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L'archipel Contre-Attaque

  • : L'archipel contre-attaque !
  • : Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
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24 octobre 2024 4 24 /10 /octobre /2024 21:18

"À la fin du deuxième trimestre 2024, la dette publique s’établit à 3 228,4 Md€ Dette trimestrielle de Maastricht critères Maastrichtiens de la dette des administrations publiques (APU) - deuxième trimestre 2024

À la fin du deuxième trimestre 2024, la dette publique au sens de Maastricht s’établit à 3 228,4 Md€, soit une augmentation de 68,9 Md€, après +58,2 Md€ au trimestre précédent. Exprimée en pourcentage du produit intérieur brut (PIB), elle s’établit à 112,0 %, après 110,5 % au premier trimestre 2024. Comme au trimestre précédent, l’augmentation de la dette publique s’accompagne d’une hausse de la trésorerie des administrations publiques (+16,4 Md€), partiellement atténuée par des cessions d’actifs, si bien que la dette nette augmente un peu moins (+58,1 Md€) que la dette brute et s’établit à 103,5 % du PIB. Les chiffres de la dette 2024"

Chapitre 1 - "Une dette comme un levé un sans-ouverture"

C’était comme une plaie, cette dette. Une saloperie qui suintait, un truc poisseux qu’on n’arrivait plus à contenir, un mal rampant. 2024, on y est. Le bout du rouleau. Plus d’échappatoire. T’as beau courir, t’as beau planquer le cadavre sous le tapis, la France saigne par tous les trous. 68,9 milliards d’euros qui se rajoutent à la facture. Un chiffre qui pèse, qui écrase tout. 3 228,4 milliards d’euros au compteur. Une balle dans la nuque, c’est tout ce que ça inspire. Et 112 % du PIB enfoncé dans la gorge comme une pierre au fond d’un puits sans fond. Faut se le dire, on est foutus. Y a plus de chemin, plus de lumière, juste la nuit, et ce pognon qui s’évapore comme des balles dans un film d'Audiard, sans retour possible.

Chapitre 2 - "La couleur de l'argent vente"

Y a quelque chose de pourri dans l’air, ça sent le billet cramé, la trahison, les titres négociables qui flambent à 66,5 milliards. T’as l’impression de voir ces chiffres, mais c’est comme la couleur tombée du ciel. Tu crois comprendre, mais c’est pas pour toi, c’est trop loin, trop abstrait. Une météorite qui crève le sol, qui s’installe, qui distord tout. C’est ça la dette. T’as beau la voir grimper, tu sais pas d’où ça vient. T’entends parler des « titres longs », des « dépôts » comme des formules magiques, mais en vrai, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que l’État, ce paysan perdu comme Nahum Gardner, il est pris à la gorge. Il continue de creuser, de négocier, mais à chaque coup de pelle, il s’enfonce plus profond dans la merde.

Chapitre 3 - "Le gouffre sans fond"

Tu croyais quoi ? Que ça allait s’arrêter là ? Non, la dette, elle descend partout, elle s’infiltre, comme une putain d’humidité qu’on n’arrête plus. La SNCF, elle se contracte. Ouais, elle essaye de freiner, mais le train déraille quand même. Et la Sécu, tiens ! 4 milliards de plus. C’est comme si tu voyais la gueule d’un type qui prend un coup de lame, qui se vide doucement. Les chiffres continuent de s’empiler, 7,1 milliards ici, 12,8 milliards là, et toi, tu regardes, impuissant. Une spirale infernale, qu’ils disent. Ouais, on est dedans jusqu’au cou.
 

Chapitre 4 - "La lutte vaine"

Les collectivités locales, elles, elles luttent. Ou du moins, elles font semblant. Elles stabilisent, elles réparent les brèches, mais c’est comme mettre un pansement sur une jambe arrachée. On sait comment ça finit. C’est foutu d’avance. Les départements, les communes, ils essayent de désendetter, de résister à ce truc qui dévore tout. Mais quoi ? Qu’est-ce que tu veux faire face à ça ? Une force qui te dépasse, une ombre qui s’étend. Ils sont condamnés, eux aussi, tout comme Nahum et ses pauvres gamins. C’est pas une question de volonté, c’est juste la fin qui arrive.

Chapitre 5 – "L'objet venu d'ailleurs"

Et voilà où on en est. Comme dans ce foutu champ où Nahum a vu tomber cette couleur inconnue, la France a touché une dette venue d’un autre monde. Un truc qu’on comprend pas, qui change tout sans qu’on puisse rien y faire. Une infection. Un artefact cosmique qui nous échappe, un truc qui ne s’explique pas. Ça dépasse la finance, ça dépasse l’entendement. C’est là, c’est tout. Et tu peux rien y faire, à part attendre que ça finisse par t’engloutir.

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