accueille la deuxième plus importante communauté juive de toute la Catalogne. Le médecin juif Isaac y officie malgré un sérieux handicap il est aveugle. Respecté et reconnu, ce ne sont pourtant pas seulement ses talents de guérisseur qui font sa réputation. Observateur subtil de la nature humaine, assisté de sa femme Judith, de son jeune apprenti Yusuf et de sa charmante fille Raquel, il répond immanquablement présent lorsqu'il s'agit d'enquêter sur les crimes les plus épineux.
Dans l'Espagne du XIVe siècle, Gérone accueille la deuxième plus importante communauté juive de toute la Catalogne. Le médecin juif Isaac y officie malgré un sérieux handicap il est aveugle. Respecté et reconnu, ce ne sont pourtant pas seulement ses talents de guérisseur qui font sa réputation. Observateur subtil de la nature humaine, assisté de sa femme Judith, de son jeune apprenti Yusuf et de sa charmante fille Raquel, il répond immanquablement présent lorsqu'il s'agit d'enquêter sur les crimes les plus épineux.
Dans l'Espagne du XIVe siècle, Gérone accueille la deuxième plus importante communauté juive de toute la Catalogne. Le médecin juif Isaac y officie malgré un sérieux handicap il est aveugle. Respecté et reconnu, ce ne sont pourtant pas seulement ses talents de guérisseur qui font sa réputation. Observateur subtil de la nature humaine, assisté de sa femme Judith, de son jeune apprenti Yusuf et de sa charmante fille Raquel, il répond immanquablement présent lorsqu'il s'agit d'enquêter sur les crimes les plus épineux.
Dans l'Espagne du XIVe siècle, Gérone accueille la deuxième plus importante communauté juive de toute la Catalogne. Le médecin juif Isaac y officie malgré un sérieux handicap il est aveugle. Respecté et reconnu, ce ne sont pourtant pas seulement ses talents de guérisseur qui font sa réputation. Observateur subtil de la nature humaine, assisté de sa femme Judith, de son jeune apprenti Yusuf et de sa charmante fille Raquel, il répond immanquablement présent lorsqu'il s'agit d'enquêter sur les crimes les plus épineux.

Dans l'Espagne du XIVe siècle, Gérone accueille la deuxième plus importante communauté juive de toute la Catalogne. Le médecin juif Isaac y officie malgré un sérieux handicap il est aveugle. Respecté et reconnu, ce ne sont pourtant pas seulement ses talents de guérisseur qui font sa réputation. Observateur subtil de la nature humaine, assisté de sa femme Judith, de son jeune apprenti Yusuf et de sa charmante fille Raquel, il répond immanquablement présent lorsqu'il s'agit d'enquêter sur les crimes les plus épineux.

https://les-archives-du-savoir-perdu.webnode.fr/news/de-l-enigme-de-gerone-aux-veilleurs-ultra-humains/

https://les-archives-du-savoir-perdu.webnode.fr/news/de-l-enigme-de-gerone-aux-veilleurs-ultra-humains/

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13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 16:15

Le Collège démissionnaire de l’association « Les Riverains de la place Cassanyes » communique :

 

« Créée en 2012 et réunissant jusqu’à 120 adhérents, l’association a tenté d’œuvrer pour améliorer la vie du quartier aux abords de la place Cassanyes, lieu central du centre historique de la Ville de Perpignan.

Nous avons rassemblé les riverains ainsi que les personnes fréquentant et aimant ce quartier, nous avons tenté de les informer des projets qui pouvaient émerger (et surtout ceux qui finalement n’allaient pas se faire).

Nous avons organisé à plusieurs reprises et non sans mal plusieurs animations sur la place Cassanyes qui sont devenues annuelles (Sant Jordi, cafés-citoyens, la Fabrique de Noël etc.).

Nous avons contribué à convaincre de ne pas réaliser la construction un bloc blanc de 80 logements sur le site de l’ancienne école de Jeanne Hachette (attenant à la Casa Musicale…);

En tant qu’association, nous nous sommes investis dans le Conseil Citoyen et plus particulièrement concernant le NPNRU, mais bien souvent nous n’avons pas été écoutés.

Aujourd’hui nous faisons le constat que ce travail bénévole a atteint ses limites.

Nous avons le sentiment de ne pas être entendus par les pouvoirs publics, que ce soit sur les questions de santé, de propreté, de sécurité et d’ordre public, et surtout sur l’aménagement de notre territoire.

