Jean-Louis Chambon au centre, durant la campagne à la caserne Puig
On ne donnait pas grande chance, même dans son camp au maire socialiste de Canohés Jean-Louis Chambon. Face au ronflant nouveau nouveau centre Pierre Parrat, les mauvaises langues lui trouvaient pale figure, le surnommait "jambon", blague digne d'une coure décole...Puis, il y eu le premier tour. et une seule voix le séparait du redomont Parrat. Porte à porte avec Antoine Soler, un travail âpre jour après jour dans quartier dit ingrat. Il a travaillé la terre électorale, creusé son sillon. Puis le deuxième tour, l'explosion. Les gens du quartier aimus aux larmes, comme une libération, Parrat perd et avec lui c'est pan du mur du systéme Alduy qui s'écroule, 50 ans, plus que le mur de Berlin. Un pacte avec Paul le pére depuis 1961...C'est la victoires des citoyens sur les communautés dans laquelle la droite les avait enfermé, les infantilisant. Heureux magrébins et gitans descendent de Cassanyes ensemble en criant, le nom de leur candidat vainqueur "Chambon, Chambon" . Devant, le conseil Général , ils le font sauter dans leurs bras. Puis, on fait la fête dans le hall du conseil général, on sort les guitares. Demain, il faudra reconstruire un quartier, un canton, ensemble...
J.L. Chambon (PS) 51,87 % P. Parrat (UMP) (48,13 %)
Le président Bourquin quant à lui se félicitait de la victoire symbolique de la socialiste Toussainte
Calabraise face au front national Louis Aliot