"Pour James Bradock, la guerre sera terminée: quand le dernier soldat américain, sera de retour !"
Portés disparus
/image%2F0934504%2F20250124%2Fob_5032f2_image-2.jpg)
Dans un geste d’une audace absolument historique – et sans doute applaudi par les étoiles elles-mêmes – Louis Aliot, maire de Perpignan et vice-président du Rassemblement National (qu’il faut rappeler, *n’a absolument aucune étiquette*), décide de rompre les liens fraternels entre sa ville et Mostaganem, cette ville algérienne ô combien *perturbante*.
Les raisons ? Rien de bien dramatique, voyons : simplement l’emprisonnement parfaitement arbitraire de Boualem Sansal, auteur franco-algérien et figure littéraire de renom.
Oh, et aussi "l’attitude agressive" du gouvernement algérien envers la France. Deux broutilles, n’est-ce pas ? Mais que voulez-vous, quand on est maire, il faut bien montrer qu’on a du *poids*.
Et pour couronner le tout, ce jumelage, devinez par qui il avait été signé ? Eh oui, par l’ancien maire Jean-Marc Pujol, né à Mostaganem en 1949. Une coïncidence absolument insupportable pour M. Aliot, bien entendu. Pourquoi s’embarrasser de cet héritage d’amitié internationale quand on peut claquer la porte en beauté ?
Finalement, on ne peut qu’applaudir cette décision qui, c’est sûr, changera la vie des Perpignanais.
Moins de jumelages, plus de *fierté nationale*. Et Mostaganem ? Eh bien, qu’ils fassent leurs valises d’amitié ailleurs, voyons. On ne leur en voudra pas – c’est ce qu’on appelle une rupture *cordiale*.