Informer ce n’est pas co-construire. Nous n’avons jamais été associés en amont aux projets qui pourraient se faire concernant le renouvellement urbain. Pis, nous avons eu le sentiment d’être instrumentalisés pour légitimer des décisions unilatérales de la part de la municipalité. Nous ne cautionnons pas ces méthodes et ce dialogue de sourds. Dans ces conditions, l’Assemblée générale des RPC a décidé à l’unanimité de dissoudre l’association.

Les habitants encore investis dans leur quartier formeront un collectif qui se voudra réactif lorsque les destructions commenceront et qu’une mobilisation citoyenne nous semblera utile et nécessaire à la défense des habitants et du patrimoine du quartier. Nous tenions enfin à remercier toutes les personnes et les institutions qui ont pu nous aider et nous accompagner dans cette aventure qui aura eu au moins comme mérite de faire se connaître et de rassembler des femmes et des hommes aimant passionnément ce quartier et ayant le désir de participer à son évolution sans pour autant le dénaturer. Le Collège démissionnaire, le 3 avril 2018. »

Le Collège Démissionnaire."

Fabien Candoré explique comment ne se sentant plus utile comme association , il mutatis mutandis se transforme en site internet d'info et pensée sur le centre ville et son "faire société" entretien

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11 avril 2018 3 11 /04 /avril /2018 14:54

Sur la terrasse du musée de l'instrument de musique de céret avec son directeur Paul Macé en attendant les instruments azéris et les journées Déodat de Séverac ...interview

■ ■ 14 avril 2018 – MúSIC Musée des instruments Céret

Conférences et concerts sur le thème de l’univers féminin de Déodat avant et pendant sa vie à Céret, ce nouvel opus des « Journées Déodat de Séverac » ambitionne de mettre en lumière les femmes qui entourèrent et inspirèrent le musicien compositeur.
En évoquant sa proche famille, Henriette sa femme, Magali sa « petite fille chérie », mais aussi les célébrités que le musicien côtoya, citons Laura Albéniz, Colette et bien sûr Yvette Guilbert, la célèbre chanteuse immortalisée par Lautrec, les conférenciers, interprètes et musiciens proposent un nouvel éclairage sur l’homme Déodat et sur son oeuvre.


Téléchargez le programme
■ ■  PROGRAMME

CONFÉRENCES

L’UNIVERS FÉMININ DE DÉODAT À CÉRET
Henriette, Magali et les autres…
par Yves Duchâteau
Médiathèque, 10h30

L’UNIVERS FÉMININ DE DÉODAT AVANT CÉRET
Sa mère, ses soeurs, ses amies parisiennes
par Jean-Bernard Cahours d’Aspry
Mas de Nogarède, 15h


CONCERT
MOTETS ET CANTIQUES DE DÉODAT DE SÉVERAC
Françoise Masset (mezzo-soprano) et Vincent Berthier de Lioncourt (orgue)
Église Saint-Pierre, 11h45

CONCERT RÉCITAL
YVETTE GUILBERT CHANTE DÉODAT DE SÉVERAC
harmonisées par Déodat de Séverac pour Yvette Guilbert
Françoise Masset (mezzo-soprano), Françoise Tillard (piano)
Mas de Nogarède, 16h30

RÉCEPTION – DONATION INSTRUMENTS – avec le soutien de l’AMBASSADE DE L’AZERBAÏDJAN À PARIS Vous êtes invités à l’arrivée au musée de trois instruments : un balaban, un gosha-nagara et un kamantcha – vendredi 20 avril, 18h. (Programme en cours d’élaboration)

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11 avril 2018 3 11 /04 /avril /2018 10:51

"
L'Hermione vous accueille à son bord au Port de Commerce de Port Vendres du 20 au 22 avril 2018, quai de la douane république.
Le 20 avril, la frégate sera visitable de 14h à 17h30 et le 21 avril de 10h à 17h30 et le 22 avril de 10h à 16h.
Montez à bord de la fameuse réplique de la frégate du XVIIIe, accédez au pont supérieur, et découvrez le lieu de travail des matelots et le gréement, l'impressionnant système nerveux du navire.
Des matelots volontaires seront présents à bord pour répondre à vos questions, partager leurs expériences de navigation et de vie à bord, vous présenter le fonctionnement de la barre à roue, du petit cabestan, des canons, etc ..."

Jean Plouzenec président des "toques blanches" est pour la CCI et la mairie de Port-Vendres le grand ordonnateur des festivités: interview

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10 avril 2018 2 10 /04 /avril /2018 21:48


Festival de cinéma « Confrontation » 2018
À Perpignan

Du 10 au 15 avril 2018


Confrontation est un festival de Cinéma et Histoire qui permet de confronter différents regards cinématographiques autour d'un thème renouvelé chaque année (Les arts à l'écran, Cinéma des Indes, La Ville au cinéma...).

