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Il fut le jeune et fringant directeur de cabinet d'un Christian Bourquin à peine élu président socialiste du conseil général. Puis celui-ci voyant en lui un potentiel Brutus, il s'en est débarrassé. Bruno Delmas se recycle alors dans l'entreprise (Là, il y a une ellipse) et glisse vers la droite et Nicolas Sarkozy.Il se présente aussi à la présidence de la CCI où il échoue face à Fourcade. Investi dans le mouvement citoyen L'olivier (peuplé pour beaucoup de centristes) il défend: le train jaune, les commerçants du centre ville, l'école des beaux arts...Il sera présent aux prochaines élections cantonales de 2015, dans ligne de la droite progressiste bessonienne http://www.lesprogressistes.org/avec-nicolas-sarkozy-pour-lump/ (un Valls avant l'heure, comme disait Lénine:" il ne faut pas avoir 20 ans d'avance!") Le terme progressiste ressemble à si méprendre à un oxymore aux reflets d'obscures clarté, un goût de grand écart...Mais c'est tout le sel de la post-modernité!
Il a beau être UMP, ce n'est pas un grand fan de Jean-Marc Pujol! Entretien, portrait, on prend le temps
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