Avant à l'entrée des villes, il n'y avait que le nom de la ville. Puis il y eut le panneau du nom de la ville et un autre , avec le nom en langue régionale. On a mis aussi des panneaux avec le noms des villes avec lesquelles on était jumelées . Et puis ça été l'inflation : ville fleurie, ville amie des enfants (parce que les villes sans panneau, le gosse qui rentre se fait défoncer la face!) , j'en passe et des meilleurs : on finirait par arrêter la voiture pour prendre le temps de les lire...Et puis, comme on dit: panneaux partout , justice nulle part!
Rajoutez à cela que dans l'union européenne ce qui fait loi, c'est : "la concurrence libre et non faussée", ce qui met tous les territoires en compétition.
Du coup, même sur l’infra territoire de la communauté urbaine de Perpignan, même les villes communistes comme Cabestany entrent en compétition avec les autres villes de cette espace .
Parce que ce n'est la taille de la ville qui compte!
Aussi trouve t on à son entrée un panneau, comme une bande annonce, de l'être profond de la ville. Cabestany est dans son essence même une ville "active et sportive" . Il faut le signaler pour que , il n'y est pas de malentendu sur la marchandise.
Piquée au vif la mairie de Perpignan, compte bien répondre à cette provocation (car s'en est une) par un autre panneau!
Perpignan, ville grosse et paresseuse!
Qu'on se le dise à l'heure des bilan pour ses municipales 2020...
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