Installé en cœur de ville au Cinéma Castillet, Confrontation présente une soixantaine de films - de la période du muet aux productions actuelles - suivis de rencontres et débats avec des historiens, des réalisateurs et professionnels du cinéma. Des expositions et des "Rencontres Ciné-Jeunes" complètent la programmation du festival.

Cette année, la 54e édition aura pour thème "Les hommes de l'ombre, conseillers et espions".
 
Renseignements:
Institut Jean Vigo
Tél. +33 (0)4 68 34 09 39
Le programme ici http://www.inst-jeanvigo.eu/actualites/le-programme-complet

La bande annonce par le président de l'institut Jean-Vigo Michel Cadé

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10 avril 2018 2 10 /04 /avril /2018 19:47

Lucky strikes again

La dernière fois que j’avais vu le diable, c’était il y a vingt piges au Rockstore montpelliérain. Le bluesman jouait au dandy au milieu d’un public chauffé à blanc en faisant des trucs terribles avec sa Gibson. Comme dans tout show de démesure amerlocke, on frôlait parfois le trop-plein, l’acouphène par overdose.

Hier soir au Mediator, la partoche était toute autre. La stupeur d’abord. A 53 balais, Lucky Peterson affiche un physique précocement usé : visage creusé, obésité ventrale qui limite ses déplacements. N’empêche. Que le newyorkais pose son cul derrière son orgue Hammond B3 et les craintes se dissipent. L’orgue fut le premier hochet de bébé Lucky. A tel point qu’on se demande si une étrange fusion ne s’est pas opérée entre le musicien et son instrument. Le son enfle en nappes frémissantes avant de virer geyser fulgurant. Ça hurle, ça échote, ça swingue, ça riffe, ça gospelle. C’est pas des doigts qui courent sur le clavier mais une tripotée d’araignées. Le thème de la soirée était un hommage à l’organiste Jimmy Smith. Pour le coup, Lucky l’a joué fine en s’entourant d’une baronnie d’exception. A la batterie, Ahmad Compaoré capable de défourailler à la mitrailleuse – fuckin’ god, cette giclée survoltée de Papa was a rollin’ stone des Temptations ! - ou de caresses langoureuses avec ses balais pour un swing old school. A la trompette, on avait là un Frenchy de savoyard : Nicolas Folmer. Charmeur impassible qui désaxe un poil son embouchure sur le côté de la bouche, va chercher les aigus à la truelle dans les bronchioles de ses poumons quand il ne câble pas son cuivre sur une pédale wah-wah. Propre et classe. Le quatrième larron du combo, lui, c’est l’énigme. Kelyn Crapp : un métis au physique de statue grecque. Jeune guitariste – Lucky le surnomme « the baby » – à 10 000 lieues des gratteux sous speed qui confondent manche à guitare et joystick en mode Call of duty. Un jeu dépouillé, mister Crapp, sobre et sans effet, exécuté par un musicien étonnamment mâture qui préfère l’inspiration à la démonstration. Avec un truc de plus en plus rare dans la musique actuelle : des silences entre les motifs mélodiques.

Et puis il y a eu Tamara. The special guest of the night. La meuf à Lucky. Une chanteuse soul qui a enchaîné les postures : conteuse, aguicheuse, tempétueuse. Ensorceleuse. Elle nous a raconté la genèse du Don’t explain de Billie Holliday. Avant de nous le chanter. De nous prendre à témoins, nous, les mecs volages qui se ramènent chez leur légitime avec une trace de rouge à lèvre sur le col de la chemise. Ne dis rien, dit la femme. 

Hush now, don't explain

Just say you'll remain

I'm glad you're back, don't explain

J’ai fait un balayage du public dans la fosse : les hommes avaient cette face bénie propre au relâchement post-coïtal. Les femmes partageaient en chœur la douce amertume de leur sister cocufiée. Après tout, elles avaient le pouvoir du pardon – ou de la disgrâce. 

Ce fut la soirée de tous les clichés. Mais usinés avec une telle élégance, une telle évidence, qu’on se serait cru en famille. Un moment, Lucky a coiffé son medius le bottleneck et empoigné sa Gibson. On a presque entendu les clapotis du delta. Celui du Mississipi. Où tout commença pour le blues. Nous, les blancs-becs, aurions mérité mille fois de finir à l’eau, déchiquetés par les crocs des crocos. Au lieu de quoi, le beau Nègre à chapeau a souri. Tout est devenu doux comme une sieste dans un champ de coton. On a refait le rêve avec Luther King. Un instant, on y a cru. 


