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L'archipel Contre-Attaque

  • : L'archipel contre-attaque !
  • : Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
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17 juin 2009 3 17 /06 /juin /2009 19:51
La politique de «pole muséal» de la ville de Perpignan, revue et corrigé à la batte par Jean Codognès

Jeudi 27 novembre dernier, au prétexte du visionnage du « film musée haut, musée bas» au cinéma «Le nouveau Castillet», l’association « soixante six mille», Jean Codognès en tête, nous proposait un débat sur le thème la politique de « pole muséal» de la municipalité perpignanaise. Attention, la soirée n’était pas neutre, puisqu’il faut rappeler que Jean Codognès est élue de l’opposition et futur candidat aux élections municipales en cas d’invalidation de celle-ci par le conseil d’état. Le point de vue de l’animation de Julien Lugan maître de conférence en histoire de l'art à l'université de Toulouse, auteur d'un récent rapport sur la culture arc latin et d’Isabelle Narci, ex professeur de l’école des beaux arts (licenciée apparemment après sa présence sur la liste de Jean codognès) ,étaient d’établir un procès à charge contre cette politique. Nec plus ultra de la soirée, Marie Costa directrice de l’action culturelle et Elizabeth Doumeyrou la conservatrice du patrimoine de la ville étaient présente pour défendre leur travail. A noter aussi, Sébastien Planas, le directeur en charge du musée d’art contemporain de Saint Cyprien, Vincent-Emmanuel Guyter, l’ancien directeur de l’école des beaux arts, des étudiants en art de la nouvelle école, le directeur de la revue des arts visuels Internet 3declic.com, Pierre Pérouse ,des élus de l’opposition comme Jordi Vera de Convergence démocratique de catalogne Nord, la verte Katia Mingo et de manière générale des amateurs d’arts. On commence par lire le projet de «pole muséal», avec au passage, un lieu «d’interprétation de l’histoire», le musée Rigaud et l’impossible musée Rucino qui n’en finit toujours pas de devoir ouvrir. On reprend aussi les chiffres de fréquentation de chaque musée qui paraissent calamiteux en comparaison de ceux de Céret ou de St Cyprien. On parle de politique du discours «demain, vous verrez tous les musées seront plus beau et en cohérence». De ce qui ne paraît qu’une posture pas loin de l’imposture, par le manque de moyen engagés et de cohérence général du projet: «bref, le pole muséal, serait plutôt un filet garni, chausse pied en inox offert! La contre attaque de Marie Costa est de dire que «La première phase de la politique culturelle de Jean-Paul Alduy, et tout le monde sera d’accord, s’était la musique: le Médiator, la Casa musicale et le conservatoire. (…) Depuis deux ans nous n’avons pas pu rattraper le passif et le manque d’investissement fait précédemment…» Rappelons et c’est sympa pour elle, que la personne en charge avant Marie Costa de la direction de l’action culturelle était: Elizabeth Doumeyrou! Que le maire qui a cautionné, ladite politique et l’adjoint en gestion de la culture officieux derrière Danielle Pagès, est le même Maurice Halimi que celui qui la renouvelle. Alors, qui et quoi dénonce Marie Costa? Seule contre tous et en lutteuse de foire, elle répond aux accusations à coup de chiffres, un peu comme on annonce le Loto, numéro complémentaire inclus. Des techniques de Jedï, à grand coup de sabro-laser rhétorique, semblant nous dire: «ce ne sont pas ces deux droïdes que vous cherchez!». Comme par exemple la réussite et l’impact international de «Visa pour l’image». Ce qui est un fait: au sophisme près, que «Visa pour l’image» est un festival, pas un musée du photo journalisme…
En avant première de la programmation du théâtre de l’archipel, nous avons eu droit à une bien belle pièce de théâtre, au sujet duquel, une dame m’interrogeait en sortant de la salle: «Mais qui est la formidable actrice qui jouait le rôle de la directrice de l’action culturelle?»
l'impossible musée Ruscino
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