Ayé a plus le press bitter! En même temps, la municipalité de Perpignan peut tout faire, vous ne révoltez jamais, ou si peu. Il ne risque rien. Fermer l'école des beaux arts, faire des passerelles sans passants (ou si peu) à 6 millions d'Euros, un théâtre de l'archipel si cher (et pas qu'aux coeurs des amateurs de culture) , une gare et centre commercial "centre del mon" ou il n'y a ni TGV, ni clients ou si peu, faire crever les commerces du centre ville en ayant du parking payant majoritaire et un sur-développement des grandes surfaces en périphérie dont le maire signe les permis de construire (mensonge sur la destination du carré d'or, ouvert malgré les dénégations de Jean-Marc Pujol)...Mais tant qu'il y a l'apéro, le perpignanais moyen, il s'en fout: comme un lotophage de sa première fleur de loto! Mais même lui, va se rendre compte rapidement que :" toute chose cesse d'être drôle à partir du moment où elle s'assoit sur vous!"
Voir aussi:
Perpignan: Pujol ferme! le tube de l'été, sur un air de Stromae
Perpignan/2015: Les vœux du maire/président de l'agglo Jean-Marc Pujol: la fermeture de la maison de l'emploi! interview Patricia Arcaz par Nicolas Caudeville
crédit photos Les Républicaines engagées