 

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31 mars 2018 6 31 /03 /mars /2018 20:21

A Perpignan du jour au lendemain des choses disparaissent! Des personnes, des commerces, mais aussi des bancs: l'outil par excellence du "faire société" avec l'arbre...

Cela ne date pas d'hier, Jean-Marc Pujol avait déjà été repéré à ce sujet, même par les médias nationaux en 2015 http://www.europe1.fr/societe/perpignan-supprime-ses-bancs-publics-et-cree-la-polemique-2334965. Mais il semble qu'il ait continué dans ce sens jusqu'à extinction totale. L'argument plus massue que massif (un argument massue, c'est celui qui vous assomme pour vous persuader que: c'est "pour éviter que les SDF..." qui abusent de leurs privilèges de vivre dehors (c'est comme la taxation des places de parking  couverts, non couverts, des rues: pour lutter contre les voitures ventouses) (#moralité: les SDF's sont aux bancs, ce que les voitures ventouses sont aux parking gratuit!) 

Mais surtout ce qui ce cache derrière, c'est que l'on fait disparaître l'espace public disponible de flânerie et de repos, au profit de l'espace marchand ou du mobilier urbain non confortable (ya des marchés publics pour ça) .

Résultat des courses, malheurs aux handicapés, personnes âgées et parents avec enfants en bas ages qui veulent traverser la ville. Du coup, un centre ville transformé en parcours du combattant , et ben on l'évite sauf si on y vit déjà !  

Ha, c'est donc un facteur de la tristitude du centre ville de Perpignan? Oui, ça et le manque de sanisette publique...C'est pourquoi un collectif d'ici est révolte http://www.lindependant.fr/2018/03/24/un-collectif-citoyen-offre-un-banc-public-a-la-ville-de-perpignan,3910649.php et n'offre pas à la ville un grand cheval de bois (Timeo Danaos et dona ferentes: je me méfie des grecs et de leurs cadeaux https://fr.wikipedia.org/wiki/Timeo_Danaos_et_dona_ferentes), mais un banc de bois !

Perpignan/disparitions/bancs: il faut ré-introduire les bancs en ville! interview Timéa par Nicolas Caudeville

Timéa quoique aveugle s'est aperçue de la disparition des bancs , elle fait partie du collectif: elle argumente!

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31 mars 2018 6 31 /03 /mars /2018 18:03

re-située  au 16, rue Maréchal Foch, L'Atelier du Parti Pris est une librairie qui privilégie les romans et aussi les essais à gauche, parce qu'il n'y a pas plus objectif que quelqu'un qui affirme sa subjectivité . De même qu'il n'y a pas plus dangereux que la fausse neutralité . Kévin Courtois, rouvre sa librairie friperie au centre ville (pari audacieux) , avec la volonté supplémentaire d'en faire un lieu qui privilégie la rencontre culturelle  .

09 83 04 36 52
 
Highlights info row image
Heures : 10:00 - 19:00

Interview

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29 mars 2018 4 29 /03 /mars /2018 23:01
Vincente Madramany au centre, son fils Hector à gauche,  et l'artiste réalisateur belge Jan Bucquoy à droite
Vincente Madramany au centre, son fils Hector à gauche, et l'artiste réalisateur belge Jan Bucquoy à droite

Le gentilhomme Valencien nous a quitté brutalement hier mercredi, sans prévenir comme ça . Il était l'auteur du centre d'art "à cent mètres du centre du monde" 3 avenue de grande Bretagne à Perpignan qui a vu passer nombres d'artistes (et pas que peintres) depuis son ouverture en 2004. Ceux qui voudront lui rendre un dernier hommage , pourront le faire au crématorium municipal de Perpignan situé derrière la clinique Roussillonaise , mardi 3 avril prochain.

Jean Casagran, le directeur du festival international du disque et et de la BD qui a travaillé avec lui sur plusieurs expositions "merci pour les moments monsieur Madramany!"

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26 mars 2018 1 26 /03 /mars /2018 21:43

Si l'information se confirme.Il est un signe supplémentaire de la désagrégation des commerces du centre ville. Pire encore puisque avec les halles Vauban, les halles Arago venaient à peine d'ouvrir et déjà un de ses commerces est mises en vente, avec ce titre alléchant :"Super affaire boucherie charcuterie 180 000€"

 https://www.leboncoin.fr/bureaux_commerces/1405824983.htm

Le tout accompagné du texte suivant :

"Vend fond de commerce , loyer 800€/mois , hyper centre ville historique. matériel haut de gamme neuf , concentration de commerçants haut de gamme ."

Voir aussi, si aux halles Vauban, d'autres commerçants ont mis discrètement en vente leur patente!? 

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