/image%2F0934504%2F20151221%2Fob_9eccb0_8790-555311871291212-49039158130762863.jpg)
La devise de Jean-Marc Pujol, maire de Perpignan, face à la demande des habitants, des commerçants, c'est:" Je m'en frotte!" .
Ce matin à 6 heure, à l'heure où le laitier ne porte plus rien, mais se prépare au rendez-vous pôle emplois, les bulldozers on commencé leur funeste tache de destruction du presbytère http://www.institutdugrenat.com/2015/02/le-presbytere-de-la-cathedrale-de-perpignan/. Les même qui ont su mettre en valeur le théâtre de l'archipel derrière des bâtiments soviètoïdes, nous parlent encore et toujours de perspective (la leur est en général cavalière). D'après eux (Caroline Ferrière élu au centre ancien et Olivier Amiel, élu au logement, mais où était Pierre Parrat, l'élu à l'urbanisme dont s'était la charge direct) la troué opérée ouvrirai un passage et une perspective sur le Campo Santo (qui a retrouvé sa vocation de cimetière, comme la ville de Perpignan, depuis qu'on y voit plus les estivales) pour y mettre un immeuble qu'a dessiné une architecte italienne. Le futur bâtiment sera à la construction, ce que les Berluttis sont aux chaussures, à savoir très chers au coeur de la ville et de ses habitants: près de 4 millions d'Euros...
Voir aussi:
Perpignan/presbytère : une démolition contesté et contestable! par Joan Lopez et Nicolas Caudeville